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156. (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique

Il ne voulut pas seulement, comme Louis XIV, que les sciences, les lettres et les arts fussent l’ornement de son trône ; il les associa à sa politique, et décora des plus hautes dignités les savants, les littérateurs et les artistes. […] Un cabinet peut recevoir avec grâce de petits ornements.

157. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -

Car la poésie fut trop souvent alors un art de caprice éphémère et variable, une distraction d’érudits, un ornement des cours, un exercice d’école ou une parade académique.

158. (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503

Il veut que l’écrivain soit homme de bien, qu’il se fasse entendre sans peine et avec plaisir, qu’il se renferme, le plus possible, dans le simple naturel, et qu’il rejette tous les ornements superflus. […] Chercher les vains ornements, faire l’auteur, dans le sens où l’entendait Pascal, lui paraît d’un ridicule achevé ; il ne saurait donc écrire que simplement. […] C’est la raison même qui parle, mais une raison aimable et qui ne dédaigne que les ornements superflus. […] Elle exclut l’emphase, les faux-brillants, ce qui n’est qu’ornement superflu. […] S’il a écrit une petite fable, La Mort et le Bûcheron, s’il a placé dans son œuvre l’histoire de l’hultre et des plaideurs, c’est à titre d’ornement ou en guise d’épigramme et non pour faire œuvre de fabuliste.

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