L’homme bien élevé2 lira Corneille, la Fontaine, Racine et Molière, comme nos pères lisaient Horace et Virgile.
Il admet les tours gaulois qui semblent conserver encore cet air sans façon que nous supposons volontiers à nos pères, parce que nous nous croyons plus fins qu’eux.
Voici l’un : « Dans une bourgade de la Manche, dont je ne veux pas me rappeler le nom, vivait, il n’y a pas longtemps, un hidalgo… » ; et voici l’autre : « Blas de Santillane, mon père, après avoir longtemps porté les armes, se retira dans la ville où il avait pris naissance.