Quel incalculable degré de supériorité ne sera-t-on pas forcé alors d’accorder au texte original, puisqu’il conserve encore tant de nerf et de vigueur, malgré les versions successives qui ont du l’affaiblir ou le défigurer dans une proportion plus ou moins sensible !
Ce sera toujours mon texte, et ma réponse à vos lamentations.
Je n’aurois besoin que du texte de votre libelle, et des contradictions qui s’y rencontrent, pour vous convaincre de l’un et de l’autre de ces défauts.