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156. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »

Chacun se rappelle ici quel agrément on éprouve en lisant les contes du chanoine de Schmit, quelles larmes d’attendrissement ils font verser aux enfants et combien l’on est heureux de voir toujours la vertu récompensée et la méchanceté punie.

157. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281

Ce qui fait et fera toujours de ce monde une vallée de larmes, c’est l’insatiable cupidité et l’indomptable orgueil des hommes, depuis Thamas Kouli-Khân, qui ne savait pas lire, jusqu’à un commis de la douane, qui ne sait que chiffrer.

158. (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503

Dans son Siècle de Louis XIV, Voltaire raconte que le grand Condé, à l’âge de vingt ans, assistant à la première représentation de Cinna versa des larmes à ces paroles d’Auguste : Je suis maître de moi comme de l’univers. […] Nous connaissons le dénouement : au moment où Monime s’apprête, avec enthousiasme, à embrasser la mort par ordre de Mithridate, le roi meurt et l’unit à Xipharès. – Il est inutile de dire que ces scènes sont extrêmement pathétiques et nous arrachent des larmes.

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