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175. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »

Nous avons d’Aristote une logique extrêmement remarquable, une rhétorique où sont développés tous les principes de l’art oratoire, et une poétique qui, bien qu’elle ne nous soit pas parvenue entière, contient cependant les règles les plus exactes et les plus propres à nous faire bien juger du poème épique et des pièces de théâtre.

176. (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire

De là le plaisir que procure le nombre poétique ou la simple cadence, quoique plus cachée, mais régulière, de la prose. […] Aussi Aristote, dans sa Poétique, considère-t-il l’harmonie comme une des parties les plus essentielles de la tragédie. […] Là, on exige plus d’attention à la nature des sons, et les libertés poétiques nous rendent plus maîtres de leur direction. […] Aristote, dans sa Poétique, lui donne une signification fort étendue. […] Il faut en bannir tous termes inusités, emphatiques et redondants, et spécialement les expressions purement poétiques ou philosophiques.

177. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387

M. de Lamartine a donné un bien plus poétique et bien meilleur exemple de suspension dans ses Harmonies, liv. 

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