Dès que j’ai parlé d’hellénisme, ou construction imitée du grec, ou conçoit que chaque langue peut avoir ainsi des constructions singulières empruntées à une autre langue ; que le français est susceptible d’hellénismes, de latinismes, de germanismes, etc.
Aussitôt qu’il eut porté de rang en rang l’ardeur dont il était animé, on le vit presque en même temps pousser l’aile droite des ennemis, soutenir la nôtre ébranlée, rallier les Français à demi vaincus, mettre en fuite l’Espagnol victorieux, porter partout la terreur, et étonner de ses regards étincelants ceux qui échappaient à ses coups.
Emprunté aux arts, aux métiers, à la guerre, à la marine, à la basoche, son français a exploité toutes les sources techniques, tout le trésor du fonds national.