/ 222
68. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211

Une tête de barbe 1, avec l’étoile 2 nette ; L’encolure d’un cygne, effilée et bien droite 3 ; Point d’épaules non plus qu’un lièvre ; court jointé 4 Et qui fait dans son port voir sa vivacité ; Des pieds, morbleu, des pieds !

69. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bernardon de Saint-Pierre 1737-1814 » pp. 203-209

Le soleil allait se coucher lorsque nous mîmes pied à terre au milieu des champs. […] Il était si pauvre alors qu’il lui fallait aller à pied de Paris à Versailles, et en revenir de même.

70. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Voltaire 1694-1778 » pp. 445-463

Je divise en trois points le plus simple des cas ; J’ai, vingt ans, sans l’entendre, expliqué Saint-Thomas4. » Ainsi ces charlatans, de leur art idolâtres, Attroupent un vain peuple au pied de leurs théâtres. […] Un suc toujours égal est préparé pour eux ; Leur pied touche aux enfers, leur cime est dans les cieux ; Leur tronc inébranlable, et leur pompeuse tête, Résiste, en se touchant, aux coups de la tempête. […] Il écrivait à madame Denis : « Je commence, ma chère enfant, à sentir que j’ai un pied hors du château d’Alcine… Je ferai voile de l’île de Calypso, sitôt que ma cargaison sera prête, et je serai beaucoup plus aise de retrouver ma nièce que le vieil Ulysse ne le fut de retrouver sa vieille femme. » 3.

71. (1881) Rhétorique et genres littéraires

Mme de Sévigné fait allusion au mot célèbre de Pompée : J’ai beau frapper du pied, rien ne sort qu’une vie triste et monotone. […] Leur double prosodie comprenait à peu près les mêmes pieds et les mêmes espèces de vers. […] où il est mêlé à d’autres pieds ; mais le second, le quatrième et le sixième sont nécessairement des ïambes, Ex. […] Les vers de dix syllabes ont la césure après le quatrième, rarement après le cinquième pied. […] Tu mets comme un guerrier le pied sur ta conquête.

72. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338

La mort impitoyable éteignant son flambeau, Tient Melpomène en pleurs au pied de ton tombeau. […] — Et pourquoy sous tes pieds foules-tu la mort blesme ? […] Enfin ils n’ont des mains que pour faire figure ; Leurs pieds, s’il faut marcher, n’y sauraient consentir ; Et s’ils ont un gosier, il n’a point d’ouverture   Par où leur voix daigne sortir. […] Il se réfugie au pied de la croix.

73. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -

Il sentit l’importance de l’infanterie, et accomplit ses plus belles prouesses à la tête « des gens de pied », qu’il entraînait par son exemple. […] Ces pouvres gens s’en alloient à travers des ennemis, lesquels les rechassoient vers la citté ; et tout le camp demeuroit nuict et jour en armes pour cest effect, car ilz les nous rejettoient jusques au pied des murailles, afin que nous les remissions dedens, pour plustost manger ce peu de pain qui nous restoit3, et veoir si la citté se voudroit revoulter4 pour la pitié de leurs serviteurs et chambrieres : mais cella n’y fist rien, et si dura huict jours.

74. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -

Trop parler nuit Les autres passions et maladies de l’ame, comme l’avarice, l’ambition ont à tout le moins aucunefois1 jouissance de ce qu’elles desirent, mais c’est ce qui plus tourmente ces grands babillards, qu’ils cherchent par tout qui les veuille ouir, et n’en2 peuvent trouver : car soit ou que lon devise assis3, ou que lon se promene en compagnie, chascun s’enfuit grand’erre4 si tost que lon voit approcher quelqu’un de ces grands causeurs : vous diriez proprement que lon a sonné la retraite, si viste chascun se retire5… de maniere que les pieds font la bien besoing, comme disoit Archilochus6, ou plus tost7 le sage Aristote8, lequel respondit à un tel9 importun causeur qui le faschoit10 et luy rompoit la teste, en luy faisant des plus estranges11 contes du monde, et luy repetoit souvent. « Mais n’est-ce pas une merveilleuse chose, Aristote ? » Non, pas cela, dit-il, mais c’est bien chose merveilleuse, qu’un homme ayant des pieds puisse endurer ton babil. » Et à un autre semblable qui luy disoit, apres un long procez12 qu’il luy avoit fait : Je t’ay bien rompu la teste, philosophe, de mon parler » : Non as, respondit-il, point autrement13 : car je n’y ai point pensé14.

75. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174

Je vous peindrais l’ingratitude, l’imposture et la rapine, me poursuivant depuis quarante ans jusqu’au pied des Alpes, et jusqu’au bord de mon tombeau. […] Voler… On dit familièrement : les pieds ont des ailes, pour exprimer la rapidité de la marche. […] Nous sommes deux malades qui nous exhortons mutuellement à la patience ; mais la différence entre vous et moi, c’est que vous êtes jeune et aimable ; vous n’avez pas le petit doigt du pied dans l’eau du Styx, et j’y suis jusqu’au menton. » Ce mourant, qui s’obstinait à vivre, écrivait encore à un prince d’Allemagne : « La Providence maltraite fort votre petit vieillard suisse, et m’a fait l’individu le plus rétatiné et le plus souffrant de ce meilleur des mondes.

76. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Vauvenargues, 1715-1747 » pp. 336-343

Sire, Pénétré de servir, depuis neuf ans, sans espérance, dans les emplois subalternes de la guerre, avec une faible santé, je me mets aux pieds de Votre Majesté, et la supplie très-humblement de me faire passer du service des armées, où j’ai le malheur d’être inutile, à celui des affaires étrangères, où mon application peut me rendre plus propre. […] La terrasse du château de Vauvenargues, bâti sur un rocher, au pied de la montagne Sainte-Victoire qui, dans son nom même, a retenu le souvenir de la bataille de Marius et des Teutons.

77. (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose

Quel autre pays où l’on puisse jouir d’une liberté si entière, où l’on puisse dormir avec moins d’inquiétude, où il y ait toujours des armées sur pied exprès pour nous garder, où les empoisonnements, les trahisons, les calomnies soient moins connus, et où il soit demeuré plus de restes de l’innocence de nos aïeux ! […] Justement au pied, le carrosse s’arrêta tout court. […] Je suis amoureux d’une personne de grande qualité, et je souhaiterais que vous m’aidassiez258 à lui écrire quelque chose dans un petit billet que je veux laisser tomber à ses pieds. […] Le fougueux coursier que je monte, animé d’une noble ardeur, veut se jeter dans l’eau ; mais moi, plus modéré, je mets pied à terre. […] L’enfant de Sémélé, pour étudier la langue des dieux, s’assit dans un coin au pied d’un vieux chêne, du tronc duquel plusieurs hommes de l’âge d’or étaient nés.

78. (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série

Et pourtant moi, ta mère, ô Marcius, je la subirai : oui, je me jetterai suppliante à tes pieds. » À ces mots, Véturie tombe à terre. […] » À ces mots, Volumnie se jette, avec sa belle-fille, aux pieds de Coriolan qui s’écrie aussitôt : « Ô ma mère, que fais-tu ?  […] En effet, nous avons des forces à peu près égales à opposer aux habitants du Péloponèse et aux peuples voisins, et nous pouvons nous rendre promptement aux pieds de leurs murs. […] Les Athéniens nous ont provoqués les premiers, en attaquant Sardes, et vous savez tous comment ils se sont conduits à notre égard, quand Datis et Artapherne ont mis le pied sur leur territoire. […] Lui-même se dévouera le premier, et sera un des six habitants de Calais, que le roi d’Angleterre, Édouard III, demande qu’on lui livre la tête et les pieds nus, et la corde au cou.

79. (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-

Quelle différence entre la mort solennelle et théâtrale d’un Sénèque et la simplicité familière avec laquelle Socrate, en prison, montre à ses disciples ses pieds endoloris par les fers ! […] C’est un malheureux plébéien qui soulève le peuple contre les riches, en lui montrant sur son corps les traces sanglantes de la cruauté de ses créanciers ; c’est Fabius qui, devant le Sénat de Carthage, secoue la guerre des plis de son manteau ; c’est le malheureux Varron portant toute sa vie le deuil de ses légions de Cannes ; c’est Popilius enfermant dans un cercle le roi Antiochus ; ce sont les enfants de Persée traînés en triomphe avec leur père et tendant au peuple leurs mains suppliantes ; c’est César égorgé en plein jour, dans le Sénat, et tombant au pied de la statue de Pompée ; c’est Antoine étalant devant les rostres le cadavre du dictateur et comptant ses blessures ; enfin c’est Agrippine en deuil, débarquant à Brindes, accompagnée de ses fils orphelins et pressant sur son sein l’urne de Germanicus. […] Et puis du courant même de la rue, dont les flots agités venaient battre, pour ainsi dire, le pied du tribunal, que d’incidents devaient sortir !

80. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fontenelle. (1657-1757). » pp. 110-119

Il eut une partie de ses habits brûlés, et fut plus de vingt heures sur pied dans une action continuelle. […] Où en eussiez-vous été si on les eût pris au pied de la lettre ?

81. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Buffon, 1707-1788 » pp. 175-184

Son cou élevé, et sa poitrine relevée et arrondie semblent en effet figurer la proue du navire fendant l’onde ; son large estomac en représente la carène1; son corps, penché en avant pour cingler, se redresse à l’arrière, et se relève en poupe ; la queue est un vrai gouvernail ; les pieds sont de larges rames, et ses grandes ailes demi-ouvertes au vent et doucement enflées sont les voiles qui poussent le vaisseau vivant, navire et pilote à la fois. […] Delille disait : Le cygne, toujours beau, soit qu’il vienne au rivage, Certain de ses attraits, s’offrir à notre hommage ; Soit que. do nos vaisseaux le modèle achevé, Se rabaissant en proue, en poupe relevé, L’estomac pour carène, et de sa queue agile Mouvant le gouvernail en timonier habile, Les pieds pour avirons, pour flotte ces oiseaux Qui se pressent en foule autour du roi des eaux, Pour voile enfin son aile au gré des vents enflée, Fier, il vole au milieu de son escadre ailée.

82. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-10

Ils n’emmènent que les pailles et les plumes, et s’écroulent au pied des arbres et des murailles, sans les ébranler. […] Tibère a humilié toutes les âmes ; il a dompté tous les courages ; il a mis sous ses pieds toutes les têtes : il s’est élevé au-dessus de la raison, de la justice et des lois.

83. (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370

— 96, — 24, d’un arpent, lisez de cent pieds. […] Les traits des Sagontins avaient un fer long de trois pieds. — 4. […] Jason se présenta chaussé d’un seul pied devant Pélias, roi de Thessalie. — 8. […] Les fondations des tours s’enfonçaient dans le sol à une profondeur de trente pieds, et le sommet de la forteresse s’élevait à quatre-vingts pieds. […] Le mérite du brodequin, c’est de s’adapter exactement au pied. — 5.

84. (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — P — article »

Il prend sa source au pied du mont Viso en Piémont, dans le marquisat de Saluces, sur la frontière du Dauphiné, traverse une partie de l’Italie, et, après avoir reçu plusieurs rivières, va se jeter par plusieurs embouchures dans le golfe de Venise.

85. (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — D — article »

On croit que c’est le même qu’Oannès, un des dieux syriens, et qui étoit représenté sous la figure d’un monstre, avec deux têtes, des mains et des pieds d’homme, et une queue de poisson.

86. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — L. Racine. (1692-1763.) » pp. 267-276

    Et tu crois, ô mortel, qu’à ton moindre soupçon, Au pied du tribunal qu’érige ta raison, Ton maître obéissant doit venir te répondre ? […] Jusqu’au fond de leur sein lentement répandus, Dans leurs veines errants, à leurs pieds descendus, On les en voit enfin sortir à pas timides ; D’abord faibles ruisseaux, bientôt fleuves rapides.

87. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 185-195

Rousseau disait des voyages à pied : Je ne connais qu’une manière de voyager plus agréable que d’aller à cheval, c’est d’aller à pied.

88. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre I. Du Discours oratoire. »

On ne l’eut pas plutôt vu pied à terre, forcer le premier ces inaccessibles hauteurs, que son ardeur entraîna tout après elle. […] Ce n’est pas assez : il faut qu’il tombe à ses pieds, digne victime de sa valeur ; Nordlingue26 en verra la chute ». […] il met dans le sénat un pied téméraire ; il prend part aux délibérations de ce corps vénérable ; il jette sur chacun de nous des regards sanguinaires ; il marque de l’œil la place où il veut enfoncer le poignard ». […] Ni le soldat, ni l’officier, ni les troupes de pied, ni celles de cavalerie, ne peuvent y prétendre. […] C’est là que je vous verrai plus triomphant qu’à Fribourg87 et à Rocroi88, et ravi d’un si beau triomphe, je dirai en actions de grâces ces belles paroles du bien-aimé disciple : la véritable victoire, celle qui met sous nos pieds le monde entier, c’est notre foi.

89. (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français

Elle donne à la pensée, pressée aux pieds nombreux du vers, l’éclat du son dans la trompette, comme parle Montaigne. […] L’orateur frappait du pied ; il déchirait la robe de son client pour montrer les blessures qu’il avait reçues pour son pays. […] — Voilà comme procède l’orateur quand il s’engage dans un pas difficile, et qu’il sent le terrain mal assuré sous ses pieds. […] « Quel avantage, dit Pascal, pensait nous procurer Platon en disant de l’homme que c’était un animal à deux pieds, sans plumes ! […] Fouler aux pieds l’orgueil et du Tage et du Tibre.

90. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »

Je combats Pétréius, et je m’ouvre en ces lieux ; Au pied du Capitole, un chemin glorieux. […] Les soldats tombent aux pieds de Germanicus, le supplient de punir le crime, de pardonner à la faiblesse et de les conduire à l’ennemi : ovabant puniret noxios, ignosceret lapsis, et duceret in hostem . […] vous qui foulez aux pieds l’autorité du sénat.

91. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262

La crainte a mis des ailes à ses pieds. […] Virg. — Passus (de pandere), un pas, l’espace de cinq pieds. […] Ov. — Impedire (de in et pedes), embarrasser, retenir par les pieds. […] Depuis elle fut de six mille hommes de pied et de trois cents cavaliers, — Cohors. […] Fournir matière à une accusation. — Suppeditare (sub pedes dare), au propre, mettre sous les pieds.

/ 222