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293. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Nicole. (1625-1695.) » pp. 40-47

Lui mort, voilà sa fortune renversée et anéantie.

294. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454

« Pleurez, Vénus et Cupidons. » Vers de Catulle dans l’ode à Lesbie sur la mort de son moineau.

295. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IX. De quelques autres figures qui appartiennent plus particulièrement à l’éloquence oratoire. »

Dans les pertes médiocres, on surprend ainsi la pitié des auditeurs ; mais on décrit sans art une mort qu’on déplore sans feinte, etc. » Et Bossuet, dans celle du Grand-Condé : « Ce serait ici le lieu de faire voir notre Prince dans ses glorieuses campagnes qui ont été les miracles de notre siècle, et dont la postérité aura un jour droit de douter ; et peut-être même ne les croira-t-elle pas, parce qu’elles sont bien plus vraies que vraisemblables.

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