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27. (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose

Comment se porte madame Dimanche, votre épouse ? […] Et votre petite, Claudine, comment se porte-t-elle ? […] Je fis ouvrir ma porte, je dépêchai mes gens au secours. […] comment se porte monsieur mon frère ?  […] Qu’il porte dans son cœur l’audace d’Achille, sans en avoir la férocité !

28. (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Locutions vicieuses. » pp. 66-67

Après La clef est après la porte. La clef est à la porte.

29. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Bruyère, 1646-1696 » pp. 155-177

Ce fut une fête pour la curiosité publique ; et ce succès toujours croissant, qui étonna la modestie d’un auteur désintéressé, lui ouvrit les portes de l’Académie en 1693. […] Clitiphon ou l’important Je vais, Clitiphon, à votre porte ; le besoin que j’ai de vous me chasse de mon lit et de ma chambre : plût aux dieux que je ne fusse ni votre client ni votre fâcheux ! […] Entrez, toutes les portes vous sont ouvertes ; mon antichambre n’est pas faite pour s’y ennuyer3 en m’attendant ; passez jusqu’à moi sans me faire avertir. […] Lui seul ignore combien il est au-dessous du sublime et de l’héroïque ; et, incapable de savoir jusqu’où l’on peut avoir de l’esprit, il croit naïvement que ce qu’il en a est tout ce que les hommes en sauraient avoir : aussi a-t-il l’air et le maintien de celui qui n’a rien à désirer sur ce chapitre, et qui ne porte envie à personne. […] Il n’y a pas deux voix différentes sur ce personnage ; l’envie, la jalousie, parlent comme l’adulation : tous se laissent entraîner au torrent qui les porte, qui les force de dire d’un homme ce qu’ils en pensent ou ce qu’ils n’en pensent pas, comme de louer souvent celui qu’ils ne connaissent point.

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