Ainsi : Gardez vous de donner, ainsi que dans Clélie L’air ni l’esprit français à l’antique Italie.
Dans une autre lettre à madame de Senfft, je lis encore : « Je prends un plaisir extrême à voir cette vie passer comme l’oiseau qu’on entrevoit à peine et qui ne laisse point de trace dans les airs.
Mais on ne peut disconvenir que ces grâces n’aient un air d’affectation, et que cet Orateur ne laisse souvent quelque chose à désirer du côté de l’onction et de la chaleur, excepté dans son Oraison funèbre de Turenne, qui est presque en tout un chef-d’œuvre. […] Mais il répond avec un air plein d’assurance : « Il est dit là-haut ce qui doit être fait de moi en cette occasion.