On dit des montagnes d’or, des ruisseaux de larmes, cent coups de bâton, un déluge de paroles.
Leurs entretiens doivent être exempts de ces disputes vives où l’aigreur domine, de ces reproches amers et mordants, de ces paroles injurieuses et grossières qui contrastent si vivement avec le caractère de la poésie pastorale.
Dans leurs entretiens, point de ces disputes vives où l’aigreur domine, point de reproches amers et mordants, point de paroles injurieuses et grossières. […] Dans l’apologue, ce sont des animaux qui parlent, comme ils auraient parlé, s’ils avaient eu le don de la pensée et de la parole. […] Au feu de ses regards, au son de sa parole, Les Philistins307 ont fui.