À Rome, l’éloquence politique se développa moins heureusement et moins vite que chez les Athéniens. […] Souvent même on y souleva des questions plus graves, parce que la puissance de Rome surpassait de beaucoup celle d’Athènes. […] Il voudrait ne vivre que de réflexions, ne se nourrir que d’évidence ; il abattrait, comme le tyran de Rome, la tête des fleurs qui s’élèvent au-dessus des autres.
J’ai enfin quitté Rome.
Il prend avoir, quand il marque qu’on n’est plus dans un lieu : = il a demeuré quelque temps à Rome.