Je sais qu’un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime Mais je ne puis souffrir ces auteurs renommés, Qui, dégoûtés de gloire, et d’argent affamés ; Mettent leur Apollon aux gages d’un libraire, Et font d’un art divin un métier mercenaire.
Nous y voyons dans une suite d’événements miraculeux, le chef-d’œuvre de la divinité ; Dieu lui-même prononcer ses oracles, et dicter ses lois à son peuple ; établir, dans les temps marqués par sa sagesse, son église, inébranlable sur ses fondements au milieu des erreurs, des crimes et des persécutions des hommes, au milieu des révolutions des âges, et du bouleversement des empires.
Que me font à moi les crimes de Catilina2 ?