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342. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-10

Si nous les en croyons, la mauvaise chose que c’est quand le bourreau est la même personne que le criminel2 !

343. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fléchier, 1632-1710 » pp. 124-132

On croit d’abord qu’on ne peut ni penser ni dire autrement ; mais après qu’on y a fait réflexion, on voit bien qu’il n’est pas facile de penser ou de dire ainsi.

344. (1881) Rhétorique et genres littéraires

Il est vrai, s’il m’eût cru, qu’il n’eût point fait de vers. […] Je ne vous dirai point combien j’ai résisté ; Croyez-en cet amour par vous-même attesté. […] Hypotypose L’hypotypose (ὑποτύπωσις, de ὑπὸ-τυπόω, je représente) consiste à peindre les objets avec des traits si saisissants que nous croyons les avoir sous les yeux. […] Ils croiront que je suis un méchant, un brutal, que je te laisse manquer de tout, que je te bats, que je t’assomme (gradation) ; mais non, ils savent bien que je t’aime, que j’ai bon cœur, que je décide de te voir tranquille et contente (correction). […] Que de fois j’ai cru voir, ô Colonne française, Ton airain ennemi rugir dans la fournaise !

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