On appelait ainsi la partie de l’ancien habillement français qui couvrait le corps depuis le cou jusque vers la ceinture. […] C’était le nom de la partie du vêtement de l’homme qui le couvrait depuis la ceinture jusqu’aux genoux.
Les meilleurs épigrammatistes latins sont Catulle, né à Vérone l’an 86 avant Jésus-Christ, et Martial, né en Espagne vers le milieu du premier siècle de l’ère chrétienne, qui passa la plus grande partie de sa vie à Rome. […] Examine mon tout, et fais-en deux parties : L’un est un animal très subtil et gourmand, Réjouissant par ses folies, De doux maintien, maître en minauderies, Traître surtout ; l’autre est un élément. […] Beauzée a remarqué avec raison que cet usage n’était aucunement fondé ; que l’on pourrait faire de très jolies charades sur des mots qui se décomposeraient en trois parties significatives, comme tripotage, où l’on trouve tri (sorte de jeu), pot et âge ; ou tri, Pô et Tage (fleuves) ; ou tri et potage ; ou enfin tripot et âge.
Le péril extrême où se trouve mon fils, la guerre qui s’échauffe5 tous les jours, les courriers qui n’apportent plus que la mort de quelqu’un de nos amis ou de nos connaissances, et qui peuvent apporter pis ; la crainte que l’on a des mauvaises nouvelles, et la curiosité qu’on a de les apprendre ; la désolation de ceux qui sont outrés1 de douleur, et avec qui je passe une partie de ma vie ; l’inconcevable état de ma tante2, et l’envie que j’ai de vous voir, tout cela me déchire, me tue et me fait mener une vie si contraire à mon humeur et à mon tempérament, qu’en vérité il faut que j’aie une bonne santé pour y résister. […] Dans ce moment, le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses gens ; il ouvre deux fois de grands yeux et la bouche, et demeure tranquille pour jamais : songez qu’il était mort, et qu’il avait une partie du cœur emportée. […] xii, à l’exorde et à la troisième partie de l’Oraison funèbre de Turenne par Fléchier.
Mais ce qui nous donne à songer plus particulièrement et ce qui suggère à notre esprit mille pensées d’une morale pénétrante, c’est quand il s’agit d’un de ces hommes en partie célèbres et en partie oubliés, dans la mémoire desquels, pour ainsi dire, la lumière et l’ombre se joignent ; dont quelque production toujours debout reçoit encore un vif rayon qui semble mieux éclairer la poussière et l’obscurité de tout le reste ; c’est quand nous touchons à l’une de ces renommées recommandables et jadis brillantes, comme il s’en est vu beaucoup sur la terre, belles aujourd’hui, dans leur silence, de la beauté d’un cloître qui tombe, et à demi-couchées, désertes et en ruine. […] En tenant continuellement les regards élevés, nos esprits eux-mêmes s’élèvent ; et tout ainsi qu’un homme, en s’abandonnant aux habitudes de dédain et de mépris pour les autres, est sûr de descendre au niveau de ce qu’il méprise, ainsi les habitudes opposées d’admiration et de respect enthousiaste pour le beau nous communiquent à nous-mêmes une partie des qualités que nous admirons ; et ici, comme en toute autre chose, l’humilité est la voie la plus sûre à l’élévation. » Entendez ces belles paroles du docteur Arnold comme elles le méritent, et dans le sens où elles sont dites en effet, — avec religion, non avec idolâtrie.
De ce principe, comme du centre, se répand la lumière sur toutes les parties de cet ouvrage, de même qu’un peintre place dans son tableau le jour, en sorte que d’un seul endroit il distribue à chaque objet son degré de lumière. […] Il n’a un véritable ordre que quand on ne peut en déplacer aucune partie sans affaiblir, sans obscurcir, sans déranger le tout. […] Combien un homme est-il au-dessus de ce qu’on nomme esprit, quand il ne craint point d’en cacher une partie ! […] La raison À la vérité ma raison est en moi, car il faut que je rentre sans cesse en moi-même pour la trouver ; mais la raison supérieure qui me corrige dans le besoin, et que je consulte, n’est point à moi, et elle ne fait point partie de moi-même. […] Si un homme nous disait qu’une partie égale le tout dont elle est partie, nous ne pourrions nous empêcher de rire, et il se rendrait méprisable, au lieu de nous persuader ; c’est au fond de nous-mêmes, par la consultation du maître intérieur, que nous avons besoin de trouver les vérités qu’on nous enseigne, c’est-à-dire qu’on nous propose extérieurement.
Grâce à elle, je vous l’affirme, les dissensions civiles et domestiques ne pourront prévaloir contre aucune partie de la république. […] Par ce moyen, la partie de Syracuse qu’on appelle l’île, séparée de la ville par un petit détroit, s’y rejoint et s’y réunit par un pont. […] Je parlerai de leur mort barbare et de la rigueur de leurs tourments, lorsque je commencerai à traiter cette partie de mon discours. […] Ils prennent les armes, remplissent la place publique, et se répandent dans l’île qui occupe une grande partie de la ville. […] Celui-ci tenait toute l’île, et l’autre n’occupait, dit-on, que le mont Etna et la partie de la Sicile qui en est voisine.
Sans doute l’homme de lettres peut, en compassant,en analysant, dans son cabinet solitaire, tout ce qui a été écrit sur tel ou tel sujet, s’en former une théorie complète ; et cette manière de travailler, qui était surtout celle de Thomas, ne constitue pas cependant l’homme profondément versé dans telle ou telle de ces parties. […] Tout ce que le torrent des âges a emporté se reproduit à ses yeux. — Il voit la durée comme un espace immense, dont il n’occupe qu’un point : il calcule les jours, les heures, les moments ; il en ramasse toutes les parties, etc. » De quoi pensez-vous qu’il est question ici ?
Nous disons que l’âme de l’homme est un feu inextinguible et perpétuel ; qu’elle est originaire du ciel ; que c’est une partie de Dieu même1 : et par conséquent qu’il y a bien plus d’apparence qu’elle se ressente de la noblesse de sa race que de la contagion de sa demeure ; qu’il est bien plus à croire qu’elle dure, pour se réunir à son principe, pour acquérir la perfection de son être, pour devenir raison toute pure, qu’il n’est à croire qu’elle finisse, pour tenir compagnie à la matière, pour s’éloigner de sa véritable fin, pour courir la fortune de ce qui est son contraire plutôt que son associé. […] viii de la IIIe partie (les Empires), où Bossuet nous montre « Dieu préparant les effets dans les causes les plus éloignées, et frappant ces grands coups dont le contre-coup porte si loin ».
. — On appelle noms partitifs ceux qui marquent la partie d’un plus grand nombre, comme la plupart de, une infinité de, beaucoup de, peu de, etc. […] 141. — Le passé indéfini s’emploie indifféremment pour un temps passé, soit qu’il en reste encore une partie à écouler ou non.
Il faut encore que toutes les parties soient arrangées avec ordre, et si bien enchaînées, qu’elles naissent facilement les unes des autres, qu’elles soient même prévues et devinées d’avance : voilà la clarté du style. […] Pour compléter ce qui reste à dire de la clarté du style, on se reportera à ce qui a été dit sur la clarté de la phrase, dans les leçons précédentes, page 1 [Première partie, chapitre I, section I]. […] (Voir p. 7 [Première partie, chapitre I, section II). […] Un Paysage du Berri La partie sud-est du Berri renferme quelques lieues d’un pays singulièrement pittoresque. […] 8° Harmonie Comme nous avons suffisamment expliqué, au sujet des qualités de la phrase, en quoi consiste l’Harmonie, l’une des plus agréables qualités du style, nous renvoyons à la page 17 [Première partie, chapitre I, section IV].
Il convient surtout à la proposition, à la division d’un discours, aux récits où l’orateur ne cherche qu’à instruire, et aux parties où il ne faut que discuter, c’est le style de La Bruyère, de madame de Sévigné, de La Fontaine, de madame Deshoulières, de Fontenelle, de Fénelon, etc. […] Mais je ne veux plus en parler ; j’ai destiné une partie de cette après-dînée à vous écrire dans le jardin, où je suis étourdie de trois ou quatre rossignols qui sont sur ma tête. […] Style périodique ou développé Pour l’explication du style périodique, voyez page 23 de ce volume [Première partie, chapitre I, section IV, § IV, « Style périodique »]. […] Les marchands y abondent de toutes les parties du monde, et ses habitants sont eux-mêmes les plus fameux marchands qu’il y ait dans l’univers. […] (Voir le chapitre intitulé : Néologisme, p. 152 de ce volume [Première partie, chapitre IV, section II, 4°].)
» Certes, quand nous nous voyons penchant sur le retour de notre âge, que nous comptons déjà une longue suite de nos ans écoulés, que nos forces se diminuent6, et que le passé occupant la partie la plus considérable de notre vie, nous ne tenons plus au monde que par un avenir incertain : ah ! […] (Discours sur l’histoire universelle, iii e partie, les Empires.) […] et pourquoi vois-je ces parties si mal rapportées ? […] Mais c’est encore trop de vanité, de distinguer en nous la partie faible, comme si nous avions quelque chose de considérable. […] Je ne sais si ce que j’appelle veiller n’est peut-être pas une partie un peu plus excitée5 d’un sommeil profond, et si je vois des choses réelles, ou si je suis seulement troublé par des fantaisies et par de vains simulacres.
De maniere que3, ayant aymé, plus que toute aultre chose, feu4 monsieur de La Boëtie, le plus grand homme, à mon advis, de nostre siecle, je penserois lourdement faillir à mon debvoir, si, à mon escient5, je laissois esvanouïr et perdre un si riche nom que le sien, et une memoire si digne de recommandation6, et si je ne m’essayois, par ces parties là7, de le ressusciter et le remettre en vie. […] Par les parties, c. […] -à-d. partie (de petium, pièce de terre).
Dans ce moment, le cheval s’arrête, le héros tombe entre les bras de ses gens ; il ouvre deux fois de grands yeux et la bouche, et demeure tranquille pour jamais : songez qu’il étoit mort, et qu’il avoit une partie du cœur emportée. […] Le cardinal de Bouillon parla de vous, et répondit que vous n’auriez point évité cette triste partie si vous aviez été ici. […] xii, à l’exorde et à la troisième partie de l’Oraison funèbre de Turenne par Fléchier.
Quelle partie du monde habitable n’a pas ouï les victoires du prince de Condé et les merveilles de sa vie ? […] On s’attribue une supériorité de puissance et de force ; on se couronne de ses propres mains ; et lors même qu’on rend à Dieu de solennelles actions de grâces, et qu’on tend aux voûtes sacrées de ses temples les drapeaux déchirés et sanglants qu’on a pris sur les ennemis, qu’il est dangereux que la vanité n’étouffe une partie de la reconnaissance, et qu’on ne retienne au moins quelques grains de cet encens qu’on va brûler sur les autels » !
Cette lettre, que l’on rapporte à l’année 1682, jette beaucoup de jour sur les sentiments et la conduite de Mme de Maintenon relativement à la révocation de l’édit de Nantes, qu’on lui a souvent attribuée en partie. […] C’est ce que l’on voit dans plusieurs parties des ouvrages de Salomon, et notamment dans le chap.
Enumération des parties. — C’est l’art de développer un argument, c’est-à-dire de déduire d’une idée générale toutes les idées particulières qui y sont renfermées. […] Voici l’énumération des parties : — « Sans cesse la politesse exige, la bienséance ordonne ; sans cesse on suit des usages, jamais son propre génie : on n’ose plus paraître ce qu’on est ; et dans cette contrainte perpétuelle, les hommes qui forment ce troupeau qu’on appelle société, placés dans les mêmes circonstances, feront tous les mêmes choses, si des motifs plus puissants ne les en détournent. » — Les circonstances. — L’orateur, soit qu’il veuille affirmer, soit qu’il veuille nier un fait, s’appuie sur les circonstances au milieu desquelles il s’est produit.
Monsieur le Professeur, J’ai reçu la dernière partie de votre beau travail ; elle complète et couronne bien les deux autres. […] Voilà pourquoi toutes vos conceptions se tiennent et s’enchaînent par la connexité logique du principe et des conséquences ; voilà pourquoi tout votre ouvrage forme un système méthodiquement ordonné dans ses parties, comme un édifice pierre par pierre sur une seule base fondamentale.
Je désire que ce travail, tel que je l’ai conçu dans ses trois parties, soit utile aux jeunes gens, et qu’il épargne aux maîtres une faible part de travail. […] C’est la partie la plus vive et la plus subtile de l’âme qui s’appesantit et qui semble vieillir avec le corps. […] Si nous le considérons selon Dieu, c’est une partie de nous-mêmes, pus curieuse que savante, qui s’égare dans ses pensées. […] On se dédommage de tout cela par des promenades sur mer ; ces parties sont délicieuses. […] Le poète prend ici la partie pour le tout, et l’effet de la figure adoucit l’expression.
Mais en attendant cette décision, qui sera plus ou moins prompte, plus ou moins honorable, au gré de la direction que pourront prendre les opinions religieuses et littéraires, le Génie se soutiendra par des beautés réelles qui sont de tous les temps, de tous les lieux et de toutes les opinions : il n’y en a qu’une sur le mérite prodigieux de certaines parties de l’ouvrage ; mais elle varie sur les taches, que tous les lecteurs ne voient pas des mêmes yeux, et n’aperçoivent pas dans les mêmes endroits. […] Les physiciens entendirent avec surprise la poésie leur parler leur langue, publier leurs découvertes ; et peut-être les systèmes mêmes du grand Newton, jusqu’alors peu connus en France, durent-ils aux beaux vers de Voltaire une partie de leur célébrité. […] Mais la première base d’un traité quelconque, est que les intérêts des parties contractantes soient également respectés de part et d’autre. […] Voyez le Cours de Littérature, tome 16, deuxième partie, dans la notice.
D’ailleurs elle ne nous a transmis que les gestes de quelques nations, c’est-à-dire les actes d’une très-petite partie du genre humain : tout le reste des hommes est demeuré nul pour nous, nul pour la postérité ; ils ne sont sortis de leur néant que pour passer comme des ombres qui ne laissent point de traces ; et plût au ciel que le nom de tous ces prétendus héros, dont on a célébré les crimes ou la gloire sanguinaire, fût également enseveli dans la nuit de l’oubli ! […] La nature morte et la nature animée par l’homme Voyez ces plages désertes, ces tristes contrées où l’homme n’a jamais résidé, couvertes ou plutôt hérissées de bois épais et noirs dans toutes les parties élevées ; des arbres sans écorce et sans cime, courbés, rompus, tombant de vétusté ; d’autres en plus grand nombre, gisants au pied des premiers, pour pourrir sur des monceaux déjà pourris, étouffent, ensevelissent les germes prêts à éclore2. La nature, qui partout ailleurs brille par sa jeunesse, paraît ici dans la décrépitude : la terre surchargée par le poids, surmontée par les débris de ses productions, n’offre, au lieu d’une verdure florissante, qu’un espace encombré, traversé de vieux arbres chargés de plantes parasites, de lichens, d’agarics, fruits impurs de la corruption ; dans toutes les parties basses, des eaux mortes et croupissantes faute d’être conduites et dirigées ; des terrains fangeux, qui, n’étant ni solides ni liquides, sont inabordables, et demeurent également inutiles aux habitants de la terre et des eaux ; des marécages qui, couverts de plantes aquatiques et fétides, ne nourrissent que des insectes venimeux et servent de repaire aux animaux immondes. […] C’est peu qu’en un ouvrage où les fautes fourmillent, Des traits d’esprit semés de temps en temps pétillent ; Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu, Que le début, la fin, répondent au milieu ; Que d’un art délicat les pièces assorties N’y forment qu’un seul tout de diverses parties.
A l’égard de l’économie et de l’ordonnance de l’ouvrage oratoire, on le divisera, si l’on veut, en six, en cinq, ou en trois parties. […] L’éloquence est au sublime ce que le tout est à sa partie. […] C’est ce qui arrivera toujours lorsqu’une partie emploiera, pour plaider sa cause, un homme qui ne se soucie de son affaire que pour remplir sa profession avec éclat. […] Voilà la tendresse qui fait une partie de l’éloquence. […] Il y a dans ce livre confus quatre fois trop de paroles ; et c’est en partie pour cette raison qu’il est si confus.
Première partie. […] Elle était faite pour le plaisir : les divertissements, les spectacles, et enfin la licence même y faisaient une partie du culte divin. […] Le vieux roi des Sicambres, Pharamond, conduisait l’armée entière et laissait une partie du commandement à son petit-fils Mérovée. […] Le loup a beaucoup de force, surtout dans les parties antérieures du corps, dans les muscles du cou et de la mâchoire. […] La délicatesse des parties, quoiqu’elle aille à une finesse inconcevable, s’accorde avec la force et la solidité.
Un autre motif anime et soutient encore le courage de Cicéron : la multitude des auditeurs, et le concours nombreux des citoyens, dont la plus grande partie était entièrement dévouée à Milon et à son défenseur : 114« Reliqua verò multitudo, quæ quidem est civium, tota nostra est, neque eorum quisquam, quos undique intuentes, unde aliqua pars fori adspici potest, et hujus exitum judicii exspectantes videtis, non quùm virtuti Milonis favet, tum de se, de liberis suis, de patriâ, de fortunis hodierno die decertari putat. […] Comme notre admiration sincère pour tout ce qui est grand et vraiment beau, nous paraît suffisamment établie dans le cours de cet ouvrage, nous devons à la vérité et à Cicéron lui-même, de dire ici que cette seconde partie de la confirmation est évidemment inférieure à la première. […] Il n’en est pas ainsi de la péroraison : elle passe généralement pour la plus belle que Cicéron ait faite : et il y a d’autant plus de mérite à avoir si bien réussi, que le caractère et la conduite de l’accusé rendaient cette partie du discours plus difficile à traiter.
Aristote prend ici la partie pour le tout, et l’accessoire pour le principal. […] Mais comme il a servi de texte à une foule de discussions qui n’ont pas été sans influence sur l’art dramatique, particulièrement en France, on lira peut-être avec intérêt quelques extraits des controverses qui s’y rapportent : « Il suffit, dit Lopez de Véga, de s’attacher à l’unité d’action et d’éviter l’épisode, en sorte qu’il n’y ait rien d’étranger et qui nous tire du sujet principal c’est-à-dire qu’on n’en puisse détacher aucune partie, sans que la pièce tombe en ruine.
Si nous le considérons selon la nature, c’est un feu qu’une maladie et qu’un accident amortissent sensiblement ; c’est une heureuse conformation d’organes qui s’usent ; c’est la partie la plus vive et la plus subtile de l’âme, qui s’appesantit, et qui semble vieillir avec le corps ; c’est une finesse de raison qui s’évapore, et qui est d’autant plus faible et plus sujette à s’évanouir, qu’elle est plus délicate et plus épurée. Si nous le considérons selon Dieu, c’est une partie de nous-mêmes, plus curieuse que savante, qui s’égare dans ses pensées.