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108. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241

On a même rapporté, mais sans preuve certaine, que, pour plaider auprès du grand roi la cause des sujets malheureux, il encourut une disgrâce qui hâta sa mort.

109. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Victor Hugo Né à Besançon en 1802 » pp. 540-556

Le vol d’un insecte qui traverse les airs suffit pour me persuader ; et souvent l’aspect de la campagne, le parfum des airs, et je ne sais quel charme répandu autour de moi, élèvent tellement mes pensées, qu’une preuve invincible de l’immortalité entre avec violence dans mon âme et l’occupe tout entière. »

110. (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145

Ils viennent chercher non des phrases, mais des preuves ; non des antithèses, mais des conclusions. […] Il ne prend que le temps de gagner votre bienveillance, et le voilà déjà entré dans le cœur de son sujet : les preuves aussitôt se succèdent, s’enchaînent, se développent en une trame dont les mailles invisibles vous étreignent d’une force victorieuse.

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