« C’est donc trop peu, dit-il, que l’Escaut en deux mois Ait appris à couler sous de nouvelles lois ; Et de mille remparts mon onde environnée, De ces fleuves sans nom suivra la destinée !
« Peut-être me demanderez-vous quelles furent les destinées de Priam.
Assez d’autres viendront, à mes ordres soumis, Se couvrir des lauriers qui vous furent promis, Et, par d’heureux exploits forçant la destinée, Trouveront d’Ilion la fatale journée.