Nous ne perdrons pas notre peine à débrouiller leurs gloses encore plus obscures que le texte.
On ne nous reprochera sans doute pas de chercher à faire illusion à nos lecteurs sur le fonds des idées ou sur les expressions originales ; nous traduisons littéralement, et laissant de côté toute espèce d’embellissement poétique, nous nous bornons à la simplicité éloquente du texte.
Quoique l’avis de Voltaire fût qu’on se bornàt, pour l’apprécier, à ces mots placés au bas de toutes les pages, « beau, pathétique, harmonieux, admirable, sublime », on a souvent éclairé son texte par des commentaires plus ou moins développés.