XXIV, Chap.
Sur la comparaison de la pièce française avec la pièce grecque, on lira avec intérêt un chapitre des Etudes sur les tragiques grecs de M.
Chapitre premier.
Chapitre II. — Choix des Pensées Le second des ornements que peut recevoir le discours consiste dans le Choix des Pensées.
Réunis ainsi dans le tableau préliminaire du siècle qu’ils conduisent, chacun d’eux reste seul ensuite dans le chapitre spécial qui lui est consacré, chapitre qui commence par son portrait et qui est rempli par les extraits de ses ouvragés. […] La Boétie (1530-1563) Notice Né à Sarlat, où l’on montre encore sa maison ; traducteur précoce de différentes œuvres grecques de Xénophon, d’Aristote et de Plutarque ; conseiller, à vingt-trois ans, de ce Parlement de Bordeaux auquel appartinrent Montaigne et Montesquieu ; mort à trente-deux ans, Étienne de la Boétie doit l’immortalité à l’éloquent petit livre, le Contr’un, que lui inspira en 1548 l’horreur de la répression féroce d’une émeute des Bordelais par le connétable Anne de Montmorency, et à l’éloquent chapitre que son souvenir et son amitié ont inspiré à Montaigne (Essais, I, 27). […] C’est dans un des chapitres, de l’Art de terre, qu’il raconte ses travaux et ses souffrances. […] Nous n’avons plus de volonté, ny de voix au chapitre. […] Nisard dans un chapitre dont il faut beaucoup rabattre, mais dont le fond est juste et vrai, ne créa pas les talents, mais il leur ouvrit la carrière et il les régla283. » Il offrait dans toute sa personne, dans son air, dans son langage, cette image de justesse, de mesure, de goût, de noblesse, de grandeur et d’unité, que reproduit la littérature de son temps.
Si d’un côté les chapitres que renferment la partie historique du peuple de Dieu et la législation de Moïse, sont évidemment écrits en style prosaïque, il n’est pas moins évident que le Livre de Job, les Psaumes de David, le Songe de Salomon, les Lamentations de Jérémie, presque tous les livres des prophètes, et quelques passages de chapitres historiques, portent tous les caractères éminemment distinctifs de la poésie. […] Lisez attentivement l’introduction historique du Livre de Job renfermé dans les deux premiers chapitres, et ensuite le commencement du troisième chapitre dans lequel Job s’exprime lui-même, vous verrez comme est sensible ce passage de la prose à la poésie ; ce ne sont pas seulement les pensées poétiques et le style figuré qui vous en avertissent, c’est l’arrangement des mots et la cadence harmonieuse de chaque phrase. […] Les neuf premiers chapitres sont de la plus haute poésie, embellie de tout ce que les figures du style ont d’agréable et de gracieux. Le ton du dixième chapitre est sensiblement plus bas, et reste tel jusqu’à la fin ; mais on y observe toujours ce style sententieux et piquant, et ces périodes construites avec art qui distinguent toutes les poésies hébraïques. […] Nous citerons pour exemple ce passage du quarante-deuxième chapitre de la Genèse (v. 7, 16) : Josephus interrogans eos : Unde venistis ?
Après avoir rappelé brièvement dans quelles circonstances a été écrite la Lettre sur les occupations de l’Académie française, quels en sont le plan et l’esprit général, s’arrêter au chapitre sur l’Histoire, indiquer les principales qualités que Fénelon veut trouver en elle, et dire lequel, parmi les historiens français venus après lui, vous semble avoir le mieux suivi ses préceptes. […] En son chapitre Des ouvrages de l’esprit, La Bruyère dit : « Il n’a manqué à Molière que d’éviter le jargon et le barbarisme et d’écrire purement : quel feu, quelle naïveté, quelle source de bonne plaisanterie, quelle imitation des mœurs, quelles images et quel fléau du ridicule ! […] La Bruyère a dit dans le chapitre des Biens de fortune : « Ce que l’on prodigue, on l’ôte à son héritier ; ce que l’on épargne sordidement, on se l’ôte à soi-même. […] – Faire d’après le chapitre du mérite personnel et quelques passages des Caractères un portrait de La Bruyère à la cour de Chantilly. […] Nous n’avons point de narration plus aisée et plus rapide que l’Histoire de Charles XII ; et l’on pourrait citer tels chapitres de l’Essai sur les mœurs, et du Siècle de Louis XIV où tout est dit avec cette concision ornée et forte qui devrait être l’idéal même de l’historien.
Chapitre III.
Chapitre I.
Chapitre troisième. […] Cette réflexion nous conduit à dire que pour réussir parfaitement dans l’action, il faut posséder les connaissances nécessaires pour diriger le goût, qui fait apprécier à leur valeur les beautés de la pensée et de la diction en littérature, et c’est à quoi tend l’étude des trois premiers chapitres de cet ouvrage.
Chapitre III.
La réflexion que fait Cicéron dans son livre de l’Orateur, au chapitre de l’Invention, va nous servir à développer ce principe important.
II, chap.
IIe Épitre aux Corinthiens, chap. 1, vers. 12.
Chapitre IV.
Chapitre IV.
Chapitre V.
(Les trois Règnes, chap. 6).
Chapitre II.
Trad. de l’Imitation de Jésus-Christ, livre II, chap.
Chapitre XI.
Chapitre II.
CHAPITRE IV.
Chapitre II.
Chapitre III.
Jullien, p. 116) ; et chez les anciens, par Quintilien, Institutiones Oratoriœ, x, I, 106, et par Longin, Traité du Sublime, section xii ; chap.
Chapitre VI. […] Lorsque Sénèque fit ce chapitre éloquent, Il avait, comme vous, perdu tout son argent.