Et qu’enfin, seul et nu, vous voguez solitaire, Allant où va le flot, sans jamais prendre terre2. […] Je conviens que vous seul savez ce que vous faites, Et que l’homme n’est rien qu’un jonc qui tremble au vent2. […] Porte ailleurs ton regard sur Dieu seul arrêté ! […] Remplis-moi d’un esprit qui me fasse comprendre Ce qu’ordonnent de moi tes saintes volontés, Et réduis mes désirs au seul plaisir d’entendre Tes hautes vérités. […] mon Dieu, donnez-moi un peu de temps, je voudrais bien donner un échec au duc de Savoie, un mat au prince d’Orange. — Non, non, vous n’aurez pas un seul, un seul moment. » Faut-il raisonner sur cette étrange aventure ?
Il les fault arracher de là, et mettre en place marchande : comme ce sien mot126, « Que les habitants d’Asie servoient à un seul, pour ne sçavoir prononcer une seule syllabe, qui est, Non, » donna peult estre la matière et l’occasion à La Boëtie de sa Servitude Volontaire. […] La France et l’Espagne, par manière de dire, sont conjurées contre lui seul. […] Comme il est bien certain que l’état de la vraie religion, dont Dieu seul a fait les ordonnances, doit être incomparablement mieux réglé que tous les autres. […] La seule résolution de se défaire de toutes les opinions qu’on a reçues auparavant en sa créance n’est pas un exemple que chacun doive suivre. […] Le présent n’est jamais notre but : le passé et le présent sont nos moyens ; le seul avenir est notre objet.
Quand un acteur parle seul, il fait ce qu’on appelle un me. […] Le principal doit seul servir à l’intrigue : c’est de cette source qu’elle doit partir. […] Ce spectacle a été long-temps soutenu par ce seul poëte comique. […] Ma fille toute seule étoit plus redoutable. […] Moi seul je leur résiste.
Périclès avait raison : un seul mot peut faire échouer tout un discours. […] Ce qui lui importe le plus, c’est de prouver qu’il n’est pas coupable : c’est là son seul vœu, sa seule pensée. […] Malheur à celui qui est seul ! […] Ne délayez pas une seule idée, et quelle idée ! […] … Mes amis, écoutez un mot, un seul mot.
Monsieur, il n’est pas nécessaire, et je m’en irai bien tout seul. […] n’a-t-il pas eu un seul moment ? […] Dieu a fabriqué le monde comme une grande machine que sa seule sagesse pouvait inventer, que sa seule puissance pouvait construire. […] Il veut être seul, et il ne peut supporter la solitude. […] Ils chantent les louanges des dieux ; ils ne font tous ensemble qu’une seule voix, une seule pensée, un seul cœur, une même félicité, qui fait comme un flux et reflux dans ces âmes unies.
Quelle grandeur qu’un seul homme en contienne tant ! […] Rapprochez du testament de Louis XIV ce fragment de l’Oraison funèbre que lui consacra Massillon : « Dieu seul est grand, mes frères, et dans ces derniers moments surtout, où il préside à la mort des rois de la terre : plus leur gloire et leur puissance ont éclaté, plus, en s’évanouissant alors, elles rendent hommage à sa grandeur suprême : Dieu parait tout ce qu’il est ; et l’homme n’est plus rien de tout ce qu’il croyait être. […] Le monde a été ébloui de l’éclat qui l’environnait ; ses ennemis ont envié sa puissance ; les étrangers sont venus des îles les plus éloignées baisser les yeux devant la gloire de sa majesté ; ses sujets lui ont presque dressé des autels ; et le prestige qui se formait autour de lui n’a pu le séduire lui-même. » Glissons ici ce fragment d’une Lettre que Louis XIV écrivait à Philippe V, son petit-fils, roi d’Espagne : « Il y a deux ans que vous régnez, vous n’avez pas encore parlé en maître par trop de défiance de vous-même ; vous n’avez pu vous défaire de votre timidité ; à peine cependant vous arrivez à Madrid, qu’on réussit à vous persuader que vous êtes capable de gouverner seul une monarchie, dont vous n’avez senti jusqu’à présent que le poids excessif. Vous oubliez l’embarras de vos affaires, et vous vous applaudissez de tenir seul vos conseils. […] Je choisis le cardinal d’Estrées comme l’homme le plus éclairé que je puisse mettre auprès de vous ; il me sacrifie son repos, sa santé, peut-être sa vie, sans aucun dessein que celui de marquer sa reconnaissance ; et quand vous avez le plus besoin de ses talents ; quand il est le plus nécessaire de prendre de promptes résolutions pour votre sûreté et celle de votre royaume, vous faites voir en vous une malheureuse facilité à croire que tout d’un coup vous pouvez gouverner seul votre monarchie, que le plus habile de vos prédécesseurs aurait eu peine à conduire dans l’état où elle est présentement.
Les deux justices sont représentées avec des attributs fort opposés, et sont accompagnées de figures allégoriques mises dans l’ombre par un seul mot, d’un côté le désespoir, ami cruel et mauvais conseiller, est le seul compagnon de la justice des hommes. […] Cette heureuse infraction aux lois du dialogue permet au poète de rendre plus vives et plus frappantes les apostrophes de l’interlocuteur qui parle seul. […] Dans la narration historique, la vérité règne seule, immuable et inflexible ; l’imagination est son esclave. […] L’imagination est seule reine et maîtresse ; elle ne consulte point la vérité, il lui suffit d’obéir à la vraisemblance. Mais cette seule règle de la vraisemblance impose au narateur de stricts devoirs.
Le vers est une de ces formes, et la plus générale ; mais il n’est pas la seule, il n’appartient pas rigoureusement à l’essence de l’art. […] Quelle est la règle de l’élision quand l’e muet se trouve seul à la fin d’un mot ? […] La rime est-elle suffisante quand elle se borne à une seule lettre ? La rime est insuffisante quand elle se borne à une seule lettre. […] Le seul e fermé suivi de l’e muet ou d’une consonne muette ne suffit pas pour la rime.
Ce couplet de Panard nous en fait voir de cinq, de quatre, et d’un seul pied. […] Cependant le seul e fermé ne suffit point pour cette rime. […] J’entends à son seul nom tous mes sujets frémir. […] Mais elle veut qu’une pensée soit exprimée tantôt en un vers, tantôt en deux ou trois, quelquefois dans un seul hémistiche. […] Il ne serait guère possible d’indiquer un poète, qui, dans toutes ses parties, se rapportât exactement à un seul de ces quatre genres.
Il vous faut d’autres amis, d’autres serviteurs ; ces pauvres que vous avez méprisés sont les seuls capables de vous secourir. […] Aussi à voir comme il marche, vous diriez que la nature ne le contient plus ; et sa fortune enfermant en soi tant de fortunes particulières, il ne peut plus se compter pour un seul homme. […] Mais il n’y pense pas, et dans cet accroissement infini que notre vanité s’imagine, il ne s’avise jamais de se mesurer à son cercueil, qui seul néanmoins le mesure au juste1. […] Pour Dieu, comme disait cet ami de Job, ne pensez pas être les seuls hommes, et que toute la sagesse soit dans votre esprit, dont vous nous vantez la délicatesse. […] « Et c’est ainsi que Dieu qui seul est sa mesure.
En effet, le peu de temps donné à une seule action ne permet aux personnages de parcourir que pou d’espace. […] Quelquefois un seul drame réunit tous ces genres d’intérêt ; plus souvent un seul suffit à notre attention. […] Il y a alors une espèce de dialogue de deux hommes en un seul. […] Chez nous, le vers alexandrin est le seul employé dans la tragédie. […] Tout est grand dans ce morceau ; tout y est d’une simplicité sublime : il n’y a pas un seul mot à retrancher.
Les oiseaux en chœur se réunissent et saluent de concert le père de la vie : en ce moment pas un seul ne se tait. […] Le Créateur, toujours attentif à soulager par un bienfait chacun des malheurs de la nature, t’opposa seule à toutes les peines des humains. Toi seule, donnée à l’homme, rendis la mesure de ses biens plus grande que celle de ses maux. […] Et qu’il se dit tout bas : « Pour un seul que de biens ! […] Seul, d’un honteux affront votre frère blessé A-t-il droit de venger son amour offensé ?
On oublie l’orateur ; le sujet seul occupe. […] Mes amis… écoutez un mot, un seul mot. […] Le cœur seul peut répondre au cœur. […] Vous seul, ô mon Dieu, connaissez ceux qui vous appartiennent. […] et vous croyez être ce seul heureux dans le grand nombre qui périra ?
Cela est indifférent, et il faut que ce soit l’intérêt seul qui en décide ; car il est aussi capable de manier de l’argent, ou de dresser des comptes, que de porter les armes. […] Le seul bien capable de le tenter est cette sorte de gloire qui devrait naître de la vertu toute pure et toute simple ; mais les hommes ne l’accordent guère, et il s’en passe. […] Une vie accompagnée d’un extrême bonheur joint à une longue expérience serait illustre par les seules actions qu’il avait achevées dès sa jeunesse3. […] Pensant mal de tout le monde, il n’en dit de personne ; ne voulant du bien qu’à lui seul, il veut persuader qu’il en veut à tous, afin que tous lui en fassent, ou que nul du moins lui soit3 contraire. […] C’est ce qui fit dire à Boileau : Déjà de tous côtés la chicane aux abois S’enfuit au seul aspect de tes nouvelles lois.
Une seule planche restait à cinquante pieds au-dessus du sol, et sur cette planche deux ouvriers. La planche, assez solide pour en soutenir un seul, allait se briser sous un double poids. […] En conséquence les trois quarts du dictionnaire furent traités en gens de bas étage et de mauvaise compagnie ; l’autre quart eut seul les honneurs du Louvre, des discours académiques, de la prose soutenue et des beaux vers. » De Reiffenberg, Introduction aux Leçons de littérature. […] C’est moi qui suis le seul coupable, Mais lui ! […] son seul crime, oh !
Il doit même, autant qu’il est possible, les simplifier, c’est-à-dire, en réduire plusieurs à une seule générale, en indiquant toutes celles qui en découlent. […] Déprécier un ouvrage sur le seul nom de l’auteur, qui, jusqu’à celui-ci, n’en a publié que de médiocres ; louer un ouvrage sur le seul nom de l’auteur, déjà connu par d’excellents écrits, ce serait juger avec prévention. […] L’ouvrage est peu de chose, et le seul nom fait tout125. […] Que l’auteur de l’ouvrage sur lequel il va porter son jugement soit son ami ou son ennemi, ce critique se persuade sans peine que, s’il trahit la vérité, s’il écrit une seule ligne contraire à sa façon de penser, il trompera bassement ses lecteurs, et se manquera à lui-même, en se vengeant de son ennemi par un lâche mensonge, ou en usant envers son ami d’une coupable indulgence. […] Le seul qui nous soit parvenu, est son Traité du sublime.
Un prince sera la fable de toute l’Europe, et lui seul n’en saura rien. […] Combien de familles divisées par une seule médisance ! […] Ceux qui veules qu’on ne parle pas mal d’eux n’ont qu’une seule ressource, qui est de bien faire. […] Tout le reste a ses amertumes ; ce plaisir seul les adoucit toutes. […] Lorsque l’omelette fut en état de m’être servie, je m’assis tout seul à une table.
Voyez dans un autre endroit, comme au seul nom de Bossuet, l’enthousiasme du poète s’anime, et de quel ton il parle de lui ! […] Je crois, par exemple, que l’esprit seul des livres saints pouvait inspirer le morceau suivant : Digne prix de ma foi, quelle auguste merveille Vint charmer tout à coup ma vue et mon oreille ! […] Le poème champêtre de Ruth repose tout entier sur un seul et même sentiment, la tendresse filiale. […] seul maître de ma vie, » Je ne me plaindrai point qu’elle me soit ravie : » Je ne veux que le temps et l’espoir, ô mon Dieu ! […] Seul, morne, et l’œil aride, accablé sous le poids, L’aîné des fils restait sans larmes et sans voix.
C’est lui-même, c’est lui seul qui, dans quelques instants, va remuer le fond de vos consciences. […] Elle est simple, quand elle n’a qu’un seul objet à prouver. […] Seul, tu vas attaquer Annibal ! […] vous seule, madame ! […] Il voulait dire des entrailles, le seul admis dans le sens métaphorique.
Le seul moyen d’y parvenir est de disposer si bien sa matière, d’en ordonner si naturellement les parties, qu’elles se suivent l’une l’autre, sans se rattacher par aucun lien artificiel. […] Hector tomba sous lui, Troie expira sous vous, Et vous avez montré par une heureuse audace Que le fils seul d’Achille a pu remplir sa place. […] Et dans cette nuit profonde, un seul trait de lumière a jailli : Voilà le parti des réprouvés ! […] Je vous regarde comme si vous étiez seuls sur la terre ; et voici la pensée qui m’occupe et m’épouvante. […] Vous seul, ô mon Dieu !
Une seule observation maintenant. […] La nature seule est presque toujours froide et inanimée. […] Une description se passionne naturellement, quand le narrateur, dominé lui-même par la passion, ne voit, dans les diverses images qui s’offrent à lui, qu’un seul être, l’objet de son amour ou de sa haine, auquel il ramène tous les détails, et dont il communique ainsi la vie à tout le reste. […] Exalté par la passion, le poëte ou l’orateur décrit-il, non plus ce que nous voyons avec lui, mais ce qu’il voit seul dans sa pensée ; reproduit-il, non la réalité des choses, mais les fantômes de l’imagination ; évoque-t-il pour les faire mouvoir, agir, répondre, interroger, les absents, les morts, les êtres inanimés et surnaturels ; c’est la prosopopée. […] Vous verrez, quand il sera question des figures, pourquoi de toutes ces formes la prosopopée qui substitue des êtres fantastiques aux êtres réels est la seule qui me paraîtrait pouvoir se rattacher au style figuré, en se plaçant auprès de l’allégorie.
Elle présente ensuite à la jeunesse une charmante variété d’objets, dont la seule vue développe toutes les facultés de l’âme. […] S’il y en avait un seul, ce serait un de ces phénomènes, que la nature ne produit que dans l’espace de plusieurs siècles ; et l’on pourrait d’ailleurs assurer qu’à l’appui de ces connaissances, il eût marché d’un pas bien plus ferme, et se fût bien plus avancé dans la carrière. […] Les anciens reconnaissaient Apollon pour être tout à la fois le dieu des arts et le dieu des sciences : les neuf muses qui composaient sa cour, étaient des sœurs inséparables, formant un seul chœur, quoique chacune d’elles présidât à un art ou à une science particulière. Mais ce ne sont pas là les seuls avantages que l’on retire de l’étude des Belles-Lettres.
L’enfant ne peut pas teter toujours1, ni même être sans cesse tenu par les lisières ; on le sèvre, on l’accoutume à marcher seul. […] Le seul honneur du monde suffit pour faire crever l’orgueil de dépit et de rage, quand on se voit si imbécile2. […] Il veut être seul, et il ne peut supporter la solitude. […] Il passerait d’abord de son tort au vôtre, et deviendrait raisonnable 7, pour le seul plaisir de vous convaincre que vous ne l’êtes pas. […] Fénelon ne répondit pas un seul mot.
Nous avons admiré le dieu d’Homère, qui, du seul mouvement de ses sourcils, ébranle l’Olympe ; c’est en effet nous donner d’un seul trait l’idée la plus complète de la puissance du Jupiter poétique. […] Tout cela est grand, sans doute ; mais qui ne reconnaît, à ces traits, le dieu sorti de l’imagination du poète, qui, rassemblant en un seul et même être toutes les idées partielles de la grandeur et de la puissance, en a formé ce que la pensée de l’homme peut concevoir de plus sublime et de plus au-dessus des idées ordinaires. […] Qu’est-ce que des Dieux qu’il faut armer de la sorte, en comparaison de celui qui n’a besoin que de se montrer pour ébranler la terre jusque dans ses fondements124 ; de celui qui, de son souffle seul, terrasse des armées innombrables ? […] Or ce charme, le plus puissant, le plus sûr de tous, qui le possède à un plus haut degré que la Bible, qui seule nous offre le modèle de tous les genres de beautés poétiques, morales, sentimentales et philosophiques ?
Pourquoi est-il venu tout seul à Paris, sans cire accompagne par sa maîtresse ? […] Un seul endroit est indiqué pour une idée accessoire. […] La remontrance de la source est la seule difficulté de ce canevas. […] Sous mes pas mesurés le parvis frémit seul ; enfin, j’ai franchi les degrés du sanctuaire. […] Je suis seul, et devant vous mon âme peut verser sa flamme et ses douleurs, et confier au ciel des accents ignorés, que lui connaîtra seul, que vous entendrez seuls.
Boileau a dit : Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. […] L’action est une, quand on se propose un seul but, auquel tendent tous les moyens qu’on emploie ; que ces moyens soient plusieurs ou qu’il n’y en ait qu’un seul, il n’importe ; le but seul rassemble tous les rapports, et les réunit. […] Un acteur qui parle seul fait ce qu’on appelle un monologue ; et quand plusieurs parlent, et qu’ils se parlent l’un à l’autre, c’est un dialogue. […] Le goût seul de l’auteur ou celui des spectateurs doit assigner la limite qu’on peut ou qu’on ne peut pas dépasser. […] Il y a des pièces où toute la suite des événements est exprimée par le geste seul et non mesuré, ou par le geste mesuré, c’est-à-dire par la danse.
Sa seule passion fut sa haine contre Richelieu, qui ne voulait voir en lui qu’un habile rhéteur, sans accorder aucun emploi à son ambition politique ; mais ce ressentiment ne fit explosion qu’après la mort du ministre. […] Il ne laissait pas un seul enjolivement ni une seule afféterie au logis : en dix mots il voulait employer douze figures ; il enflait sa matière de lieux communs et de pièces cent fois rejouées. […] Les verges ne piquent ni ne mordent d’elles-mêmes, ne frappent ni ne blessent toutes seules. […] Après lui avoir reproché sa mauvaise haleine, sa tête pelée, son visage pétri de boue et de sang, les monstres et les prodiges de ses débauches, en un mot les plus visibles défauts de sa personne et les crimes les plus connus de sa vie, cette grande lettre1, cette lettre injurieuse lui conseille, pour conclusion, de mettre fin par une mort volontaire à tant de maux qu’il souffre et qu’il fait souffrir, l’exhorte de donner par là à toute la terre la seule satisfaction qu’elle pouvait recevoir de lui. […] L’heureuse combinaison des tours et la noblesse des termes sont entrés dans le trésor de la prose oratoire : l’exagération emphatique, le faux goût, la recherche, sont demeurés sur le compte de Balzac, et l’on n’a plus compris la gloire de cet écrivain, parce que les fautes seules lui restaient, tandis que ses qualités heureuses étaient devenues la propriété commune de la langue qu’il avait embellie. »