Il serait plus convenable d’employer pour cela le mot mouvement, et de laisser le nom de scène à ce que nous avons appelé ainsi en commençant ce chapitre.
C’est le mouvement et l’éclat de la poésie.
Excellent orateur, on l’appelait l’Olympien, parce qu’il mettait toute la Grèce en mouvement par la force et la vivacité de son éloquence foudroyante.