;On sait que ce grand poëte fut aussi un homme de cœur ; il combattit les excès de la démagogie, et mérita d’être une des pures victimes que la terreur fit périr sur l’échafaud1.
Crispin rival de son maître et le Diable boiteux (1707) furent les premiers essais où se révéla sa gaieté spirituelle, son génie inventif, sa connaissance du cœur humain, sa verve pétulante, qui peindra les préjugés et les ridicules moins pour les corriger que pour s’en égayer.
Racine a fait la même faute en disant de Thésée : Jeune, charmant, traînant tous les cœurs après soi. […] Lorsque le substantif de ce pronom, est le régime simple du verbe qui a pour sujet, ou le substantif auquel se rapporte ce même pronom, ou un pronom relatif de ce substantif : = Cette solitude a sa beauté : = un ruisseau limpide roule ici ses petits flots avec un doux murmure : = voyez cette haute montagne, qui montre, dans le cœur même de l’été, son sommet tout couvert de neige : = nous avons vu cette année ces arbres porter (ou qui portaient) leurs fruits de bien bonne heure. […] Verbes neutres : = dans cette douce espérance, tous les cœurs avaient tressailli de joie ; et cette joie avait éclaté sur tous les visages. […] Si ces gérondifs expriment une circonstance de l’action, une manière dont on la fait, ou un moyen de parvenir à une fin, ils doivent être précédés de la préposition en. = Je lis en me promenant. = On dit souvent la vérité en riant. = On jouit de la paix du cœur, en maîtrisant ses passions.