Nous nous sommes réveillé de notre assoupissement, et, ouvrant les yeux, nous avons vu cent années, avec leurs crimes et leurs générations, s’enfoncer dans l’abîme : elles emportaient dans leurs bras tous nos amis !
Cher ami, si mon père, un jour désabusé, Plaint le malheur d'un fils faussement accusé, Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive, Dis-lui qu'avec douceur il traite sa captive, Qu'il lui rende….. » A ce mot, ce héros expiré 1 N'a laissé dans mes bras qu'un corps défiguré : Triste objet où des dieux triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l'œil même de son père. […] 24° L'épiphonème est une sentence ou une réflexion courte, qui commence une période ou qui la termine : Qu'un ami véritable est une douce chose ! […] « Votre amie bien affectionnée. » (Traduit du grec, par ***.)
Il devenait, comme la plume, un confident du travail et de l’inspiration, presque un ami pour l’écrivain. […] Elle se marquait par l’ordre direct du langage, la lumière des expressions, et cette netteté précise, où l’on reconnaît à quelques égards l’influence de la géométrie, de cette science judicieuse qui avait formé Descartes, et dont Pascal et ses amis mêlèrent l’inflexible justesse à l’ardeur même de l’éloquence. » (Préface du Diction. de l’Académie.) […] — Pascal, avec les qualités solides de ses maîtres et de ses amis, portait, dans la recherche de la vérité une pénétration effrayante, une éloquence passionnée que la philosophie ne connaissait pas avant lui. […] « Sa férocité était extrême, et se montrait en tout : c’était une meule toujours en l’air, et dont ses amis n’étaient jamais en sûreté. » (Portrait de M. le Duc.) […] Nos amis ont grand tort, et tort qui se repose Sur de tels paresseux, à servir ainsi lents.