Combien de pauvres dont les gémissements sont trop faibles pour venir jusqu’à nous, et dont on ne peut pas s’approcher pour se mettre en devoir de les écouter !
N’ayant pas de chaise de poste à moi, il me faut, à chaque relai, prendre celle que j’y trouve, et ce sont le plus souvent de mauvais chariots découverts, où l’on met une botte de paille pour soutenir ma tête.
Les comiques sont allés plus loin°: se contentant de finir le vers par un iambe, ils ont employé partout ailleurs les pieds que l’on peut mettre aux nombres impairs, savoir le tribraque, le spondée, le dactyle et l’anapeste.