En un mot, qu’il n’oublie pas que les natures et les institutions humaines sont choses flexibles et ondoyantes, ne comportant guère que les demi-vérités, et s’accommodant rarement de la rigueur de l’expression logique.
Son imagination leur présente les côtés touchants des objets ; sa sensibilité provoque l’expression des plus doux sentiments.
On emploie cette expression communément en architecture : nous pouvons rappliquer également aux ouvrages de l’esprit.