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178. (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-

C’est Montluc, envoyé par le duc d’Enghien à la cour de François Ier pour solliciter la permission de combattre à Cérisolles.

179. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »

Ainsi que nous l’avons dit, nous n’avons pas pour but, en consacrant un paragraphe au plaidoyer, de nous jeter dans l’étude des lois, des règlements de toutes sortes, et des arrêts de cour, qui constituent sa jurisprudence.

180. (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)

C’est dans ce sens que l’on dit que la cour est le modèle des belles manières, et l’Écriture sainte l’étendard des vérités théologiques. […] Parmi même les nations arrivées à un certain degré de civilisation, quelques circonstances ont le pouvoir d’entraver les progrès du goût : la religion, la forme du gouvernement peuvent le pervertir ; une cour licencieuse peut mettre à la mode des ornements ridicules, ou des écrits dissolus ; la manière dont un homme de génie a employé quelques fautes, les a fait comprendre dans l’admiration qu’on lui porte, et l’on cherche à les imiter ; l’envie peut dérober un temps à leur réputation des ouvrages du plus grand mérite ; dans d’autres moments, la faveur populaire ou l’esprit de parti élève bien haut ce qui n’est digne d’aucune estime. […] Les Saxons étaient un des peuples du Nord qui inondèrent l’Europe, et leur langue, qui n’était qu’un dialecte du gothique et du teutonique, tous deux bien étrangers au celtique, fut la base de la langue anglaise que nous parlons aujourd’hui ; ce dialecte, mêlé d’un peu de danois, continua d’être parlé dans toutes les parties méridionales de l’île jusqu’au temps de Guillaume le Conquérant, qui introduisit à la cour le normand ou le français, langues de sa patrie. […] Un politique se désiste d’une résolution, parce qu’il la juge impraticable ; il renonce à la cour, parce qu’il y a essuyé un affront ; il quitte le chemin de l’ambition pour l’étude ou la retraite, et laisse ses prétentions aux grandeurs à mesure qu’il avance en âge, et que les grandeurs le fatiguent.

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