J’y reconnais un maître à qui rien n’a coûté, Et qui dans vos déserts a semé la lumière Ainsi que dans nos champs il sème la poussière. […] Mais les temps sont changés, sa mort fut un sommeil : On le vit, plein de gloire à son brillant réveil, Laissant dans le tombeau sa dépouille grossière, Par un sublime effort voler vers la lumière. […] La pensée, éclatante lumière, Ne peut sortir du sein de l’épaisse matière3.
N’est-ce pas aller contre ses propres lumières, et contredire sa raison » ? […] On exige avec raison, que tout son discours annonce un homme de bien, dont les vertus égalent les lumières. […] Quelle nouvelle lumière lui apparaissait ? […] Dans l’approche d’un si beau jour, et dès la première atteinte d’une si vive lumière, combien promptement disparaissent tous les fantômes du monde ! […] C’est à elle que l’éloquence doit principalement cette puissance irrésistible, ces charmes victorieux qui portent la lumière, la conviction dans les esprits, et qui la rendent la souveraine des cœurs.
Jaunes comme ceux d’une fouine, ses petits yeux n’avaient presque point de cils, et craignaient la lumière, dont ils étaient garantis par l’abat-jour d’une vieille casquette verte. […] Es-tu un esprit de lumière, ou une âme proscrite ? […] Que vous étiez heureux d’avoir toutes ces lumières ! […] Ce nuage nouveau, ce torrent de poussière, Dérobe à la campagne un reste de lumière. […] ils ont vu sans inquiétude l’astre du jour, à son midi, dérober sa lumière au monde ; sans inquiétude, ils attendes l’instant marqué où notre globe sortira de l’obscurité.