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231. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179

Il arrive quelquefois que l’infinitif qui régit le pronom qui précède, est sous-entendu ; et alors le participe ne prend ni genre ni nombre : = il a obtenu toutes les grâces qu’il a voulu : = il s’est donné tous les soins qu’il a dû : = il a employé tous les moyens qu’il a pu. […] Si ces gérondifs expriment une circonstance de l’action, une manière dont on la fait, ou un moyen de parvenir à une fin, ils doivent être précédés de la préposition en. = Je lis en me promenant. = On dit souvent la vérité en riant. = On jouit de la paix du cœur, en maîtrisant ses passions. Ici, le premier gérondif exprime une circonstance ; le second, une manière ; le troisième, un moyen.

232. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369

Un des premiers moyens d’amplification est la périphrase.

233. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290

Crébillon avait usé fréquemment de ce moyen dramatique : il en devait être de même de Voltaire, tandis que leurs devanciers, Corneille et Racine, l’avaient généralement négligé.

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