Demain, c’est le cheval qui s’abat plein d’écume.
Essayer de remonter en bateau le cours d’une rivière, sans rames, sans voiles, sans chevaux, jamais sottise pareille avait-elle pu naître dans une tète humaine, et la moquerie allait son train.
Je remercierai mon neveu don Fernand de m’avoir donné un si joli garçon : c’est un vrai présent qu’il m’a fait. » J’avais été, dans l’après-dînée, chercher mes hardes et mon cheval à l’hôtellerie où j’étais logé ; après quoi j’étais revenu souper à l’archevêché, où l’on m’avait préparé une chambre fort propre et un lit de duvet.
Nous avons signalé comme contraires à la dignité du style (129) les expressions grossières, basses et communes ; nous allons maintenant donner une idée de la platitude ou de la trivialité en comparant quelques vers de Pradon et de Racine sur le même sujet, la mort d’Hippolyte : ………………… Sur son char il monte avec adresse ; Ses superbes chevaux, dont il sait la vitesse. […] Il suivait, tout pensif, le chemin de Mycènes ; Sa main sur les chevaux laissait flotter les rênes.
Après la chute de l’empire qu’il avait servi sans enthousiasme, mécontent, déclassé, il devint avocat de l’opposition, et se métamorphosant en ami du peuple, en vigneron matois, en canonnier à cheval, il guerroya, au nom d’un libéralisme bourgeois et tracassier, contre les petites vexations locales, les abus de pouvoir, les préfets, les maires et les gendarmes.
A la fin de sa carrière, il se vantait d’avoir fait douze chameaux, quatre chiens, trois chevaux, un tigre, deux chats, un échiquier, un tric-trac, un billard, plusieurs hivers, encore plus d’étés, une multitude de printemps, cinquante couchers de soleil, et un si grand nombre d’aurores qu’on ne pouvait les compter.
Une feuille de papier, une glace de miroir, cheval ferré d’argent, aller à cheval sur un bâton. […] ) Le galop du cheval : Quadrupedante putrem sonitu quatit ungula campum. […] Ils peignent : La fatigue : Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé, Et de tous les côtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche. […] Il eut à peine tourné son cheval qu’il aperçut Saint-Hilaire, le chapeau à la main, qui lui dit : Monsieur, jetez les yeux sur cette batterie que je viens de faire placer là. […] Bossuet, Delille, Buffon nous ont donné de célèbres prosopographies du cheval ; mais la plus belle de toutes est celle qu’on lit dans le livre de Job.
Parle-t-il du choix des chevaux, il en fait la plus vive et la plus magnifique description, comme on peut le voir au commencement du livre III. […] On attribue à Stésichore, poète lyrique, grec, né en Sicile, dans le vie siècle avant l’ère chrétienne, l’apologue de l’Homme et du Cheval que Phèdre a imité, Après ces auteurs, nous citerons comme ayant excellé dans la fable, Ésope et Babrius chez les Grecs, Phèdre à Rome, et chez nous, La Fontaine, Lamotte, Florian, Aubert, Bailly, etc.
Je m’assis à quelque distance, tenant mon cheval en main et n’espérant plus qu’en celui qui changea les feux de la fournaise d’Azarias en un vent frais et une douce rosée.
Il y a beaucoup trop loin en effet de l’idée d’empire à celle du mors d’un cheval, et la métaphore est vicieuse. […] On conçoit qu’un coursier puisse être pris pour la muse elle-même, par allusion au cheval Pégase ; c’est le signe pour la chose signifiée.
« C’est chose difficile, dit Montaigne, de fermer un propos ; et n’est rien où la force d’un cheval se connoisse plus qu’à faire un arrêt rond et net.
Dans ce moment le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses gens, il ouvre deux fois de grands yeux, et demeure tranquille pour jamais.
» Sur le plus haut des monts s’arrêtent les chevaux ; L’écume les blanchit ; sous leurs pieds, Roncevaux Des feux mourants du jour à peine se colore. […] — Mais c’est trop discourir, Le vieux sang du vilain ne peut se démentir. » Ainsi passait le rêve, et sur la plaine immense Le soldat écoutait au milieu du silence : Tout se taisait au loin ; le ciel profond et pur Reposait sur les monts sa coupole d’azur, Les chevaux au piquet hennissaient d’un ton grêle, Et le cri prolongé : « Garde à toi, sentinelle ! […] Courbés comme un cheval qui sent venir son maître, Ils se disaient entre eux : « Quelqu’un de grand va naître ! […] Demain, c’est le cheval qui s’abat blanc d’écume. […] Ces mêmes vagues, si caressantes maintenant, ont des heures de colère où elles semblent déchaînées comme les chevaux de l’Apocalypse ; alors leurs blancs escadrons se pressent pour donner l’assaut aux falaises démantelées qui défendent la terre.
Bien des gens mettent du soin à acheter leurs chevaux, et sont négligents à choisir leurs amis. — 11. […] Métellus, devant partir pour la guerre contre Jugurtha, préparait des armes, des traits, des chevaux, en outre une quantité suffisante de vivres, et toutes les autres choses que la guerre a coutume d’exiger. — 6.
je suis mort. » Si prist son espée par la poignée et en baisa la croisée, en signe de la croix de nostre Seigneur, et dit tout haut : Miserere mei Deus ; puis, comme failly des esprits, il cuida tomber de cheval, mais encore eut-il le cœur de prendre l’arçon de la selle, et demeura ainsi jusques à ce qu’un gentilhomme, son maistre d’hostel, survînt, qui luy ayda à descendre et l’appuyer contre un arbre. […] Lecture. — L’Arabe et son Cheval.
Rapprochez tout de suite cette phrase de Bossuet ; « Semblable, dans ses sauts hardis et dans sa légère démarche, à ces animaux vigoureux et bondissants, il ne s’avance que par vives et impétueuses saillies, et n’est arrêté ni par montagnes ni par précipices. » Observez au contraire dans le Coche et la Mouche le rhythme brisé, haletant, laborieux du début : Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé, Et de tous les côtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche.
Longin, qui fait mal à propos rentrer dans le sublime tant de choses qui ne lui appartiennent pas, et jusqu’à l’ode de Sapho, la plus brûlante expression de l’amour sensuel, Longin cite, comme modèle de ce qu’il nomme sublime d’image, ce passage d’Euripide, où Phébus cherche à guider, dans son téméraire voyage, Phaéton déjà lancé dans les cieux : Le père cependant, plein d’un trouble funeste, Le voit rouler de loin sur la plaine céleste, Lui montre encor sa route, et du plus haut des cieux Le suit autant qu’il peut, de la voix et des yeux : « Va par là, lui dit-il, reviens, détourne, arrête… » « Ne vous semble-t-il pas, ajoute Longin, que l’âme du poëte monte sur le char avec Phaéton, partage tous ses périls et vole dans l’air avec les chevaux ?
Empêtrer, embarrasser, c’est proprement lier les jambes d’un cheval au pré.
Regnier, satire v, avait dit : Croissant l’âge en avant, sans soin de gouverneur, Relevé, courageux, et cupide d’honneur, Il se plaist aux chevaux, aux chiens, à la campaigne, Facile au vice, il hait les vieux et les dédaigne : Rude à qui le reprend, paresseux à son bien, Prodigue, dépensier, il ne conserve rien, Hautain, audacieux, conseiller de soi-même, Et d’un cœur obstiné se heurte à ce qu’il aime.
En effet, pour être bon soldat, il ne suffit pas de savoir manier l’arc, lancer un javelot, monter à cheval ; il faut encore, au besoin, supporter les travaux, les fatigues : eh bien ! […] « Croyez-moi, compagnons d’armes, simulons une retraite et retirons nous peu à peu devant les Macédoniens ; ruinons tout ce qui peut être utile aux ennemis, foulons aux pieds des chevaux tout ce qu’il y a d’herbe dans la campagne, mettons le feu aux villes et aux bourgades, et ne laissons de tous côtés que la terre nue. […] Mais comment entreprendre à la légère une lutte contre des hommes qui occupent un pays éloigné, qui ont une grande habitude de la mer, pourvus abondamment de toutes ressources, richesses privées et publiques, navires, chevaux, armes, population plus nombreuse que celle des autres contrées de la Grèce, et soutenus de plus par une foule d’alliés tributaires ? […] D’autres possèdent de grandes richesses, des navires, des chevaux : nous avons, nous, de braves alliés qu’il ne faut pas livrer à la merci des Athéniens ; ce n’est point par des discussions, par des paroles que nous devons les soutenir, car ce n’est pas en paroles qu’ils sont attaqués ; il faut leur porter secours en toute hâte et de toutes nos forces.
Ils frémissent encore d’allégresse en exprimant le transport dont on fut saisi, quand l’Empereur, qu’on croyait bien loin, apparut tout à coup devant le front des grenadiers, monté sur son cheval blanc et suivi de son mameluk. « Oh !
Les plus vaillants soldats sont toujours émus au premier coup de canon, et j’ai entendu dire qu’un des plus célèbres généraux de l’empire, qu’on avait surnommé le brave des braves, était chaque fois obligé de descendre de cheval à ce moment solennel ; puis il s’élançait au combat comme un lion.
Ainsi, dans les Méditations sur l’Évangile de Bossuet, le cheval dompté par le cavalier, qui représente si bien le chrétien sous la main de Dieu, et dans les Sermons, cette magnifique image de la vie humaine, dont on peut rapprocher, le style de Bossuet à part, un passage ingénieux des Inductions morales et physiologiques de M. de Kératry, où le monde est un palais dont le maître invisible accueille des voyageurs qu’y conduit un pouvoir inconnu.
» Puis tombant elle-même à genoux sur le bord, Et des mains embrassant le pilier de la couche, Comme nous en pleurant elle y colla sa bouche ; Ses larmes sur le bois ruisselaient à grands flots, Et la chambre un moment fut pleine de sanglots1… Mais des pieds de chevaux dans la cour résonnèrent, Le marteau retentit, et les cloches sonnèrent.
Pour en donner un exemple, nous allons prouver que la phrase la plus ordinaire, cette simple question, « Allez-vous à cheval à la ville aujourd’hui ? […] Si l’on prononce en appuyant sur le mot distingué par du caractère italique : « Allez-vous à cheval à la ville aujourd’hui ? » la réponse sera naturellement : « Non, j’y enverrai mon domestique à ma place. » — « Allez-vous à cheval à la ville aujourd’hui ? — Non, j’irai à pied. » — « Allez-vous à cheval à la ville aujourd’hui ? — Non, j’irai à cheval à la campagne. » Enfin : « Allez-vous à cheval à la ville aujourd’hui ?
C’est la disposition que Quintilien appelait l’ordre homérique, parce qu’elle reproduit l’ordre de bataille adopté par le vieux Nestor : « En tête, il place les cavaliers avec les chevaux et les chars ; à l’arrière-garde, des fantassins nombreux et braves, pour soutenir le fort du combat ; il pousse au centre les mauvais soldats, afin de les faire combattre même malgré eux. » (Iliade, iv, 297.) […] Ainsi l’on dit par abus : un cheval ferré d’argent ; la feuille de métal battu ; à cheval sur un bâton, etc. […] La partie pour le tout, et quelquefois le tout pour la partie : trente voiles, cent feux, mille chevaux.
Joad cherche à Convaincre Abner par une magnifique énumeration des miracles et des justices de Dieu : Faut-il, Abner, faut-il vous rappeler le cours Des prodiges fameux accomplis en nos jours, Des tyrans d’Israël les célèbres disgrâces, Et Dieu trouvé fidèle en toutes ses menaces ; L’impie Achab détruit, et de son sang trempé, Le champ que par le meurtre il avait usurpé ; Près de ce champ fatal Jézabel immolée, Sous les pieds des chevaux cette reine foulée, Dans son sang inhumain les chiens désaltérés, Et.de son corps hideux les membres déchirés ; Des prophètes menteurs la troupe confondue, Et la flamme du ciel sur l’autel descendue ; Elie aux éléments parlant en souverain, Les cieux par lui fermés et devenus d’airain, Et la terre trois ans sans pluie et sans rosée ; Les morts se ranimant à là voix d’Élisée ? […] Il faut donc en tenir compte pour réussir ; car le plus grand malheur pour un livre, c’est de n’être point lu ; qu’importe à Roland que son cheval ait toutes les vertus, s’il est mort ; il faut céder aux exigences de l’opinion dans la mesure où la conscience et la justice le permettent ; il faut prendre pour devise le mot de Démosthène à ces Athéniens si mobiles et si passionnés : Je voudrais bien vous plaire, mais j’aime encore mieux vous être utile. […] Pour un but contraire, La Fontaine a employé le même moyen dans sa fable intitulée, Le Coche et la Mouche : Dans un chemin montant, Sablonneux, malaisé, Et de tous les côtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche ; Hommes, moines, vieillards, tout était descendu ; L’attelage suait, soufflait, était rendu. […] Au quatrième chant de l’Illiade, quand le sage Nestor, le plus expérimenté des Grecs, range ses troupes : Au premier rang il place les cavaliers avec leurs chevaux et les chars de guerre ; à l’arrière-garde ses fantassins nombreux et vaillants, l’élite de son armée ; ses moins bons soldats, c’est au milieu qu’il les entasse. […] Buffon a dit : Aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l’affronte ; il se fait au bruit des armes ; il l’aime ; il le cherche, et s’anime de la même ardeur.
En effet, si elle se proposait d’imiter dans des conditions impossibles, la faute en reviendrait à elle-même, tandis que, si le dessin était correct, mais qu’elle représentât un cheval jetant en avant ses deux jambes de droite, ou commît quelque faute contre un art particulier, par exemple, contre la médecine ou tout autre art, les impossibilités qu’elle imaginerait ne seraient pas imputables à la poétique elle-même. […] Comme ce qui est conforme à la nature est agréable et que les êtres qui ont une affinité naturelle le sont entre eux, tous ceux qui sont congénères et semblables se plaisent mutuellement, d’ordinaire ; comme, par exemple, l’homme à l’homme, le cheval au cheval, le jeune homme au jeune homme.
De rage et de douleur, le monstre bondissant, Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang et de fumée ; La frayeur les emporte, et, sourds à cette fois, Ils ne connaissent plus ni le frein ni la voix. […] J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris.
le cheval fut quatre fois arrêté à l’entrée de la ville.
Exercez-la, monsieur, et gouvernez le prince : Montrez-lui comme il faut régir une province, Faire trembler partout les peuples sous sa loi, Remplir les bons d’amour et les méchants d’effroi5 ; Joignez à ces vertus celles d’un capitaine : Montrez-lui comme il faut s’endurcir à la peine, Dans le métier de Mars se rendre sans égal, Passer les jours entiers et les nuits à cheval, Reposer tout armé, forcer une muraille, Et ne devoir qu’à soi le gain d’une bataille : Instruisez-le d’exemple, et rendez-le parfait, Expliquant à ses yeux vos leçons par l’effet.
de la seconde : Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé, Et de tous les côtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche : Femmes, moines, vieillards, tout était descendu, L’attelage suait, soufflait, était rendu. […] Demain, c’est le cheval qui s’abat blanc d’écume. […] Une feuille de papier, À cheval sur un bâton.
Montrez-lui comme il faut régir une province, Faire trembler partout les peuples sous la loi, Remplir les bons d’amour, et les méchants d’effroi ; Joignez à ces vertus celles d’un capitaine : Montrez-lui comme il faut s’endurcir à la peine, Dans le métier de Mars se rendre sans égal, Passer les jours entiers et les nuits à cheval, Reposer tout armé, forcer une muraille, Et ne devoir qu’à soi le gain d’une bataille ; Instruisez-le d’exemple, et rendez-le parfait, Expliquant à ses yeux vos leçons par l’effet1.
Il se forme de cela une armée de vingt-cinq mille chevaux, de quinze mille hommes de pieu et de quarante canons. […] Fouquet est entré avec quatre hommes, M. d’Artagnan à cheval avec cinquante mousquetaires. […] Ce gentilhomme, qui le regardait toujours, ne le voit point tomber ; le cheval l’emporte où il avait laissé le petit d’Elbeuf ; il n’était point encore tombé, mais il était penché le nez sur l’arçon : dans ce moment, le cheval s’arrête ; le héros tombe entre les bras de ses gens ; il ouvre deux fois deux grands yeux et la bouche, et demeure tranquille pour jamais : songez qu’il était mort, et qu’il avait une partie du cœur emportée. […] Ils faisaient sortir les garnisons des places fortes, ou bornaient le nombre de troupes de terre, ou se faisaient livrer les chevaux ou les éléphants ; et, si ce peuple était puissant sur la mer, ils l’obligeaient de brûler ses vaisseaux, et quelquefois d’aller habiter plus avant dans les terres. […] Il va à cheval à grandes journées, et arrive à Dijon.
Préface Les deux volumes de notre cours supérieur ont pour objet principal d’initier sérieusement à la connaissance de l’histoire de la littérature française depuis Malherbe et Pascal ; étude à laquelle il n’a pas encore été fait une assez large part dans le programme des humanités. Ici, comme dans tous nos Cours, le dix-septième siècle domine ; mais il ne figure pas seul. Ne s’attacher qu’à une époque ne serait point enseigner l’histoire littéraire. Ce ne serait pas non plus, croyons-nous, la meilleure manière de former le goût et l’esprit des jeunes gens et de leur inspirer, en les intéressant, l’amour et la passion du beau. À moins d’être de ces hommes enthousiastes outre mesure du dix-septième siècle, qui ne se nourrissent que des livres qu’il a produits, ne peuvent rien goûter hors de là, et se persuadent qu’à de certains génies seuls appartient l’initiative de la pensée humaine ; à moins de porter cette étroitesse d’esprit dans un culte au fond si légitime, on doit bien reconnaître que le privilège du beau et bon style n’appartient pas à l’époque de Louis XIV privativement à tout autre siècle.
Notre langue ne fut pas moins fidèle à son berceau, quand elle disait : « mil chevaux, et deux mille hommes. » Elle se souvenait que mil provient de mille, qui désigne un singulier, tandis que mille, dérivé de millia, contient l’idée de plusieurs milliers.
Homère a fait parler des chevaux, mouvoir des statues, marcher des trépieds.
Coursier Cheval.