Nous nous sommes arrêtés à celui de tous les discours qui pouvait le mieux remplir notre objet : le plaidoyer de Cicéron pour Milon, que l’on peut regarder comme le chef-d’œuvre de l’éloquence latine, et peut-être de tout le genre judiciaire.
Il a été fort bien traduit du latin par Barbeyrac, qui y a joint d’excellentes notes.
Ce même changement de temps se rencontre en latin, où l’on dit bien debebas pour deberes, debueras pour debuisses.