Lorsqu’un nom substantif peut convenir à tous les objets d’une même espèce, il est commun. […] Si on le met avant des mots d’une toute autre espèce, ces mots deviennent alors de véritables substantifs. […] En admettant ces différentes espèces de pronoms, je ne m’attacherai cependant pas à cette division pour les faire connaître. […] Je crois qu’il serait superflu de conjuguer ici tous les verbes de ces deux dernières espèces. […] J’en vais citer des exemples, en faisant connaître les diverses espèces de conjonctions que distinguent les grammairiens.
Or, ces facultés existent à divers degrés, organiquement ou accidentellement, dans l’immense majorité de l’espèce humaine, et elles sont perfectibles par la méthode et l’exercice. […] On distingue plusieurs espèces d’unités : unité d’action, d’intérêt, de mœurs, de ton, enfin unité de dessein, la plus importante, qui consiste à établir dans un écrit un point fixe auquel tout se rapporte, un but unique vers lequel tout se dirige. […] D’où il suit qu’on admet deux espèces d’amplification, celle qui agrandit, et celle qui atténue. […] On peut considérer comme une partie de la confirmation, la réfutation qui consiste à combattre les arguments, à réfuter les objections des adversaires, à dévoiler toutes les espèces de paralogismes et de sophismes. […] Il y a diverses espèces de répétitions : Ou l’on reproduit plusieurs fois exactement le même mot, c’est la répétition proprement dite.
Mais puisque, en dépit de Boileau, on n’apprend pas à penser avant que d’écrire, force nous est, tout en confessant notre insuffisance, d’indiquer au moins sommairement les principes d’argumentation, et les principaux termes affectés aux diverses espèces d’arguments. […] L’axiome suivant constitue donc la raison du syllogisme, considéré du moins dans sa forme ordinaire : Tout ce qui peut être affirmé ou nié universellement d’une idée peut être affirmé ou nié de chaque espèce particulière et de chaque individu compris dans cette idée. […] Enfin la dernière espèce de syllogisme est le dilemme. […] Vous voulez prouver par le dilemme que Dieu a créé le monde parfait en son espèce : — « Majeure : Si Dieu n’a pas créé le monde parfait, cela ne peut venir que d’un défaut de volonté ou d’un défaut de puissance ; — Mineure : mais cela ne vient ni d’un défaut de volonté, car alors il serait méchant, c’est-à-dire il ne serait pas Dieu ; ni d’un défaut de puissance, car alors il serait impuissant, c’est-à-dire encore il ne serait pas Dieu ; — Conclusion : donc il a créé le monde parfait en son espèce. » Je passe d’autres espèces d’arguments ; ce livre n’est pas un traité de logique ; mais ce peu de mots peut suffire, ce me semble, à établir le principe et les modes les plus ordinaires de la logique formelle. […] Démontrez la vulgarité des arguments communs, l’insignifiance des faibles, l’absurdité des contradictoires, l’équivoque des ambigus ; tournez à votre avantage ceux que les deux parties peuvent utiliser également ; dédaignez ceux qui sont trop évidemment frivoles ou étrangers à la question ; méfiez vous des similitudes, et appuyez sur le commun proverbe : Comparaison n’est pas raison ; dévoilez enfin toutes les espèces de sophismes et de paralogismes.
Combien compte-t-on d’espèces de figures ? […] Voici des exemples de ces diverses espèces. […] Combien distingue-t-on d’espèces d’harmonie ? […] Combien compte-t-on d’espèces de périodes ? […] Faites connaître des exemples de cette espèce d’harmonie.
Voici des exemples de ces différentes espèces de vers. […] Le poète rassemble les plus beaux traits de la même espèce, qu’il voit épars dans la nature, et qui peuvent former un tout parfait en son genre. […] Si ce sont des actions, il faut que dans leur espèce, elles soient aussi belles qu’on puisse l’imaginer, et qu’on ait quelque raison de croire qu’elles ont été ou qu’elles ont pu être réellement faites. […] Si ce sont des images, il faut que dans leur espèce, elles soient aussi belles qu’on puisse l’imaginer, et qu’on ait quelque raison de croire que les objets dont elles sont les copies exactes, existent ou peuvent exister. […] C’est cette variété de tons qui charme l’oreille, et qui, par l’impression qu’elle fait sur cet organe, parvient à ébranler doucement notre âme, et à la plonger dans une espèce de ravissement.
L’idée que vous exploitez peut se rattacher à une idée plus générale, elle peut renfermer en soi un plus ou moins grand nombre d’idées spéciales et individuelles ; étudiez-la donc sous le rapport du genre, sous le rapport de l’espèce. […] Aussi, tout en dispensant d’y avoir recours plus tard, croyons-nous utile d’habituer à ce genre de travail les jeunes gens qui commencent, de les accoutumer à traiter tel sujet par les circonstances, tel autre par le genre et l’espèce, et ainsi de suite. […] Le genre et l’espèce. […] » Ce sera le lieu espèce. […] Les grands sont une espèce relativement au genre humain ; il établit d’abord que le plaisir est le premier piége tendu par le démon aux hommes en général.
Combien y a-t-il d’espèces d’exorde ? […] Y a-t-il plusieurs espèces de phrases ? […] Combien distingue-t-on d’espèces de syllepse ? […] Combien y a-t-il d’espèces de synecdoques ? […] Combien y a-t-il d’espèces de lettres ?
De là, deux espèces de drames : la tragédie et la comédie. […] Il y a alors une espèce de dialogue de deux hommes en un seul. […] Combien compte-t-on d’espèces de comique ? […] Combien distingue-t-on d’espèces de comédie ? […] Combien y a-t-il d’espèces d’opéra comique ?
Il y a plusieurs espèces de métonymies. […] 2° Synecdoque de l’espèce. […] L’attention se porte sur l’espèce la plus noble du genre. […] La subjection est une espèce de prolepse. […] La seconde espèce d’harmonie est d’harmonie imitative.
Il arrive bien souvent encore qu’il n’y a aucune espèce de grandeur dans ce qui est douloureux ou terrible. […] Une espèce d’oiseau s’appelle coucou d’après le cri qu’il jette. […] Nous appelons ordinairement cette espèce de style, style oriental, parce qu’il plaît surtout aux peuples de l’orient de l’Europe. […] L’écriture fut longtemps une espèce de gravure. […] Mais il est une espèce de gradation à laquelle il ne faut jamais manquer.
Combien compte-t-on d’espèces d’odes ? […] Ces deux espèces d’élégies suivent également les règles que nous avons fait connaître. […] Du reste, l’antiquité ne nous a laissé aucun modèle de cette espèce de poésie lyrique. […] Rousseau nous offre de parfaits modèles des deux espèces. […] Combien compte-t-on d’espèces de chanson ?
L’invention, comme la disposition et l’élocution, est indispensable dans toute espèce de composition. […] Quelles sont les différentes espèces de compositions littéraires ? […] Combien compte-t-on d’espèces dans la description considérée d’après le but de l’auteur ? […] Combien peut-on distinguer d’espèces de narration ? […] Un récit de cette espèce qui n’a point de trait semblable, est ce qu’il y a de plus insipide.
Fléchier et Bossuet font un usage fréquent et heureux de ces espèces d’inversions. […] Les tropes de cette espèce abondent dans toutes les langues. […] On en distingue deux espèces, l’ascendante et la descendante. […] Le premier genre repousse les ornements de toute espèce. […] L’on peut diviser l’éloquence en trois espèces ou degrés.
Ce qui est vrai du premier (le genre) l’est nécessairement de la seconde (l’espèce). […] est de la première espèce. […] On distingue plusieurs espèces de dissertations, suivant l’objet de la pensée que l’on développe. […] Leur double prosodie comprenait à peu près les mêmes pieds et les mêmes espèces de vers. […] Elle n’est ni obligatoire, ni déterminée dans aucune autre espèce de vers.
Combien distingue-t-on d’espèces de vers fiançais ? […] Citez un exemple qui renferme les différentes espèces de vers français. […] Qu’entendez-vous par repos et combien y en a-t-il d’espèces ? […] Par conséquent, il peut être faible dans les cinq ou six dernières espèces de vers. […] Combien y a-t-il d’espèces de rimes ?
3° Le genre pour l’espèce, ou l’espèce pour le genre. […] Virg. — Vesanus est celui qui, esclave d’une passion, est dans une espèce de délire. […] V. — Cornu, espèce de trompette faite de corne. […] Il se prend aussi pour toute espèce de dépouilles. […] Il était moins honteux d’être frappé de cet instrument que d’être flagellé. — Ferula, espèce de plante.
Les fleurs, les fruits, les grains perfectionnés, multipliés à l’infini ; les espèces utiles d’animaux transportées, propagées, augmentées sans nombre ; les espèces nuisibles réduites, confinées, reléguées ; l’or, et le fer plus nécessaire que l’or, tirés des entrailles de la terre ; les torrents contenus, les fleuves dirigés, resserrés ; la mer même soumise, reconnue, traversée d’un hémisphère à l’autre ; la terre accessible partout, partout rendue aussi vivante que féconde ; dans les vallées de riantes prairies, dans les plaines de riches pâturages ou des moissons encore plus riches ; les collines chargées de vignes et de fruits, leurs sommets couronnés d’arbres utiles et de jeunes forêts ; les déserts devenus des cités habitées par un peuple immense, qui, circulant sans cesse, se répand de ces centres jusqu’aux extrémités ; des routes ouvertes et fréquentées, des communications établies partout comme autant de témoins de la force et de l’union de la société ; mille autres monuments de puissance et de gloire démontrent assez que l’homme, maître du domaine de la terre, en a changé, renouvelé la surface entière, et que de tout temps il partage l’empire avec la nature. […] C’est dans les contrées les plus chaudes du nouveau monde que se trouvent toutes les espèces d’oiseaux-mouches ; elles sont assez nombreuses, et paraissent confinées entre les deux tropiques, car ceux qui s’avancent en été dans les zones tempérées n’y font qu’un court séjour ; ils semblent suivre le soleil, s’avancer, se retirer avec lui, et voler sur l’aile des zéphyrs à la suite d’un printemps éternel. Les Indiens, frappés de l’éclat et du feu que rendent les couleurs de ces brillants oiseaux, leur avaient donné les noms de rayons ou cheveux du soleil… Les petites espèces sont au-dessous de la grande mouche asile2 pour la grandeur, et du bourdon pour la grosseur. […] L’homme peut donc non-seulement faire servir à ses besoins tous les individus de l’univers, mais, avec le temps, changer, modifier et perfectionner les espèces : c’est le plus beau droit qu’il ait sur la nature. Avoir transformé une herbe stérile en blé est une espèce de création dont cependant il ne doit pas s’enorgueillir, puisque ce n’est qu’à la sueur de son front et par des cultures réitérées qu’il peut tirer du sein de la terre ce pain, souvent si amer, qui fait sa subsistance2.
La métaphore est le transfert d’un nom d’autre nature, ou du genre à l’espèce ou de l’espèce au genre, ou de l’espèce à l’espèce, ou un transfert par analogie. […] Si le plus grand (individu d’une espèce) surpasse le plus grand individu (d’une autre espèce), tell individu (de la première espèce) surpassera tel autre (de la seconde) ; et (réciproquement), si tous les individus (d’une espèce surpassent) ceux (d’une autre), le plus grand (de l’une) surpassera le plus grand (de la seconde). […] Autant d’espèces de gouvernement, autant d’espèces d’autorité. […] Pour les choses non écrites, elles sont de deux espèces. […] La torture est une espèce de témoignage.
Nous allons maintenant passer en revue, dans les onze articles suivants, les onze espèces de poésies fugitives que nous avons citées plus haut. […] On peut donc dire que le madrigal est une espèce d’épigramme dont la pointe, sans satire comme sans fadeur, est toujours un éloge délicat et gracieux. […] Le rondeau est une espèce de sonnet dont le principal caractère est la naïveté. […] La ballade, de Βαλλείν, envoyer, est une espèce de rondeau composé de trois couplets et d’un envoi, en vers égaux, avec un refrain, c’est-à-dire avec le retour du même vers à la fin des couplets, ainsi qu’à la fin de l’envoi. […] Le triolet, ainsi appelé à cause de la répétition qu’il renferme, est aussi une espèce de rondeau.
Nous verrons d’ailleurs que chacune de ces espèces admet, selon le cas, quelques sous-divisions. […] L’enseignement y est presque toujours donné par une assimilation de l’espèce humaine aux êtres que l’on fait agir ou parler. […] Elle ne peut point embrasser les sentiments de toutes les espèces et de tous les degrés réservés à l’ode, et rejette par conséquent les pensées sublimes, les images pompeuses. […] Un poème de cette espèce, si on y met de l’esprit, sera nécessairement froid, fade, langoureux, ou chargé d’ornements frivoles non moins ridicules que déplacés. […] Formes de l’ode et ses diverses espèces.
La périphrase est pour eux une espèce d’énigme proposée au lecteur. […] Il y a d’ailleurs plusieurs espèces de pléonasme, et l’on a dû le pressentir d’après cc que j’ai dit en traitant de la précision. […] Mais dès que l’on distingue ces deux espèces, la rhétorique doit employer, pour les exprimer, deux termes différents, selon que les mots superflus le sont réellement ou seulement en apparence. […] , appelez ces idiotismes explétions, je ne m’y oppose point ; mais ce sont, dans le fait, de vrais pléonasmes que l’on peut analyser, ou des espèces d’interjections, communes à toutes les langues. […] Ecoutez le commencement d’un petit récit de cette espèce : Un jour un trafiquant persan, s’en allant en commerce, mit en dépôt chez son voisin, cent livres de fer.
Diverses espèces de panégyriques. […] Deuxième espèce d’induction. […] Trois espèces d’exemple. […] Nous avons indiqué les formes de raisonnement les plus connues, sans prétendre épuiser la matière ; car chaque espèce de rapport peut fournir une espèce de preuve, et chaque espèce de preuve peut nous donner autant de sortes d’argumens qu’elle peut admettre de formes différentes. […] Il exerce sa puissance partout où il s’agit de l’opinion : il peut trouver place en toute espèce de cause.
Mais chacun de ces genres a sous lui une infinité d'espèces. […] (Voyez, dans la Grammaire, la définition des différentes espèces de mots.) […] 3° Le genre et l'espèce constituent un argument qui prouve que ce qui est vrai du genre est vrai aussi de l'espèce, et réciproquement. […] Que prouve l'argument que constituent le genre et l'espèce ? […] Quelles sont les différentes espèces de pensées ?
Des différentes espèces de Discours Oratoires. […] Il suffira que je fasse connaître ici ceux des trois premières espèces. […] Il y a quelques autres espèces de discours, qui font partie de l’éloquence du barreau. […] Les trois genres d’éloquence entrent dans ces différentes espèces de discours. […] Ceux que prononcent dans l’Académie française le récipiendaire et le directeur, sont de la première espèce.
Il y en a de deux espèces, les pauses expressives, et celles qui servent à marquer le sens. […] Voilà ce qui, de nos jours, a donné au débit en général, et surtout à celui des sermons, une espèce de chant si fatigant et si monotone. […] Je crois en avoir dit assez sur les harangues et les autres espèces de discours. […] Le principal but de toute espèce de poésie, et même de toute espèce de composition littéraire, est de produire sur l’esprit quelque impression utile. […] Ces diverses espèces d’ouvrages se rangent sous la dénomination de poésie didactique.
On appelle mélodrame une espèce de drame mêlé de chant, qui sert d’intermédiaire entre le drame et l’opéra. […] L’opéra peut emprunter ses sujets au ciel, à la terre et à l’enfer ; mettre à contribution l’histoire, la fable, le roman, la magie, le monde des chimères et des merveilles : de là une foule d’espèces d’opéras que nous n’essayerons pas de classer. […] 4° Diverses espèces de comique. […] La combinaison de l’action varie suivant les espèces de comédie : elle est simple dans les pièces de mœurs, compliquée dans les pièces d’intrigue. […] 6° Différentes espèces de comédies.
Combien le style a-t-il d’espèces de qualités ? […] Le style a deux espèces de qualités : les qualités générales et les qualités particulières. On appelle qualités générales celles qui sont invariables et essentielles, et qui conviennent par conséquent à toute espèce de composition. […] Combien compte-t-on généralement d’espèces de style ? […] Ces trois espèces de style se touchent, et les meilleures compositions sont celles où l’auteur les mêle le mieux.
Le sens de cette espèce de pensées n’est ni bien visible, ni bien marqué. […] Voici une période de cette espèce, tirée de la réponse de Buffon, au discours de La Condamine, le jour de sa réception à l’Académie française. […] Dans celles de la première espèce, les mots conservent leur signification propre : ces figures ne consistent donc que dans un certain emploi de ces mots. […] Le genre pour l’espèce ; comme lorsque par le mot mortels, on entend seulement les hommes, quoique tous les êtres animés soient sujets à la mort : ou l’espèce pour le genre ; comme lorsque les poètes Grecs et les Latins se sont servis du mot Tempé, nom d’une plaine de la Thessalie, pour marquer toutes sortes de belles campagnes. […] Quant aux figures de pensées, il y a un si grand rapport entre elles et les différentes espèces de style, que je crois devoir en parler conjointement.
Qu’il s’agisse d’un individu, d’une espèce, d’un genre quelconque, la synecdoque suppose l’emploi du plus pour le moins, du moins pour le plus, d’une partie pour une autre, dans un objet unique. […] Souvent le genre est employé au lieu de l’espèce, et l’espèce au lieu du genre : dans la Fontaine, le quadrupède écume, l’arbre tient bon, pour le lion écume, le chêne tient bon ; au contraire, dans Boileau : Et vit-on, comme lui, les ours et les panthères S’effrayer follement de leurs propres chimères, pour les animaux en général. […] Tout cela n’est que le genre pour l’espèce, l’espèce pour le genre, une fraction pour une autre, dans la même unité abstraite.
Cette espèce d’obscurité, loin d’être un défaut, est une beauté réelle. […] Un ouvrage qui serait partout brillant et fleuri causerait plutôt une espèce d’éblouissement qu’une véritable admiration. […] Quant à la synecdoque, elle n’est qu’une espèce de métonymie qui augmente ou diminue la signification des mots. […] Diverses espèces d’odes. […] La cantate est une espèce d’ode faite pour être mise en musique.
4° Le genre pour l’espèce (l’espèce est la subdivision du genre), comme : Les mortels, pour les hommes ; La créature, pour l’homme ; L’animal, pour une espèce particulière d’animaux ; L’insecte, pour une espèce particulière d’insectes, etc. […] Il y a plusieurs espèces d’ironies : 1° L’une badine et enjouée, qui raille avec art, sans aigreur. […] 2° L’autre espèce d’ironie prend le langage de la gaieté et raille d’une manière flatteuse ; elle déguise la louange sous le voile du blâme, et réciproquement. […] 4° Il y a une espèce d’ironie brève, mordante et envenimée, qui assaisonne les railleries du sel le plus amer : elle est connue sous le nom de sarcasme. […] Il existe encore une espèce de répétition qui donne beaucoup de précision et de grâce à la phrase ; elle est assez fréquente chez les écrivains.