Dans cette arène sanglante des guerres civiles et religieuses, on avait besoin de rire, pour ne pas pleurer.
C'est une licence qui résulte du besoin de la césure.
« Ainsi ces armes, ces centurions, ces cohortes, nous tranquillisent, au lieu de nous effrayer : c’est un appui, et non un danger qu’ils nous annoncent ; et j’y vois avec plaisir le garant, non seulement de la sûreté, mais du silence même dont j’ai besoin pour me faire entendre » 114.