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232. (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie

Oswald ne pouvait se lasser de considérer les traces de l’antique Rome, du point élevé du Capitole où Corinne l’avait conduit, La lecture de l’histoire, les réflexions qu’elle excite, agissent bien moins sur notre âme que ces pierres en désordre, que ces ruines mêlées aux habitations nouvelles. […] Quand il s’agit de penser, rien ne l’arrête, ni son siècle, ni ses habitudes, ni ses relations ; il fait tomber à plomb son regard d’aigle sur les objets qu’il observe : s’il avait eu une carrière politique, si son âme s’était développée par les actions, son caractère serait plus décidé, plus ferme, plus patriote ; mais son esprit ne planerait pas si librement sur toutes les manières de voir : les passions ou les intérêts lui traceraient une route positive. […] Il vivait, il parlait, il agissait comme si les méchants n’existaient pas ; et quand il les peignait dans ses ouvrages, c’était avec plus d’exagération et moins de profondeur que s’il les avait vraiment connus. […] Il s’agit ici d’une question de fait : voyons donc ce qui se passe dans la conscience de chacun de nous et dans la conscience du genre humain. […] Un nouveau motif d’agir est apparu, une nouvelle règle véritablement règle, une nouvelle loi véritablement loi, un motif, une règle, une loi qui se légitime par elle-même, qui oblige immédiatement, qui n’a besoin, pour se faire respecter et reconnaître, d’invoquer rien qui lui soit étranger, rien qui lui soit antérieur ou supérieur.

233. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -

Il s’agit ici d’un simple canonnier.

234. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88

Il s’agit ici de la marquise de la Baume, qui, s’étant procuré une copie manuscrite des Amours des Gaules, les fit imprimer à l’insu de Bussy.

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