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45. (1839) Manuel pratique de rhétorique

avec de légères modifications, les règles de la rhétorique s’appliquent à toute espèce de composition écrite ou parlée, au style épistolaire, à la conversation même. […] Il doit d’abord examiner si le sujet prête aux passions, quelle espèce de passion il lui convient d’exciter. […] — Ses diverses espèces ? […] Nous considérerons seulement ici cette espèce d’harmonie, qu’on appelle nombre oratoire. […] — Quelles sont les qualités nécessaires à toute espèce de style ?

46. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160

Dès lors, et puisque toutes les circonstances tendent à prouver que Milon ne songeait en aucune façon à hâter son départ, il n’y a plus un mot de trop ; chaque menu détail se change en argument ; tout ce qui eût été défaut en général devient vertu dans l’espèce. […] Trouvez sur votre palette ces mille espèces de vert et de bleu que vous donne la nature ; trouvez-les dans un style à la fois net et flexible, dans une profonde connaissance et une grande habitude des ressources de la langue, dans un vocabulaire d’une étendue considérable, qui permette de rendre, tout en évitant le néologisme, les nuances les plus légères et les plus fugitives. […] Los rhéteurs, toujours disposés à multiplier les subdivisions, ont assigné à chaque espèce de description un nom spécial, en les rangeant mal à propos, ce me semble, parmi les figures de pensée. […] Quant à la classification des rhéteurs, je pense qu’on peut réduire toutes leurs espèces de description à deux, celle des choses, qui vient d’être traitée, et celle des personnes, que j’appelle simplement caractère ou portrait, et dont nous allons nous occuper.

47. (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre premier. Première espèce de mots.  » p. 6

Première espèce de mots. […] Le non commun convient à toutes les personnes, à toutes les choses semblables ou de la même espèce.

48. (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre VII. Septième espèce de mots.  » pp. 41-42

Septième espèce de mots. […] Cette espèce de mots s’appelle préposition, parce qu’elle se met ordinairement devant le nom qu’elle régit.

49. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VI. De l’Harmonie du Style. »

Ce que les philosophes grammairiens ont dit de la formation et des principes physiques du langage, doit faire sentir que chaque langue est plus ou moins susceptible de l’espèce d’harmonie dont nous nous occupons ici. […] Vous venez d’entendre Cicéron proscrire toute espèce de recherche et d’affectation à ce sujet : Aristote va s’exprimer plus fortement encore. […] Ces citations et l’excellente théorie d’Aristote, sont plus que suffisantes pour donner une idée appréciable de l’espèce d’harmonie que comporte la prose, du charme qu’elle y répand, et des effets heureux qui en résultent dans le discours.

50. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »

S’il y en avait eu un de cette espèce au palais, il aurait eu de l’ occupation. […] Le mérite de ces deux espèces de harangues consiste dans la brièveté et l’à propos. […] La fable suivante renferme les dix espèces de mesures. […] Les autres espèces de vers n’exigent point cette division. […] L’espèce d’enjambement la plus commune aux poétereaux c’est celle du génitif, et c’est aussi la plus disgracieuse.

51. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre VI. Massillon. »

. — Si vous priez rarement, le Seigneur sera toujours pour vous un Dieu étranger et inconnu, pour ainsi dire, devant qui vous serez dans une espèce de gêne et de contrainte ; avec qui vous n’aurez jamais ces effusions de cœur, cette douce confiance, cette sainte liberté que la familiarité toute seule donne, et qui fait tout le plaisir de ce commerce divin. […] Dans presque tous les discours de Massillon, c’est une espèce de dialogue entre lui et ses auditeurs : il interroge, il répond, il se met à la place des autres, fait ou prévient les objections ; et sa réponse est toujours celle que ceux qui l’écoutent avaient dans leur cœur. […] Les raisonnements de cette espèce de philosophie sont en conséquence de ses principes : cela est naturel ; et en voici la preuve : « On ne sait (dit le philosophe) ce qui se passe dans cet autre monde dont on nous parle. […] » Ô vous, qui croyez être un amas de boue, sortez donc du monde, où vous vous trouvez seul de votre avis ; allez donc chercher dans une autre terre des hommes d’une autre espèce, et semblables à la bête ; ou plutôt, ayez horreur de vous-même, de vous trouver comme seul dans l’univers, de vous révolter contre toute la nature, de désavouer votre propre cœur ; et reconnaissez, dans un sentiment commun à tous les hommes, l’impression commune de l’auteur qui les a tous formés ».

52. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338

Concluons donc que l’éloquence véritable et proprement dite, est un talent heureux, mais bien rare, qui ne peut être qu’un don de la nature, et que l’autre espèce d’éloquence est un art qui ne peut s’acquérir que par l’étude et l’exercice. L’objet de cette étude pour l’Orateur, est une connaissance profonde des règles qui concernent le plan, l’ordonnance, l’économie et le style du discours ; règles que j’exposerai dans la suite, en parlant du discours oratoire en général et de ses différentes espèces. […] Ce qui le caractérise principalement, ce sont les pensées brillantes, les belles images, l’éclat des figures, l’agrément des digressions, la variété des tours, cette cadence nombreuse et périodique, cette harmonie de style qui charme l’oreille, et jette l’esprit dans une espèce d’enchantement. […] C’est cette espèce d’éloquence qui a enlevé les suffrages, qui s’est rendue maîtresse des délibérations publiques, qui a étonné le monde par le bruit et la rapidité de sa course ; qui, après avoir excité l’applaudissement et l’admiration des hommes, les laisse dans le désespoir d’atteindre à cette haute perfection où elle s’est élevée.

53. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE VI. De l’emploi et du mélange des différentes sortes de vers. » pp. 339-342

IV STANCES DE QUATRE VERS ET DE DEUX ESPÈCES DE VERS. […] IV STANCES DE QUATRE VERS ET DE TROIS ESPÈCES DE VERS.

54. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Buffon. (1707-1788.) » pp. 146-152

Ces jolis oiseaux arrivent au moment où les arbres développent leurs feuilles et commencent à laisser épanouir leurs fleurs ; ils se dispersent dans toute l’étendue de nos campagnes : les uns viennent habiter nos jardins ; d’autres préfèrent les avenues et les bosquets ; plusieurs espèces s’enfoncent dans les grands bois, et quelques-unes se cachent au milieu des roseaux. […] C’est dans les contrées les plus chaudes du nouveau monde que se trouvent toutes les espèces d’oiseaux-mouches : elles sont assez nombreuses et paraissent confinées entre les deux tropiques ; car ceux qui s’avancent en été dans les zones tempérées n’y font qu’un court séjour : ils semblent suivre le soleil, s’avancer, se retirer avec lui, et voler sur l’aile des zéphyrs à la suite d’un printemps éternel. […] Pour le volume, les petites espèces de ces oiseaux sont au-dessous du taon pour la grandeur et du bourdon pour la grosseur.

55. (1854) Éléments de rhétorique française

La conjonction est une espèce de mot qui sert à lier ensemble les phrases ou les membres d’une même phrase. […] L’analyse de ces espèces de mots forme la première partie de la grammaire générale. […] Des règles de la disposition applicables à toute espèce de sujets. […] Dans ces différentes espèces de gestes, il y a une mesure que le goût et la bienséance doivent enseigner. […] Nous allons successivement exposer les règles et donner des exemples de ces trois espèces d’exercices.

56. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179

Régimes des différentes espèces de verbes. […] Aucun verbe, de quelque espèce qu’il soit, ne peut avoir deux régimes, soit simples, soit composés. […] Cette règle a lieu pour toute espèce de mots régissants, soit participes, soit adjectifs, soit prépositions, etc. […] Au reste, il y a quelques verbes de cette espèce, mais en très petit nombre, dont le participe est indéclinable, n’ayant ni féminin ni pluriel. […] Dans le premier exemple, le gérondif marque une espèce d’état du sujet, et dans le second, la cause de l’action.

57. (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374

La deuxième espèce dans l’ordre des rayons, a reçu de l’or le nom de sa couleur. […] Delà deux espèces de drame, le comique et le tragique. […] De toutes les parties d’une comédie de cette espèce, c’est la plus difficile à faire. […] Les actions de cette espèce, suivant ce rhéteur, ne sont donc pas vraiment tragiques. […] Aristote en compte de quatre espèces dans la tragédie.

58. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387

» Qu’à l’occasion d’un fait ou d’une observation, une sentence courte et vive, un trait d’esprit ou d’imagination se détache de l’ensemble en affectant le plus souvent la forme exclamative115, cette espèce d’exclamation se nomme épiphonème : Tant de fiel entre-t-il dans l’âme des dévots ! […] Racine et Buffon sont les modèles de cette espèce de construction. […] Et que serait-ce si des genres, j’en étais venu aux espèces ! […] Fontanier propose une nouvelle espèce de parenthèse qu’il appelle incidence, et dans laquelle il range toutes ces propositions elliptiques ou explicites que l’on jette à chaque instant dans la phrase pour en affecter l’assertion, par ma foi, je l’avoue, puisqu’il faut le dire, croyez-m’en, le dirai-je, etc.

59. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre premier. De l’invention. »

Tels sont : la définition, le genre, l’espèce, l’énumération des parties d’une chose, etc. […] La division, à sou tour, a amené des définitions de genres, et celles-ci des définitions d’espèces ; de là est venue l’énumération des parties, qui a fourni encore de nouvelles définitions et divisions de genres et d’espèces. […] Tout ce que nous venons de voir ne sort pas de la généralité, et peut s’appliquer à toutes espèces de composition ; mais l’art de composer a deux branches principales, qui sont la narration et le discours.

60. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre premier. »

Quel que soit l’objet du discours, celui qui parle doit commencer par une espèce d’introduction, qui prépare l’esprit des auditeurs : il établit ensuite l’état de la question, expose celui des faits, et les appuie de preuves propres à fortifier l’opinion qu’il a de la bonté de sa cause, et à détruire les raisons de son adversaire. […] Telle est la marche naturelle et la division plus ou moins sensible de toute espèce de discours. […] Quant à leur force graduelle, la règle générale veut que l’on procède du plus faible au plus fort ; et cette marche est excellente toutes les fois que l’orateur, convaincu de la bonté de sa cause, ne voit aucune espèce d’obstacle à en démontrer l’évidence.

61. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre premier. De la lettre. »

On distingue plusieurs espèces de lettres. […] Si elles ne sont pas intimement liées, si elles n’offrent pas de circonstances exceptionnelles, il n’y a qu’un parti à prendre, c’est d’être simple et court dans l’expression des vœux, et de faire, si l’on peut, une lettre d’une autre espèce en mêlant ou des nouvelles ou quelques autres objets qui puissent la transformer. […] La lettre de recommandation est une espèce de lettre de demande, par laquelle on sollicite près d’un ami, ou d’une personne tierce, appui et protection pour quelqu’un qui nous est connu.

62. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Rochefoucauld 1613-1680 » pp. 18-21

Il y a autant de diverses espèces d’hommes qu’il y a de diverses espèces d’animaux… Il y a des oiseaux qui ne sont recommandables que par leur ramage et par leurs couleurs.

63. (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)

On emploie le genre et l’espèce lorsqu’on prouve qu’il faut aimer la justice parce qu’il faut aimer la vertu, qui est genre par rapport à la justice ; et réciproquement, qu’on doit aimer, par exemple, la justice, qui est une des espèces de la vertu. […] On peut rapporter à cette espèce de sophisme tous les syllogismes vicieux. […] Celles-ci se distinguent encore en deux espèces : figures de mots, et figures de pensées. […] La synecdoque se fait 1º lorsqu’on prend le genre pour l’espèce, ou l’espèce pour le genre. […] Cette espèce de triomphe, dont l’orateur jouit d’avance, augmente ses forces, et lui donne un air de confiance qui subjugue et entraîne les esprits.

64. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317

On voit encore un exemple de cette espèce d’apostrophe, dans ces vers du Poème des Quatre Saisons, du C. de B**. […] L’Épiphonème est une espèce d’exclamation ou une réflexion courte et vive à la fin d’un récit, comme on va le voir dans cet endroit de l’Énéide : « L’infortuné Priamd se voyant menacé d’une guerre et d’un siège, dont il redoutait les événements, avait secrètement envoyé le jeune Polydore, un de ses fils, avec beaucoup d’or, au roi de Thracea, pour le faire élever dans sa cour. […] Racineen fournit un exemple de cette espèce dans la même tragédie. […] Il épouse Mademoiselle ; ma foi, par ma foi, ma foi jurée, Mademoiselle, la grande Mademoiselle, Mademoiselle, fille de feu Monsieur, Mademoiselle, petite-fille de Henry IV, mademoiselle d’Eu, mademoiselle de Dombes, mademoiselle de Montpensier, mademoiselle d’Orléans, Mademoiselle, cousine germaine du Roi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France, qui fût digne de Monsieur. » Il y a une espèce de suspension qui badine et qui se joue de l’attention du Lecteur. […] Voici encore un joli exemple de cette espèce de suspension.

65. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »

Denys d’Halicarnasse divise en trois espèces les caractères généraux du style, et les nomme le style austère, le fleuri et le mitoyen. […] Le style sec ne comporte aucune espèce d’ornement. […] Cicéron caractérise parfaitement ces deux espèces de fautes dans le passage suivant : « La latinité consiste à parler purement, sans aucun vice dans l’élocution.

66. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229

Et puis, quelles que soient l’érudition et l’habitude de l’écrivain, est-il possible de connaître assez à fond les phases de la langue, pour ne pas prêter au xve  siècle, par exemple, les locutions du xive , et réciproquement ; ce qui est une grande faute dans l’espèce ? […] Auprès de cet immonde argot, les jargons de la troisième espèce, les ramages de société, sont un parler charmant ; ce qui ne nous empêche pas, sinon de les anathématiser, au moins de les reconduire poliment jusqu’à la frontière de la langue, sauf à en couronner quelques-uns de fleurs, comme faisait Platon de son poëte. […] Non-seulement le purisme glace toute espèce d’élan, et donne au style une roideur pédantesque, mais souvent il s’oppose au vrai génie de la langue.

67. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250

« La vieillesse, voisine de l’éternité, est une espèce de sacerdoce, et quand elle est sans passions, elle nous consacre. […] Madame de Lambert a dit : « Les enfants aiment à être traités en personnes raisonnables ; il faut entretenir en eux cette espèce de fierté, et s’en servir comme d’un moyen pour les conduire où l’on veut.

68. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre III. Beautés de sentiment. »

Ainsi, tout est devenu sentimental, à mesure que toute espèce de sentiment s’est éteint ; et l’on a donné en mots la valeur fictive de choses qui n’existaient plus en réalité. […] Si cette espèce de néologisme se bornait à dénaturer le langage seulement, la contagion serait moins rapide, et ses effets moins multipliés ; les esprits justes et les personnes instruites seraient à l’abri du ravage, ou échapperaient sans effort à la séduction. […] Or, comme cette idée générale du beau est elle-même quelque chose de vague, il faut savoir parfaitement distinguer ce qui constitue l’espèce de beauté relative à l’objet auquel on l’applique ; nous nous sommes assez étendus sur cet article au commencement de l’ouvrage, pour nous dispenser d’y revenir. […] Indépendamment du génie qui présidait aux compositions hébraïques, il faudrait le concours des mêmes circonstances, la supposition du même degré de talent, pour qu’il y eût une espèce d’égalité de mérite entre le texte et la traduction.

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