C’est ainsi que Condillac parvient par l’analyse à donner la formule générale de ces pensées qui veulent être fines et ingénieuses, et ne sont dans le fait que communes, obscures et affectées.
Or il est bien clair que l’accident est moindre que l’être, et dès que l’on remplace le second par le premier, que celui-ci soit relatif ou absolu, individuel ou général, ce n’en est pas moins, malgré la personnification, l’emploi du moins pour le plus, d’une partie pour le tout, et par conséquent une synecdoque.
Il leur suffit d’en bien savoir les principes généraux, et de lire nos bons Écrivains, que je ferai connaître en exposant les règles des divers genres de littérature.