Le rhéteur est forcé d’indiquer, sauf restriction préalable, tout élément de bien, lors même qu’il peut devenir élément de mal.
Cette simplicité modeste, la première qualité de l’exorde, s’accommode mal de telles afféteries, surtout quand elles n’ont pas même le mérite de l’originalité.
D’une part le style épistolaire, la narration historique ou romanesque, la plaisanterie, la satire, de l’autre les livres techniques et didactiques, en général tout ce qui est éminemment froid et positif, ou tout à fait piquant et léger s’en accommode mal.