/ 177
172. (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)

Sans énergie pour défendre les principes les plus sacrés, elle ne sait que s’avilir par une imitation servile, et tout ce qui demande de la force est au-dessus d’elle. […] De tous les ouvrages anciens et modernes, ce sont les Écritures sacrées qui nous offrent les plus beaux exemples du sublime. […] Cette invention en elle-même prouve assez qu’elle ne fut qu’un de ces essais grossiers de l’art d’écrire, que l’on tenta vers les premiers âges du monde, pour donner un peu plus d’étendue aux ressources que présentaient les simples peintures ou les représentations d’objets visibles ; et lorsqu’à une époque postérieure, l’alphabet fut introduit en Égypte, et que nécessairement les caractères hiéroglyphiques furent tombés en désuétude, les prêtres continuèrent encore à s’en servir comme d’une espèce d’écriture sacrée ; elle leur devint exclusive, et ils l’employèrent pour donner un air mystérieux à leur science et à leur religion.

173. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143

Lui, tout trempé de leur bave immonde, et dégouttant du noir venin qui souille ses bandelettes sacrées, il roidit ses bras contre ces nœuds terribles, et pousse vers le ciel des cris épouvantables.

174. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318

        L’airain sacré tremble et s’agite… D’où vient ce bruit lugubre ?

/ 177