Et pourtant, bien que ces maîtres ne nous trompent pas, ils peuvent égarer aussi ceux qui, prenant la lettre pour l’esprit, et transformant les dieux en idoles, font dégénérer le culte en superstition.
L’apologue met en scène les dieux, les esprits, les hommes, les animaux et les choses inanimées ; la fable ne peut choisir ses personnages que parmi les animaux et dans la nature morte. […] Le monarque des dieux leur envoie une grue, Qui les croque, qui les tue.
L'apologue fait parler les dieux, les esprits, les hommes, les animaux et les choses inanimées.