Si, dans ses débuts, il prit un malin plaisir à scandaliser les fidèles du temple classique par des écrits qui se ressentaient du voisinage orageux des romantiques, même sous ces déguisements dont il était le premier à sourire, il se signalait déjà par la décision de son style, l’entrain dramatique de son invention, et la franchise d’un esprit dont le tempérament est français par essence. […] Mérimée excelle à se détacher de lui-même, à soutenir le rôle d’un personnage imaginaire, à prendre le ton d’une situation, à faire parler un caractère, à peindre une physionomie par ses traits vivants. […] — Je n’ai pas besoin de votre bras, mon frère, mais prenez votre fusil et votre boîte à cartouches. […] sache, étranger, que depuis bien longtemps tu es ici le seul mortel qui ait pris pitié de moi. […] Les dix mille, jetés au cœur de l’Asie. sans chefs et sans organisation, se formaient en assemblée dans leur camp, discutaient leurs marches, leurs mouvements de retraite, et exécutaient à la lettre les mesures prises à la pluralité des voix.
— Ce sont les sources d’arguments pris en dehors du sujet. […] L’esprit prend volontiers intérêt à ce qui lui plaît et à ce qui l’instruit. […] L’on décrète ; On le prend. Avocat pour et contre appelé, Jour pris, je dois parler ; je parle ; j’ai parlé ! […] Je m’en vais prendre les voix et les suffrages.
La manière dont je devais m’y prendre pour le remplir ne m’a pas coûté non plus de longues réflexions. […] C’est toujours la main, il n’y a de différence que dans la figure qu’elle prend. […] Sous cette dernière forme il prend le nom d’amplification. […] Un habile orateur connaît ses auditeurs et de quelle manière il faut les prendre. […] Quelle confiance peut prendre le peuple en un prédicateur dont les mœurs démentent les paroles ?
Au nom de toute la terre, un roi se déclare partie et prend la parole contre un empereur. […] Où peut-on prendre ces sentiments ? […] Je prends pour juges de cette question les païens mêmes. […] Charles-Édouard prit des habits de servante, et suivit, sous le nom de Betty, mademoiselle Macdonald. […] L’injure a flétri sa vertu, et il a été offensé de ceux dont il ne pouvait prendre de vengeance.
Il y prend l’essor vers le sublime tragique et y atteint presque. […] Il ne voudra jamais prendre cette monnaie. […] Il sait prendre tous les tons et en changer toujours avec un admirable à-propos. […] Il trouve rarement et il ne prend même pas la peine de chercher le mot propre. […] Nous n’en prendrons, pour les juger rapidement ici, que quelques pièces d’un véritable mérite.
Lorsque nous avons en effet des conseils à donner ou des réprimandes à faire à quelqu’un, les simples lumières du bon sens nous indiquent qu’il y a certaines précautions à prendre ; et ces précautions, que nous prenons si naturellement, deviennent des préceptes de l’art, auxquels nous nous conformons, sans nous douter le plus souvent que cet art existe, et qu’il faut bien du temps et bien des soins, pour apprendre à faire méthodiquement ce que la nature fait si heureusement à notre insu. […] Que de précautions à prendre, pour que cette vérité n’eût rien d’amer, rien de repoussant, et qu’elle servît par le fait l’intérêt général, sans paraître blesser celui de tant de particuliers ! […] Malgré tant de précautions si adroitement prises, l’orateur ne se croit pas assez maître encore des esprits de ses auditeurs, et il termine son exorde, en déclarant qu’il va exposer les motifs de son opinion, mais que s’ils paraissent insuffisants à ceux qui l’écoutent, il est tout prêt à renoncer à son avis, pour adopter celui du plus grand nombre. […] ) Un vice essentiel, et très ordinaire cependant dans ces orateurs prétendus qui prennent le bavardage pour de l’éloquence, c’est de fonder leurs exordes sur des lieux communs qui n’ont pas le moindre rapport avec l’objet dont il est question. […] Il avait pris pour son texte ces paroles de J.
Le meilleur parti à prendre est d’être sobre de paroles, d’être concis dans ses idées, et de comprendre quand on le peut en une seule phrase les souhaits que l’on forme. […] En second lieu, on pourrait faire appel aux sentiments propres de la personne qui reçoit la lettre, y prendre des textes pour en exalter le mérite, et l’on n’aurait plus qu’à en désirer la continuation. […] Les lettres de condoléance s’écrivent aux personnes qui sont affligées, afin de leur témoigner la part que l’on prend à leurs douleurs. […] Toutes ces précautions doivent être prises même dans le cas de revers moins cruels. […] Pour bien écrire une lettre de conseils, il faut s’y prendre de telle sorte qu’an ne puisse nous accuser, en cas d’insuccès d’une affaire, d’avoir suggéré de mauvaises inspirations.
Prenons donc patience encore quelques instants. […] elle est encore, à tout prendre, ce qu’il y a de mieux dans cette Europe si corrompue. […] C’est encore, à tout prendre, le pays où il y a le plus de vie morale2. […] Dans une autre lettre à madame de Senfft, je lis encore : « Je prends un plaisir extrême à voir cette vie passer comme l’oiseau qu’on entrevoit à peine, et qui ne laisse point de trace dans les airs ; et quand après cela j’arrête mes regards sur cette immense éternité, fixe, immobile, vaste comme mon cœur, inépuisable comme ses désirs, je voudrais m’élancer dans ses profondeurs. […] Lamennais veut dire qu’il va prendre le mot d’ordre près des puissants.
Le moraliste qui peint les travers de la société vivante, l’écrivain qui retrace quelque grande scène de la nature, prennent leurs sujets dans le monde existant ; l’annaliste s’empare du monde historique, le romancier vit dans le monde idéal ; quant au monde fabuleux, il est aujourd’hui presque abandonné. […] Quand vous prendrez votre sujet dans l’histoire, dans la tradition, dans la mythologie, respectez les idées reçues. […] Il n’y a pas longtemps que certains journaux de la capitale ne trouvant pas la politique capable de défrayer seule l’avidité de leurs lecteurs, prirent fantaisie de faire de la littérature dans leurs feuilletons. […] On comprend aussi sons le nom de mœurs, les bienséances que l’orateur doit observer et les précautions qu’il doit prendre. […] Paraissez affectionné pour ceux qui vous écoutent ; qu’ils croient que vous les aimez et que vous prenez à cœur leurs intérêts.
Il me dit qu’il n’en ferait rien ; qu’il ne voulait pas que vous la vissiez ; que cela était trop sot et trop misérable. — Pour qui nous prenez-vous ? […] Prenez ces cent écus : gardez-les avec soin, Pour vous en servir au besoin. […] Le chat prenait l’argent. […] Au sortir de là, je suis arrivé à Savone, où j’ai trouvé la mer un peu plus émue l’il ne fallait pour le petit vaisseau que j’avais pris ; et néanmoins je suis, Dieu merci, arrivé ici à bon port. […] Imitons la nature dans sa marche et dans son travail ; prenons le temps de la réflexion ; elle nous aidera à former un ouvrage immortel.
Les lettrés, au dix-huitième siècle, prennent un rang nouveau dans la société. […] où prendre des jours et des moments de reste dans une vie qui n’est qu’un moment elle-même ? […] La conversation nous revint donc, et nous la prîmes. […] Ils prennent aisément des habitudes de société, mais jamais des mœurs. […] Mais n’est-ce pas une folie que de vous conter tout cela, et de prendre ce ton lugubre ?
Essayez d’agir ainsi, même avec les sujets qui, au premier abord, vous paraissent les plus indifférents, peu à peu cette animation fictive, sous certains rapports, échauffe réellement ; on s’enthousiasme pour son idée, la fiction devient une vérité ; et cela sans contradiction avec ce qui précède, car cette passion volontaire ne prend plus au cœur et aux entrailles, elle réside toute dans l’imagination. […] Ces écrivains passionnent toute chose, et l’intérêt tout personnel qu’ils semblent prendre aux moindres événements qu’ils racontent, aux moindres principes qu’ils établissent, leur donne des ressources infinies pour les développer en y intéressant aussi le lecteur. […] C’est le dévot demandant à Jupiter son tonnerre pour foudroyer un insecte ; c’est l’enfant, dit Quintilien, qui veut chausser le cothurne et prendre le masque d’Hercule. […] Dans un livre, vous pouvez préparer le lecteur, l’amener peu à peu à prendre vos impressions, l’échauffer insensiblement sur les sujets même les plus indifférents au premier coup d’œil. Et puis, que vous n’y parveniez pas, il vous quitte sans se plaindre ; la faute n’en est pas à vous, mais à lui qui, d’humeur triste, a pris un livre gai, ou d’humeur gaie, un livre triste.
Et combien est grand encore le nombre de ceux qui sont embarrassés lorsqu’il s’agit de prendre la plume et d’exprimer nettement leurs pensées ! […] Lorsqu’elles auront pris une teinture convenable de la rhétorique, elles seront plus en état de comprendre et de dignement apprécier les hommes qui brillent soit à la tribune, soit au barreau, soit dans les chaires de nos cathédrales. […] Il nous a semblé que, nous occupant de la langue française, nous devions la prendre à sa formation, en commençant par donner une idée des mots qui la composent ; aussi la leçon qui suit contient-elle quelques explications sur : 1° Les mots ; 2° Les langues ; 3° L’identité du mot avec l’objet qu’il représente ; 4° L’Écriture ; 5° La Grammaire ; 6° La Phrase et la Proposition. […] À mesure que les siècles s’écoulèrent, les hommes devinrent étrangers les uns aux autres, puis cherchèrent à établir entre eux des communications utiles : le commerce, les arts, les richesses, la paix, la guerre, les alliances furent autant de sources d’où jaillirent de nouvelles idées, et de là de nouvelles expressions qui constituèrent des idiomes particuliers : ici un objet était connu sous un certain nom ; là il prenait et admettait une dénomination différente, et ainsi les langues se multiplièrent. […] Les grammairiens prirent naissance, et leur règne commença.
La majeure et la mineure prennent encore l’une et l’autre le nom de prémisses. […] Il prend alors le nom d’Enthymème. […] Auguste est plus simple encore avec Cinna : Prends un siège, Cinna, prends, et sur toute chose Observe exactement la loi que je t’impose, etc. […] Il faut que la pensée prenne un corps ; il faut que le souffle pénètre ces éléments inanimés, et leur donne la couleur, le mouvement et la vie. […] Ce mot se prend ici lui-même dans un sens figuré.
Les écrivains médiocres, dont la pensée est toujours enveloppée de nuages, ne savent pas aller droit au but ; ils prennent des détours, accumulent les mots et affaiblissent l’idée. […] N’y a-t-il personne qui veuille me ressusciter en me rendant mon cher argent, ou en m’apprenant qui me l’a pris ? […] Un juge, l’an passé, me prit à son service ; Il m’avait fait venir d’Amiens pour être suisse. […] On comprend que ces expressions ne doivent pas se prendre au pied de la lettre ; mais il faut user sobrement de l’hyperbole, dont l’abus touche au ridicule. […] L’ironie prend le nom de sarcasme quand elle est vive et méchante, quand elle rit avec une malignité cruelle.
Il prend envie de marcher à quatre pattes, quand on lit votre ouvrage. […] J’en éprouve d’assez douloureux pour avoir pris votre parti ; mais je ne m’en repens pas, et je mourrai dans ma créance. […] Je lui conseillerais, s’il veut mettre fin à cette étrange aventure, de prendre à peu près son modèle sur la petite figure en porcelaine de Sèvres. […] Je vous prie de le prendre sous la vôtre. […] Le géomètre de Hollande avait pris les devants, et avait renvoyé sa patente de la dignité d’académicien de Berlin.
La verdure a pris, durant la nuit, une vigueur nouvelle ; le jour naissant qui l’éclaire, les premiers rayons qui la dorent, la montrent couverte d’un brillant réseau de rosée, qui réfléchit à l’œil la lumière et les couleurs. […] Ainsi il prenait toujours des partis extrêmes contre ses véritables intérêts, et il forçait tous les gens de bien à détester sa folle conduite. […] 3° Le Dilemme Du grec dis, deux fois, et lambanô, prendre ; prendre des deux côtés. […] Ainsi la haine prend les noms de crainte, de honte, de ressentiment, de colère, de vengeance, d’indignation, selon que l’objet détesté nous présente le danger, l’infamie, le mépris, l’outrage, la violence, etc. […] C’étaient de toutes parts des bruits confus de gens qui se poussaient les uns les autres, qui ne pouvaient s’entendre, qui prenaient dans ce trouble un inconnu pour leur ami, et qui couraient sans savoir où tendaient leurs pas.
La langue grecque reçut de ce grand peintre de la nature la supériorité qu’elle prit chez tous les peuples de l’Asie et de l’Europe. […] Leurs tours naturels et hardis deviennent familiers ; les hommes, qui sont tous nés imitateurs, prennent insensiblement la manière de s’exprimer et même de penser des premiers dont l’imagination a subjugué celle des autres ». […] Ce ne sont point ici de ces leçons rebattues, prises partout et répétées jusqu’à satiété, depuis que l’on parle goût et littérature : ce sont des traits hardis détachés du grand tableau de la nature, et présentés dans toute leur force primitive, par l’homme qui a le mieux lu dans ce grand livre, et qui en a traduit avec tant de succès les pages les plus intéressantes pour nous. […] Mais lorsqu’il se sera fait un plan, lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordre toutes les pensées essentielles à son sujet, il s’apercevra aisément de l’instant auquel il doit prendre la plume ; il sentira le point de maturité de la production de l’esprit ; il sera pressé de la faire éclore, il n’aura même que du plaisir à écrire. […] « Rien n’est, dit-il, plus opposé à la véritable éloquence, que l’emploi de ces pensées fines et la recherche de ces idées légères, défiées, sans consistance, et qui, comme la feuille du métal battu, ne prennent de l’éclat qu’en perdant de la solidité.
La verdure a pris, durant la nuit, une vigueur nouvelle : le jour naissant qui l’éclaire les premiers rayons qui la dorent, la montrent couverte d’un brillant de rosée qui réfléchit à l’œil la lumière et les couleurs. […] Mais où Jésus avait-il pris chez les siens cette morale élevée et pure dont lui seul a donné les leçons et l’exemple ? […] Voilà, monsieur, des conseils qui valent tous ceux que vous pourriez venir prendre à Montmorency ; peut-être ne seront-ils3pas de votre goût, et je crains que vous ne preniez pas le parti de les suivre ; mais je suis sûr que vous vous en repentirez un jour. […] Je me levai, me secouai1 ; la faim me prit ; je m’acheminai gaiement vers la ville2. […] Comme tous ces détails sont pris sur le vif !
Il devient réellement insupportable de converser avec des hommes qui n’ont, dans le cerveau, que des cases où tout est pris, et où rien d’extérieur ne peut entrer. […] J’y fus pris ; j’asservis au vain désir de plaire La mâle liberté qui fait mon caractère3 ; Et, perdant la raison, dont je devais m’armer, J’allai m’imaginer qu’un roi pouvait aimer. […] Tandis qu’il jase, et s’étudie à plaire, Un officier arrive, et le fait taire, Prend la parole, et conte longuement Ce qu’à Plaisance eût fait son régiment, Si par malheur on n’eût pas fait retraite. […] — Il faut s’instruire et se sonder soi-même, S’interroger, ne rien croire que soi, Que son instinct ; bien savoir ce qu’on aime, Et, sans chercher des conseils superflus, Prendre l’état qui vous plaira le plus. […] Il devient réellement insupportable de converser avec des hommes qui n’ont, dans le cerveau, que des cases où tout est pris, et où rien d’extérieur ne peut entrer.
L’écrivain doit se faire une loi, avant de prendre la plume, l’orateur, avant de prendre la parole, de méditer le plan qui convient le mieux au sujet : c’est là une nécessité. […] Il semble qu’à mesure qu’il se détache de la terre, il prend quelque chose de cette nature divine et inconnue qu’il va rejoindre. […] Mais que me revient-il des peines que je prends ? […] S’il n’eût été fidèle à son devoir, il eût pris la fuite. […] Dans les poètes latins on trouve constamment la poupe ou la proue prises pour tout le navire, le toit, tectum, pris pour toute la maison.
Cela me fasche17, ie ne suis plus ieune, ie deuiens vieulx, le temps est dangereux, ie pourray prendre quelque fiebure18, me voyla affolé19. […] Pris au lacet. […] Ce mot, qui se prend maintenant en mauvaise part, signifiait homme du peuple, domestique, soldat. […] Ce qu’on peut prendre avec la lippe, c’est-à-dire la lèvre. […] Ribaud ne se prit pas d’abord en mauvaise part.
Comme il sentit sa fin approcher, il pria, par un petit bulletin, sa femme de mander quelques gentilshommes, siens voisins, afin de prendre congé d’eux. […] Ce mot prend alors un t, parce qu’il vient du latin chortem, cour. […] je prends des notes. […] Outre que je prends ainsi de l’exercice, je tiens les visiteurs loin de moi. […] Le verbe pris substantivement.
C’est prendre les soldats par leur faible. […] Prenons nos précautions, en évitant de blesser les gens. […] Un mot ne rime avec lui-même que lorsqu’il est pris dans un sens tout-à-fait différent. […] Tant y a qu’il n’est rien que votre chien ne prenne. […] Vous prendriez alors la partie pour le tout, et cette synecdoque ne serait du goût de personne.
Les empereurs romains prenaient le nom de père de la patrie, dès qu’ils montaient sur le trône. Trajan, parvenu à l’empire, refusa pendant longtemps ce titre, et ne le prit, que quand il crut l’avoir mérité. […] Mais en fuyant toute brièveté obscure, il prendra bien garde, en même temps, de ne pas tomber dans l’excès contraire, la prolixité. […] En voici un exemple pris au hasard dans l’excellent Ouvrage de l’abbé Girard sur cette matière. […] Les mains cessent de prendre, Les bras d’agir, les jambes de marcher.
Ronsard lui-même en prit ombrage. « Les beaux dicts des Grecs et Romains, rémémorés par le doux Plutarchus », mirent en oubli les fades romans de chevalerie que lisait encore la cour dissolue des Valois. […] Et c’est cela qui plus nous profite, en nous contraignant de vivre regleement11, et prendre bien garde à nous, sans dire ne faire rien negligemment, à l’estourdie, ny imprudemment, ains12 conserver tousjours notre vie comme en estroitte diette13 irreprehensible : car ceste reservee caution14 reprimant les violentes passions de nostre ame, et contenant la raison au logis, engendre une accoustumance, une intention et volonté de vivre honestement et correctement. […] Il prit de l’avance sur ceux qui le poursuivaient. […] Comme beaucoup de verbes, il prend le sens neutre, parce que se est sous-entendu. […] Amyot a pris part (parte) pour la préposition par (per).