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232. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70

C’est ainsi que Boileau s’est servi d’un tour très noble et très harmonieux pour dire qu’il avait cinquante-huit ans accomplis : Mais aujourd’hui qu’enfin la vieillesse venue, A jeté sur ma tête avec ses doigts pesans Onze lustres complets surchargés de trois ans.

233. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236

Mais aujourd’hui qu’enfin la vieillesse venue, Sous mes faux cheveux blonds déjà toute chenue, A jeté sur ma tête avec ses doigts pesants, Onze lustres complets surchargés de trois ans.

234. (1875) Poétique

Un autre endroit sera justifié par la métaphore : Tous les dieux dormaient… Lorsqu’il jetait les yeux sur le camp troyen… La voix des flûtes et des hautbois.

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