Daunou, envoyé comme commissaire à Rome, écrivait au directeur La Revellière (30 mars 1798) : « Il paraît que vous renoncez à la colonne Trajane ; au fond, ce serait une entreprise extrêmement dispendieuse. » Il ajoutait dans une autre lettre « En général, je vois qu’il est bon de s’en tenir aux trois cent cinquante caisses ; il n’est ni juste ni politique de trop multiplier les enlèvements de cette nature. » (Note du Trésor littéraire.
La seule ressource est d’éviter, si l’on peut, ces malheureuses rimes, et de chercher un autre tour ; la difficulté est prodigieuse, mais il la faut vaincre. » (Voltaire, note sur Corneille.) […] Voir (VII) la note relative aux rimes jour et toujours.
(Note de M. […] Note de M.