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195. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VIII. de la disposition. — unité, enchainement des idées  » pp. 98-117

Enfin, je vous donnerai les royaumes du monde et toute leur gloire  : Il finit par l’ambition, et c’est la dernière et la plus sûre ressource qu’il emploie pour triompher de leur faiblesse.

196. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Notions préliminaires. »

On doit aussi entremêler les rimes dans les stances ou strophes, qui sont un certain nombre de vers, après lesquels le sens est fini et complet.

197. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Bruyère 1646-1696 » pp. 100-117

Diphile ou la manie des oiseaux Diphile commence par un oiseau, et finit par mille : sa maison n’en est pas égayée, mais empestée ; la cour, la salle, l’escalier, le vestibule, les chambres, le cabinet, tout est volière5 : ce n’est plus un ramage, c’est un vacarme ; les vents d’automne, et les eaux dans leurs plus grandes crues ne font pas un bruit si perçant et si aigu ; on ne s’entend non plus parler les uns les autres que dans ces chambres où il faut attendre, pour faire le compliment d’entrée, que les petits chiens aient aboyé.

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