Dans quelque rang que le ciel nous ait placés, nous devons autant qu’il est en nous, contribuer au bien public, et au bien de nos semblables. […] Rois, si vous m’opprimez, si vos grandeurs dédaignent Les pleurs de l’innocent que vous faites couler, Mon vengeur est au ciel ; apprenez à trembler.
Le jeune prince 2 Le Soleil, ayant laissé le vaste tout du ciel en paix, avait fini sa course et plongé ses chevaux fougueux dans le sein des ondes de l’Hespérie. […] Vous regarderiez comme un insensé celui qui prétendrait se faire un mérite de ce que la pluie du ciel a fertilisé sa moisson, sans arroser celle de son voisin.
Loin de vous l’Aquilon fougueux Souffle sa piquante froidure ; La terre reprend sa verdure : Le ciel brille des plus beaux feux5.