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206. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Staël, 1766-1817 » pp. 399-408

Madame de Staël comprenait bien ces émotions de la piété filiale.

207. (1872) Cours élémentaire de rhétorique

On comprend que nous ne voulions pas dans une simple préface, pousser plus loin ces investigations. […] Ainsi l’avait compris Cicéron, ainsi l’a proclamé, après lui, d’Aguesseau. […] Le premier devoir de l’écrivain est donc de s’exprimer de manière à être aisément compris. […] La signification ou emphase (du grec ἔμφασις), laisse à comprendre ou deviner plus qu’elle ne dit : « Garde-toi, Saturninus, d’avoir trop de confiance dans cette multitude qui t’environne. […] Dans le premier cas, on veut faire entendre que la personne ou la chose dont on parle, excelle sur toutes celles qui sont comprises sous le nom commun.

208. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fénelon. (1651-1715.) » pp. 101-109

Cette assimilation de la poésie avec la peinture, on le comprend aisément, ne saurait être rigoureuse, et Lessing a fort bien montré dans son Laocoon que la principale différence qui séparait ces deux arts était que la poésie peint une action progressive et la peinture une action permanente.

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