ce sénat n’avait fait évanouir tant de rois que pour tomber lui-même dans le plus bas esclavage de quelques-uns de ses plus indignes citoyens, et s’exterminer par ses propres arrêts ! […] Ils font voler les armées comme des grues, et tomber les murailles comme des cartons. […] Ce n’étaient pas seulement les actions qui tombaient dans le cas2 de cette loi, mais des paroles, des signes et des pensées même ; car ce qui se dit dans ces épanchements de cœur que la conversation produit entre deux amis, ne peut être regardé que comme des pensées. […] Honnêtetés,, c’est-à-dire de politesses ; ce terme est tombé en désuétude. […] Pluriel tombé en désuétude 4.
Je cherche en vain une issue dans ces solitudes ; trompé par un jour plus vif, j’avance à travers les herbes, les orties, les mousses, les lianes et l’épais humus composé des débris de végétaux ; mais je n’arrive qu’à une clairière formée par quelques pins tombés. […] Elle paraissait enchantée par l’Ange de la Mélancolie, et par le double sommeil de l’innocence et de la tombe. […] La masse du fleuve, qui se précipite au midi, s’arrondit en un vaste cylindre, puis se déroule en nappe de neige ; et brille au soleil de toutes les couleurs : celle qui tombe au levant, descend dans une ombre effrayante ; on dirait une colonne d’eau du déluge1. […] Mais tout à coup la voix tombe, l’oiseau se tait. […] C’est l’heure où la nature, un moment recueillie, Entre la nuit qui tombe et le jour qui s’enfuit, S’élève au créateur du jour et de la nuit, Et semble offrir à Dieu, dans son brillant langage.
Ces deux héros ont donc suivi leurs destinées jusqu’à la tombe ! […] Est tombé dans une disgrâce, la plus étrange du monde. […] Sous la balle et le fer il tombe avec beauté ! […] au lieu de tomber sur l’herbe fraîche, elle rencontra un gros caillou qui la retint. […] Mais tout-à-coup sa voix tombe, l’oiseau se tait… Il recommence.… Que ses accents sont changés !
« Les rayons de lumière, dit-il, tombent sur les corps, et réfléchissent des uns sur les autres. […] Si quelque vert débris de ma pâle couronne Refleurit aux rameaux et tombe aux vents d’automne, Que ces feuilles tombent sur toi ! […] Je conçois que cette femme, nom de bonheur et lit d’ombrage, puisse encore être l’abri sous lequel végète le poëte, ou, puisque vous le préférez, l’arbre du poëte ; mais je ne conçois pas que jamais la séve puisse monter de l’abri pour couler en l’arbre, je ne conçois pas que les feuilles vertes qui refleurissent aux rameaux tombent, et tombent sur l’abri. […] Elle rapproche souvent à l’aide d’un mot des idées complétement disparates, et court risque de tomber alors dans des allusions verbales qu’un goût difficile n’approuve pas toujours. […] Que d’auteurs tombent dans ce défaut de convenance !
— … sans tomber dans des excès funestes… Avis. […] En travaillant ce canevas, il faut prendre garde de tomber dans le défaut que l’on dépeint. […] Ici tombe un héros moissonné dans sa fleur. […] Pourquoi vis-je sans terreur le rapide roi des airs, l’aigle frappé de la foudre, tomber à mes pieds ? […] Leurs ancêtres eux-mêmes ne se réveilleraient-ils pas dans la tombe pour repousser les corps de ces parents dénaturés ?
Je cherche en vain une issue dans ces solitudes ; trompé par un jour plus vif, j’avance à travers les herbes, les orties, les mousses, les lianes et l’épais humus composé des débris de végétaux ; mais je n’arrive qu’à une clairière formée par quelques pins tombés. […] Elle paraissait enchantée par l’Ange de la Mélancolie et par le double sommeil de l’innocence et de la tombe. […] Déchue de sa puissance terrestre, elle semble, dans son orgueil, avoir voulu s’isoler ; elle s’est séparée des autres cités de la terre ; et, comme une reine tombée du trône, elle a noblement caché ses malheurs dans la solitude5. […] Le soleil, qui se couchait, versait des fleuves d’or par toutes ces galeries où roulait jadis le torrent des peuples ; de fortes ombres sortaient en même temps de l’enfoncement des loges et des corridors, ou tombaient sur la terre en larges bandes noires. […] Çà et là de hauts cyprès remplaçaient les colonnes tombées dans ce palais de la mort ; l’acanthe sauvage rampait à leurs pieds, sur des débris, comme si la nature s’était plu à reproduire sur les chefs-d’œuvre mutilés de l’architecture l’ornement de leur beauté passée.
Mon frère est tombé. Ma sœur est tombée. Mes frères sont tombés. Mes sœurs sont tombées.
Quand un vieillard, sur votre seuil de pierre, Tout raidi par l’hiver, en vain tombe à genoux ; Quand les petits enfants, les mains de froid rougies, Ramassent sous vos pieds les miettes des orgies, La face du Seigneur se détourne de vous. […] » Le coup passa si près que le chapeau tomba, Et que le cheval fit un écart en arrière. […] Toute aile vers son but incessamment retombe ; L’aigle vole au soleil, le vautour à la tombe, L’hirondelle au printemps, et la prière au ciel ! […] hauteur de nos tours, splendeurs de nos palais, Napoléon, César, Mahomet, Périclès, Rien qui ne tombe, et ne s’efface ! […] Rappelez-vous Horace disant de l’enfant : Iras colligil, ac ponit temere. « Sa colère s’élève, et tombe sans raison. » 4.
« Tu céderas ou tu tomberas sous ce vainqueur, Algera, riche des dépouilles de la chrétienté. […] Je crois voir de ta main tomber l’urne terrible ; Je crois te voir cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. […] Puissé-je de mes yeux y voir tomber la foudre, Voir ses maisons en cendre et tes lauriers en poudre, Voir le dernier Romain à son dernier soupir, Moi seule en être cause et mourir de plaisir ! […] L’univers tomberait sur la tête du juste ; son âme serait tranquille dans le temps même de sa chute. […] Il n’est plus temps : il voit la gloire qui l’opprime : Il tombe enseveli dans l’éternel abîme… Et loin des voluptés où fut livré son cœur, Ne trouve devant lui que la rage et l’horreur.
Ainsi l’adverbe point n’influe pas sur le substantif reproches : il ne tombe que sur le verbe ferai. […] Ici l’action tombe sur un seul homme, parce qu’il ne doit y en avoir qu’un qui sera couronné. […] Mais on dira : on l’a fait tomber, mourir, et non pas faite, parce qu’on ne pourrait pas dire : on a fait elle tomber, mourir : il faudrait dire : on a fait tomber, mourir elle. […] Laissée, parce que le pronom se est régi par ce participe, et non par les verbes aller, tomber, mourir, qui sont des verbes neutres ; c’est-à-dire, elle a laissé elle aller, tomber, mourir. […] Celle-ci n’est pas correcte. = Ils tombent sur les ennemis avec une telle furie, qu’ils les firent plier et reculer.
On fut blessé de cette inattention du poète et sa pièce tomba. […] En poésie il y a deux sortes de fautes : les unes qui tombent sur la poésie même, les autres qui ne tombent point sur elle. Si la poésie a entrepris d’imiter ce qu’elle ne peut rendre, la faute tombe sur elle. Mais, si c’est l’objet qui a été mal choisi, ce n’est plus sur elle que la faute tombe. […] Une censure juste est celle qui tombe sur les invraisemblances et les méchancetés gratuites.
Ulysse sait que tout cela est exagéré : ce n’est qu’une ruse dont il se sert pour faire tomber dans le piège l’ambition du roi des rois. […] nous ne voyons plus la tombe s’ouvrir pour recevoir le Sage : c’est le soleil qui se retire d’un ciel pur, pour se ranimer bientôt à la voix du matin. […] La métaphore ne tombe que sur un mot, et ne présente qu’une image ; l’allégorie développe la métaphore, et accumule les images relatives au même objet. […] Et cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu’on avait passé : fracas effroyable ! […] Le lait tombe : adieu veau, vache, cochon, couvée !
afin que la phrase entière tombât sur Andromaque ; ou bien : M’avez-vous condamnée sans me laisser aucun espoir de pardon ? afin qu’elle ne tombât que sur Pyrrhus. […] Si la finesse n’était pas employée avec ménagement, elle ne tarderait pas à tomber dans l’affectation, et par suite dans l’obscurité. […] Perse et Tacite sont tombés dans l’obscurité par suite d’une brièveté mystérieuse et d’une concision excessive. […] Si on manque de goût, on tombera facilement dans l’exagération, et on prendra pour un style énergique, un style dur et rocailleux, des tours bizarres, des expressions heurtées.
Faites-moi voir et espérer au delà de la tombe, plus haut que n’est tombé ce corps. […] Pauvre rayon de gloire qui va venir sur sa tombe ! […] C’est si gracieux l’enfance et sa parure : De si jolies boucles tomberont sur ce corsage, un bras si blanc, si rond remplira ces manches, une si jolie petite main en sortira, et l’enfant est si jolie et s’appelle Angèle ! […] C’est joli de laver, de voir passer des poissons, des flots, des brins d’herbe, des feuilles, des fleurs tombées, de suivre cela et je ne sais quoi an fil de l’eau.
Le toit était en flammes, et allait tomber sur la tête des malheureux qu’il couvrait. […] S’ils tentaient de sauter par les fenêtres, ils tombaient dans les flammes, ou bien étaient reçus sur la pointe des piques. […] Il disparut dans un tourbillon de flammes et de fumée, et l’on vit tomber au milieu des débris de la tour un casque rouge et fumant. […] Un brouillard Une pluie fine et froide, qui était tombée sans interruption pendant toute la nuit, venait enfin de cesser au moment où le jour naissant s’annonçait dans le ciel par une lumière blafarde, du côté de l’orient.
Allons, Alfred, bravons le froid et la pluie allons prier sur sa tombe. […] Les mots vieillis, tombés en désuétude, sont une cause d’obscurité. […] La communication dans les paroles est un trope par lequel on fait tomber sur soi-même une partie de ce qu’on dit aux autres. […] on a entendu tomber quelque chose en même temps que ce vers ; harmonie imitative. […] On est alors bien près du burlesque, et il faut prendre garde d’y tomber.
Lire comme un acteur jouerait, avec cris, gestes et mouvements, c’est dépasser le but et tomber dans le ridicule. […] ils me rappellent de quelle hauteur je suis tombé, et combien jadis je brillais glorieux au-dessus de ta sphère ! […] Leur visage était entièrement rasé, à l’exception de deux longues moustaches qui leur tombaient de chaque côté de la bouche. […] Les lois désarmées tombent dans le mépris ; les armes qui ne sont pas modérées par les lois tombent bientôt dans l’anarchie. […] … (La foudre éclate et tombe sur Prométhée.)
Pourquoi suis-je tombé dans votre disgrâce ? […] Aucune n’est tombés cette fois ; mais une église a écrasé je ne sais combien de bonnes âmes qui sont maintenant en paradis : voyez quelle grâce de Dieu ! […] « — Je ne crains qu’une chose, répartit le Gaulois frémissant de courroux, c’est que le ciel tombe sur ma tête. […] « À ces mots, Mérovée, s’appuyant sur sa framée, s’élance du char par-dessus les taureaux, tombe à leurs pieds, et se présente au Gaulois qui venait à lui. […] Puis il tomba à genoux et fondit en larmes. » Aimé-Martin.
À loisir, en détail, tu veux m’assassiner ; Dans de longs bâillements et des vapeurs mortelles Ensevelir l’honneur des œuvres les plus belles ; Et toujours méthodique, et toujours concerté, Des élans d’un auteur abaisser la fierté, Tomber quand il s’élève, et ramper quand il vole ? […] Sur ces bords que la Somme arrose J’irai chercher l’asile où ta cendre repose ; J’irai d’une modeste fleur Orner ta tombe respectée, Et, sur la pierre encorde larmes humectée, Redire ce chant de douleur. […] Voyez : la neige tombe et la terre est glacée ; J’ai froid : le vent se lève et l’heure est avancée, Et je n’ai rien pour me couvrir. […] Et quand la nuit tombait l’heure de la prière Qui ne s’achevait pas sans laisser quelque espoir.
Un gland tombe : le nez du dormeur en pâtit. […] Souliers plats, pour ne pas tomber ; il y à là tout un tableau. […] J’aime mieux le dénoùment de La Fontaine : Et, pleurés du vieillard, il grava sur leur tombe, Ce que je viens de raconter. […] Il passe sur un vaisseau ; le pied lui manque, il tombe à la mer, et sa conspiration tombe avec lui. […] Mais tout à l’heure, ô cocher, vous alliez vous endormir, si la mouche en passant ne vous avait piqué, et ne vous avait réveillé ; sans elle, peut-être, nous tombions dans le fossé.
Le poëte, peu après, montre Henri assailli par d’Egmont, qui le blesse d’abord et tombe ensuite sous les coups du prince. […] Après avoir été enfermé longtemps dans les cachots de cette ville, rendu à la liberté par le soudan qui y commande, Orosmane, il va reconnaître son fils dans Nérestan, chevalier chrétien, qui était venu pour racheter les captifs de sa religion ; il retrouvera en même temps sa fille dans Zaïre, qui, tombée au pouvoir de l’ennemi comme son père et toute sa famille, avait été dès sa plus tendre enfance nourrie dans les erreurs du mahométisme, et semblait être alors sur le point d’épouser Orosmane. […] Que la foudre en éclats ne tombe que sur moi ! […] j’ai combattu soixante ans pour ta gloire ; J’ai vu tomber ton temple et périr ta mémoire ; Dans un cachot affreux abandonné vingt ans, Mes larmes t’imploraient pour mes tristes enfants : Et lorsque ma famille est par toi réunie, Quand je trouve une fille, elle est ton ennemie ! […] Tourne les yeux, sa tombe est près de palais : C’est ici la montagne où, lavant nos forfaits, Il voulut expirer sous les coups de l’impie ; C’est là que de sa tombe il rappela sa vie.
Ils me plongent dans d’ineffables rêveries, qui souvent ont fait tomber de mes mains les livres des philosophes. […] Bientôt des tonnerres affreux firent retentir de leurs éclats les bois, les plaines et les vallons ; des pluies épouvantables, semblables à des cataractes, tombèrent du ciel. […] Le bruit des eaux, des bois, de la foudre et des vents, qui tombent et se brisent contre les rochers ébranlés et fracassés ; les cris et les hurlements des hommes et des animaux, pêle-mêle emportés dans un tourbillon de sable, de pierres et de débris, tout semble annoncer les dernières convulsions et l’agonie de la nature. » On devra étudier aussi le récit d’une tempête que subit Bernardin aux environs de Madagascar, et qu’il raconte à un ami dans une lettre, sans préoccupation littéraire. […] Tout à coup j’entends son cri, je vole à sa voix : l’infortuné, foudroyé par le vent du feu, était tombé mort sur l’arène, et son dromadaire avait disparu. […] Vers le soir, le vent du nord reprit son cours ; l’air perdit sa chaleur cuisante, les sables tombèrent du ciel et laissèrent voir les étoiles : inutiles flambeaux qui me montrèrent seulement l’immensité du désert. » 1.
C’est un point arrêté2, que tout ce que nous sommes, Issus de pères rois et de pères bergers, La Parque également sous la tombe nous serre3 : Et les mieux établis4 au repos de la terre N’y sont qu’hôtes et passagers5. […] Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D’arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n’ont plus de sceptre, ils n’ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d’une chute commune3 Tous ceux que la fortune Faisait leurs serviteurs4 1. Rappelons ces vers de Boileau : il faut les savoir par cœur : Enfin, Malherbe vint ; et le premier, en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D’un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir, Par ce sage écrivain la langue réparée, N’offrit plus rien de rude à l’oreille épurée ; Les stances avec grâce apprirent à tomber, Et le vers sur le vers n’osa plus enjamber. […] Nous lisons dans les stances de Polyeucte : Toute votre félicité, Sujette à l’instabilité, En moins de rien tombe par terre, Et comme elle a l’éclat du verre, Elle en a la fragilité.
Fontenelle se distingue surtout par cette qualité, mais il tombe souvent dans le défaut qui la suit de près, c’est-à-dire l’affectation et le bel esprit. […] La délicatesse se fait voir, comme la finesse, à travers un voile transparent ; il ne faut pas plus abuser de l’une que de l’autre, pour ne point tomber dans l’afféterie. […] Malgré le discrédit où sont tombées les figures, dont les noms étranges, empruntés à la langue grecque, ont prêté à la satire, nous croyons utile d’en faire connaître les principales. […] Si la périphrase vient au secours d’un goût délicat, il ne faut pourtant pas trop éviter le mot propre : on risquerait de tomber dans l’affectation. […] Et cependant, on voit tomber derrière soi, tout ce qu’on avait passé : fracas effroyable !
Et cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu’on avait passé : fracas effroyable ! […] Riches voluptueux, assis à des tables chargées des mets les plus délicats, ces Lazares qui vous importunent de loin par leurs cris ne vous demandent que les miettes qui tombent de vos tables. […] On n’imagina d’autre vengeance que d’affecter de ne pas applaudir à des gladiateurs auxquels il applaudissait lui-même, et il s’écria dans sa colère : « Plût aux dieux que le peuple romain n’eût qu’une tête, je la ferais tomber ! […] Il faut user sobrement de cette figure ; autrement on tomberait dans l’affectation ; des antithèses trop multipliées deviennent fatigantes et rendent le style prétentieux. […] II, nº 69. — 2° Un poète devant la tombe du Pauvre.
Ô combien de vertus que la tombe dévore ! […] Ils tombent ces héros, ils tombent ces vengeurs ; Ils meurent, et nos jours sont heureux et tranquilles !
C’est toi qui me devais ces soins religieux1, Et ma tombe attendait tes pleurs et tes adieux. […] Mais, seule sur la proue, invoquant les étoiles, Le vent impétueux qui soufflait dans ses voiles L’enveloppe ; étonnée, et loin des matelots, Elle tombe, elle crie, elle est au sein des flots1. […] Leur sein fut moins troublé de douleur et d’effroi, Quand du bélier doré qui traversait leurs ondes, La jeune Hellé2 tomba dans leurs grottes profondes. […] A son apparition, toute la fausse poésie se décolora, se fana, et tomba en poussière.