/ 190
131. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XII. du corps de l’ouvrage. — portrait, dialogue, amplification  » pp. 161-174

Ne croyons donc pas, avec le jésuite Colonia, dans son traité De arte rhetorica, que l’amplification soit nécessairement sophistique et déclamatoire.

132. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387

Votre mémoire n’ébranle nullement mon opinion, qui se réduit uniquement à ceci : « Que l’empire de la Coalition sur la France et la division de ce royaume seraient un des plus grands maux qui puissent arriver à l’humanité. » Je me suis formé une démonstration si parfaite de cette proposition, que je ne désespérerais pas de vous convertir vous-même, mais non par écrit, car ce serait un traité dans les formes3.

133. (1875) Poétique

Il n’y est traité directement que de la tragédie, et par occasion de l’épopée ; mais ces deux genres sont si étendus, si analogues par leur fonds et par leurs formes avec les autres genres, ils sont traités avec tant d’adresse et tant d’art, que les rapports des idées et même leurs contrastes, deviennent des vues à peu près suffisantes pour juger des autres espèces.

134. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63

Vous en avez la preuve à propos de la rhétorique même, au commencement de ce traité.

135. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre V. De la disposition. »

Ce ne sont point, Messieurs, de ces faux amis du jour, esclaves de la fortune, et toujours prêts à nous abandonner dans l’adversité ; martyrs généreux de l’amitié, on les voit s’échapper de l’asile doré de l’opulence, où l’on veut les retenir captifs, et mi, où comme tant de parasites qui sont loin de les valoir, ils seraient traités magnifiquement, pour retourner dans l’humble galetas du pauvre auquel ils sont attachés par un lien que l’amitié rend indissoluble.

136. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225

Allusion au traité d’Aix-la-Chapelle conclu avec l’Espagne par Louis XIV, en 1668, et aux propositions de paix que la Hollande vaincue lui adressa quatre années après.

137. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -

Ce fut alors qu’il édita certains traités d’Hippocrate et de Galien ; nous savons aussi que le cardinal du Bellay se fit accompagner par maître François dans son ambassade à Rome.

138. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -

Ses jugements littéraires furent du moins d’infaillibles arrêts : en quelques lignes, il en dit plus que d’ambitieux traités de rhétorique.

139. (1854) Éléments de rhétorique française

Cet ouvrage n’est pas composé sur le plan ordinaire des traités de Rhétorique, dont l’objet spécial est de préparer des sujets pour le barreau, pour la tribune, ou pour la chaire évangélique ; j’ai fait en sorte qu’il fût susceptible d’une application plus générale, c’est-à-dire qu’il résumât pour les élevés de nos collèges les préceptes de la Rhétorique proprement dite, et en mémo temps qu’il offrît un traité complet de style aux jeunes gens des deux sexes, qui, n’étant point destinés à devenir orateurs, ne doivent faire usage de l’art de parler et d’écrire que dans les relations privées. […] Les Iroquois et les Illinois se servent, dans leurs traités et dans leurs transactions politiques, d’expressions figurées que la poésie elle-même pourrait trouver trop hardies ou trop pompeuses. Pour donner un exemple de ce style singulier, nous citerons quelques paroles prononcées par les chefs des cinq nations du Canada, dans un moment où ils venaient de conclure un traité de paix avec les Anglais. […] Plus d’une fois elle a été choisie, entre toutes les langues européennes, pour exprimer les articles d’une convention ou d’un traité de paix, parce que sa construction rigoureuse et ses formes précises préviennent ces phrases équivoques qui réservent des querelles à l’avenir, et ces termes ambigus qui font couler le sang humain. […] Mais, dira-t-on, quel est le charme du style épistolaire, si ce n’est le naturel et l’abandon ; et doit-on écrire une lettre comme un traité de philosophie ?

140. (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres

Parler de ceux qui ont traité de la connaissance de soi-même ; des divisions de Charron qui attristent et ennuient ; de la confusion de Montagne ; qu’il avait bien senti le défaut d’une droite méthode ; qu’il l’évitait en sautant de sujet en sujet ; qu’il cherchait le bon air. […] On pourrait compiler des volumes de ces exemples ; mais tous se réduisent à ce mot d’un avocat, homme d’esprit, qui, voyant que son adversaire parlait de la guerre de Troie et du Scamandre, l’interrompit en disant : « La Cour observera que ma partie ne s’appelle pas Scamandre, mais Michaut. » Le genre sublime ne peut regarder que de puissants intérêts, traités dans une grande assemblée. […] Nous savons que Corneille, qui a mis de l’amour dans toutes ses pièces, n’a jamais traité convenablement cette passion, excepté dans quelques scènes du Cid, imitées de l’espagnol. […] C’est un grand malheur, il faut l’avouer, que dans un livre71 rempli d’idées profondes, ingénieuses, et neuves, on ait traité du fondement des lois en épigrammes. […] Tous ceux qui parlent en public doivent étudier votre Traité de la Prosodie ; c’est un livre classique qui durera autant que la langue française.

141. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »

Au lieu de morceler, suivant l’usage, différents discours, pour en extraire des exemples à l’appui des principes que nous venons d’établir, nous avons préféré de les réunir dans un chapitre particulier, et de les tirer surtout d’un seul et même discours, où chacun d’eux fût traité avec une égale supériorité.

142. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408

Considérée étymologiquement, elle ne signifie que l’art de parler, mais le sens de ce mot s’est modifié et étendu, et exprime aujourd’hui l’art d’écrire tout entier, quel que soit le sujet traité et la forme employée.

143. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241

Voyez le Traité du sublime, de Longin, c. 

144. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »

Souvent nous voyons des ouvrages entiers écrits sous forme de lettres, tels que des romans, des traités philosophiques et religieux. […] Un récit est intéressant, ou par le fond même du sujet, ou par la manière dont il est traité.

145. (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72

Voici la paraphrase pleine de justesse que Du Marsais a faite de ce passage : « Si vous osez mettre sur la scène un sujet nouveau, un caractère qui n’ait pas encore été traité, si quid inexpertum, etc., et que, pour peindre ce caractère, vous inventiez un personnage jusqu’alors inconnu au théâtre, personam novam : que ce personnage conserve toujours son caractère ; qu’il ne se démente point, et que, jusqu’à la fin de la pièce, il soit tel qu’il aura paru au commencement. […] Pour peindre quelqu’un de ces caractères dont on n’a encore qu’une idée générale, communia, et qui n’existent qu’à l’état d’abstraction, on n’a aucun modèle devant soi, point d’auteur qui ait traité le même sujet : on n’a pour guide que la nature. » Exemple : Molière, en prenant l’avare pour sujet d’une de ses comédies, nous a peint un caractère général, communia ; et, par la conduite de sa pièce, par tout ce qu’il fait dire et faire à son Harpagon, personnage nouveau, il a traité ce sujet proprie : il a appliqué à ce personnage nouveau le caractère général d’avare : Harpagon est l’avare personnifié.

146. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre III. Beautés de sentiment. »

Ce beau sujet a successivement tenté toutes les muses qui ont consacré leurs chants à la religion : il a été traité par Racine le fils, par MM. de Pompignan et de Bologne.

147. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322

On avait des songes, des doctrinals, des nefs, des vergiers, des danses, sans parler des vingt-cinq mille vers du Roman de la Rose, ou du Roman du Renard, dont les diverses branches en comptent près de quatre-vingt mille, Boileau a fait l’histoire du burlesque, la mode de son temps ; s’il eût traité du moyen âge, il aurait écrit celle de l’allégorie.

148. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre I. Des Poésies fugitives. »

Je suis toujours étonné, dit Voltaire, de cette variété prodigieuse avec laquelle les sujets galants ont été traités par notre nation.

149. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174

J’ai soixante-seize ans, et je sors à peine d’une grande maladie qui a traité fort mal mon corps et mon âme pendant six semaines.

150. (1872) Cours élémentaire de rhétorique

Nous cédons, à la fin, aux pressantes sollicitations d’une institutrice, Mme **, dont le savoir, l’expérience ne sont pas moindres que la modestie, et qui voulut bien nous assurer qu’à part les citations grecques et latines, ce petit traité, par sa simplicité, par sa clarté, était on ne peut plus du goût des jeunes personnes. […] On nomme traité de rhétorique ou simplement rhétorique un recueil des règles constitutives du beau langage. […] Or, il s’en présente naturellement trois : le premier se tire du danger que le jeune homme va courir ; le deuxième, de l’obligation où il sera de percer son père lui-même ; le troisième, de ce que la religion a de plus sacré, à savoir la foi des traités, l’hospitalité et la reconnaissance : voilà pour l’invention. […] Tel est ce passage du traité de Amicitiâ, où Cicéron dit : « Quocircà et absentes adsunt et egentes abundant et imbecilles valent et, quod difficilius dictu est, mortui vivunt ; » parlant de l’Amitié, « qui rend présents les absents, riches les pauvres, forts les faibles et, qui plus est, vivants les morts » ; cet autre encore de la première Catilinaire, ch. 28, où il est dit : « Quùm tacent, clamant. » « Sans rien dire, ils crient ; » cet autre de la Phèdre de Racine : Présente, je vous fuis, absente, je vous trouve. […] Et dans les chapitres 17 et 18 du même traité, il trace à l’orateur qui veut atteindre à la perfection, les règles les plus convenables pour se rendre, par la puissance du débit, maître d’un auditoire.

151. (1852) Précis de rhétorique

La pompe choisit les expressions brillantes, les tours élégants ; elle séduit, charme, éblouit ; elle convient à tous les sujets, excepté aux sujets simples, qui doivent être traités sans recherche. […] Par une lettre de recommandation, on introduit quelqu’un près de son correspondant, afin que le recommandé ne soit pas traité comme un étranger. […] Petit traité de versification.

152. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440

Pour venger je ne sais quels prophètes Dont elle avait puni les fureurs indiscrètes : Et moi, reine sans cœur, fille sans amitié, Esclave d’une lâche et frivole pitié, Je n’aurais pas du moins à cette aveugle rage Rendu meurtre pour meurtre, outrage pour outrage, Et de votre David traité tous les neveux Comme on traitait d’Achab les restes malheureux !

153. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252

On a dit qu’il mérite d’être traité comme les anciens.

154. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557

Pas une ligne de mes écrits n’a soulevé une discussion, quoique j’aie traité les points les plus délicats et les plus controversés de la théologie.

155. (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-

S’il n’était destiné qu’à défendre la cause du sénat et les intérêts des citoyens, il lui suffirait de lire les annales de Rome, les traités des jurisconsultes et les livres des augures et des pontifes.

156. (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie

Barnave combattit Mirabeau, et réclama pour le corps législatif le droit exclusif de déclarer la guerre et la paix et de conclure des traités. […] Je n’ai rien à me reprocher : j’avais eu le dessein de me rendre par l’Anatolie à la plaine de Troie, et l’on a vu ce qui me força à renoncer à mon projet106 ; j’y voulus aborder par mer, et le capitaine du vaisseau refusa obstinément de me mettre à terre, quoiqu’il y fût obligé par notre traité. […] Campagne d’Autriche (1805) La Russie et l’Angleterre, effrayées des agrandissements territoriaux de l’empire français, avaient conclu le 11 avril 1803 un traité d’alliance par lequel elles s’engageaient à fomenter une ligue générale contre la France. […] Les premières lignes de ce prologue semblent être la traduction littérale d’une ancienne chanson germanique : « La nation des Franks, illustre, ayant Dieu pour fondateur, forte sous les armes, ferme dans les traités de paix, profonde en conseil, noble et saine de corps, d’une blancheur et d’une beauté singulières, hardie, agile et rude au combat, depuis peu convertie à la foi catholique, libre d’hérésie lorsqu’elle était encore sous une croyance barbare, avec l’inspiration de Dieu, recherchant la clef de la science selon la nature de ses qualités, désirant la justice, gardant la piété ; la loi salique fut dictée par les chefs de cette nation, qui en ce temps commandaient chez elle. […] Après la conclusion de ce traité d’alliance, il y eut des réjouissances et des fêtes militaires.

157. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »

C’est Caton l’ancien qui le cite, dans ce petit traité si précieux, si philosophique, où la vieillesse est peinte de couleurs si aimables et si intéressantes !

158. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400

On peut comparer aussi Rotrou, qui a traité le même sujet, mais avec peu de grâce et de force.

159. (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose

combien de dévots de bonne foi traités d’hypocrites, d’intrigants et d intéressés ? […] combien sont durement traités ! […] Elle avait du sérieux et de la gaieté ; elle sentait également le docteur, l’évêque et le grand seigneur : ce qui y surnageait, ainsi que dans toute sa personne, c’était la finesse, l’esprit, les grâces, la décence et surtout la noblesse. » Égal à tous les emplois, signalé à Louis XIV par son Traité de l’éducation des jeunes filles (1687), chef-d’œuvre de raison délicate, et par les éminentes qualités qu’il avait déployées dans une mission en Poitou, l’abbé de Fénelon fut nommé en 1689 précepteur du duc de Bourgogne.

160. (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)

Après avoir rapidement caractérisé les chefs-d’œuvre tragiques de Corneille, nous devons parler d’un chef-d’œuvre d’une autre sorte, par lequel il revint au genre qu’il avait d’abord traité, la comédie du Menteur, donnée à la scène en 1642. […] Après avoir traité dans ses cinq premières tragédies des sujets anciens, Racine entreprit, en 1672, d’aborder un sujet moderne. […] Jamais sujet ne fut mieux conçu ni plus heureusement traité. […] Quand un interlocuteur est introduit dans les Épîtres, le dialogue y est mieux traité que dans les Satires, et la conversation prend la précision et la vivacité qui rendent si alertes les dialogues d’Horace. […] Ne te souvient-il plus de ce bouc trop crédule, Descendu dans un puits pour se désaltérer, Qui fut par le renard traité de ridicule Pour n’avoir pas prévu l’endroit à s’en tirer ?

161. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332

Ce ne fut que plus tard, lorsqu’elle descendit du haut rang qu’elle occupait dans l’ode, dans l’épopée et même dans le genre didactique, pour devenir un moyen de délassement et de plaisir, que parut le genre dramatique, dont l’étude va clore ce Traité. […] Comment diviserez-vous ce traité ?

162. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193

Sénèque avait dit, dans son traité de la Providence, ch. 3 : « Scit eum sine gloria vinci qui sine periculo vincitur. » — Corneille, plus qu’aucun autre de nos auteurs, offre une foule de ces pensées, énergiquement rendues, que le bonheur de l’expression grave dans toutes les mémoires et qui deviennent des espèces d’adages, consacrés par l’admiration populaire.

/ 190