Quels sont les défauts opposés à la pureté du style ? […] Quels sont les défauts opposés à la clarté ? […] Ce défaut vient de l’expression ou de la pensée. […] Quel est le défaut opposé à la dignité du style ? […] Quel est le défaut contraire à la finesse ?
Ce n’est pas qu’il dise toujours des choses fausses ; mais c’est qu’en voulant paraître avoir le dessein de nous servir en nous corrigeant de quelque défaut, il n’a que le dessein de déplaire et d’insulter. Nous devons donc regarder cette impatience, qui nous porte à nous élever sans discernement contre tout ce qui nous paraît faux, comme un défaut très-considérable, et qui est souvent beaucoup plus grand que l’erreur prétendue dont nous voudrions délivrer les autres. […] Mais il y a certains défauts généraux qu’il faut avoir en vue d’éviter, et qui sont les sources ordinaires de ces mauvaises manières. […] C’est ce qui nous rend si sujets à nous plaindre du procédé des autres et à faire remarquer leurs défauts, ou pour les corriger de ce qui nous déplaît en eux, ou pour les en punir par le dépit que nos plaintes leur peuvent causer et par le blâme qu’elles leur attirent. […] Pourquoi donc s’aigrit-on contre ceux qui croient que nous avons commis des fautes que nous n’avons point commises ou qui nous attribuent des défauts que nous n’avons pas, puisque leur jugement peut encore moins nous rendre coupables de ces fautes et nous donner ces défauts que la pensée d’un homme qui croit que nous avons la fièvre n’est capable de nous la donner effectivement ?
Quels sont les défauts opposés à la simplicité et au naturel ? […] Faites connaître les défauts voisins de la naïveté. […] Quel est le défaut voisin du sublime de pensée ? […] Faites connaître les autres défauts contraires à la pureté. […] Quels sont les défauts opposés à la propriété des termes ?
Parmi ces facultés, nous citerons le génie ou à son défaut le talent, la sensibilité, l’imagination, la mémoire, le jugement et le goût. […] Le goût en matière littéraire, que Quintilien et les Latins appelaient discernement, jugement, judicium, est un sentiment exquis du bon et du beau, un discernement vif et délicat, net et précis des beautés et des défauts que renferme un ouvrage d’esprit. Le goût distingue ce qu’il y a de conforme aux plus exactes bienséances, de propre à chaque caractère, de convenable aux différentes circonstances ; et, pendant qu’il remarque par un sentiment fin et exquis les grâces, les tours, les manières, les expressions les plus capables de plaire, il aperçoit aussi tous les défauts qui produisent un effet contraire, et il démêle en quoi précisément consistent ces défauts et jusqu’où ils s’écartent des règles sévères de l’art et des vraies beautés de la nature. […] C’est cette qualité qui fait apercevoir les moindres nuances, et saisir les beautés les moins apparentes ainsi que les plus légers défauts. […] Dans les belles-lettres, la critique n’est autre chose que l’art de juger un ouvrage d’esprit, pour en connaître les beautés et en signaler les défauts.
Ainsi l’on doit fuir les termes vagues ou équivoques, les constructions louches, les inversions forcées, les longueurs, les parenthèses et les expressions recherchées : tous ces défauts donnent de l’obscurité à la phrase. […] Défauts contraires à la Clarté Parmi les défauts contraires à la clarté, nous signalerons celui de ne pas suivre l’ordre naturel des idées. […] Ce défaut offre la plus grande confusion dans les idées ; c’est un brouillard qui laisse d’abord entrevoir les objets, et qui finit ordinairement par les dérober tous à la vue. […] C’est le défaut que l’on remarque dans la phrase suivante de Victor Hugo : « L’éloquence d’un orateur médiocre, près de celle d’un orateur habile, est un grand chemin qui côtoie un torrent. » Si l’obscurité est ordinairement un défaut, elle est quelquefois permise, en faveur de certaines pensées qui, exprimées clairement, manqueraient de délicatesse. […] 4° Il faut encore ajouter comme contraire à la pureté, le purisme qui est une affectation de la pureté, et par conséquent un défaut insupportable.
Il s’impatientait trop facilement dans les petites choses ; mais ce défaut, qui vient de la sublimité de l’esprit, est toujours joint à des lumières qui le suppléent2. […] Sa vue n’était pas étendue, et il ne voyait pas même tout ensemble ce qui était à sa portée ; mais son bon sens, et très-bon dans la spéculation, joint à sa douceur, à son insinuation et à sa facilité de mœurs qui fut admirable, devait compenser plus qu’il n’a fait le défaut de sa pénétration. […] Ce défaut a fait qu’avec l’âme du monde la moins méchante il a commis des injustices ; qu’avec le cœur d’Alexandre il n’a pas été exempt non plus que lui de faiblesse ; qu’avec un esprit merveilleux il est tombé dans des imprudences ; qu’ayant toutes les qualités de François de Guise il n’a pas servi l’État en de certaines occasions aussi bien qu’il le devait, et qu’ayant toutes celles de Henri du même nom il n’a pas poussé la faction où il le pouvait. Il n’a pu remplir son mérite, c’est un défaut ; mais il est rare, mais il est beau4. […] C’est-à-dire, qui remédient au défaut.
Ce serait un plus grand défaut encore, que ce qui est dit au commencement ou au milieu d’un ouvrage didactique, eût besoin d’être éclairci par ce qui est à la fin. […] Son objet est de faire connaître les beautés et les défauts d’un ou de plusieurs ouvrages, et de rendre raison du jugement qu’il en porte. Il lui est donc essentiel de savoir discerner ces beautés et ces défauts, et de les détailler avec précision. […] Que le journaliste pourrait bien ajouter, à la honte d’être tombé, par sa faute, dans l’erreur, l’injustice d’y jeter ceux de ses lecteurs, que le défaut de lumières oblige de l’en croire sur sa parole. […] On ne serait pas moins répréhensible, si l’on s’appesantissait sur les plus petits défauts d’un ouvrage, en passant rapidement sur les grandes beautés dont il étincelle.
C’est le défaut de son temps, auquel son esprit vif et subtil lui donnait une pente naturelle. […] Un tel homme ne mérite-t-il pas qu’on lui pardonne le défaut que nous reconnaissons en lui ? […] Saint Jérôme a encore ses défauts pour le style ; mais ses expressions sont mâles et grandes. […] Un des grands défauts de ce siècle, qui contribue le plus à cette décadence, c’est le mélange des styles. […] C’est un petit défaut attaché à notre langue, défaut bien compensé par le bel effet que font nos e muets dans la déclamation ordinaire.
Voyez le chef-d’œuvre de Molière, le double portrait si savamment tracé de l’espèce faux dévot et de l’individu Tartufe ; voyez le Misanthrope qui, à défaut d’intrigue, est une admirable galerie de portraits ; étudiez la manière du peintre, ce n’est en général qu’une simple esquisse, quelques traits énergiques, ineffaçables, deux ou trois touches qui déterminent une physionomie. […] Surtout, point de portraits de fantaisie chez l’historien ; c’est le plus grand défaut dans l’espèce. […] Les dramatistes de tous les peuples, les meilleurs même, tombent parfois dans ce défaut, Corneille et Racine aussi bien que Casimir Delavigne et Victor Hugo. […] Elle eût eu peu de défauts, si la galanterie ne lui eu eût donné beaucoup. […] Gonniot en a fait sentir les défauts.
On est indolent par défaut de sensibilité ; nonchalant par défaut d’ardeur ; négligent par défaut de soin ; paresseux par défaut d’action ; fainéant par antipathie de la peine. […] Ce défaut est commun de nos jours. […] Rien de plus intolérable que ce défaut. […] C’est le défaut de quelques écrivains de nos jours. […] C’est le défaut de ceux qui n’ont pas assez médité leur sujet.
Il y a du mérite dans leurs efforts ; ce mérite couvre leurs défauts. […] Il me semble que vous avez peine à écarter la foule d’idées ingénieuses qui se présente toujours à vous ; c’est le défaut d’un homme supérieur1, vous ne pouvez pas en avoir d’autres ; mais c’est un défaut très-dangereux. […] Il est vrai que les défauts de son caractère percent parfois dans ce qu’il prise, dans ce qu’il admire et rejette. […] C’est, dira-t-on, un beau défaut, c’est un défaut rare, c’est un défaut merveilleux. J’en conviens ; mais c’est un vrai défaut, et l’un des plus difficiles à corriger.
L’imagination religieuse y fait défaut ; mais des portraits, des caractères, des sentences politiques, des vers heureux nous y dissimulent les faiblesses d’une invention trop assujettie à la routine des procédés classiques. […] Il me semble que vous avez peine à écarter la foule d’idées ingénieuses qui se présente toujours à vous : c’est le défaut d’un homme supérieur1 ; vous ne pouvez pas en avoir d’autres ; mais c’est un défaut très dangereux. […] C’est, dira-t-on, un beau défaut, c’est un défaut rare, c’est un défaut merveilleux. J’en conviens ; mais c’est un vrai défaut, et l’un des plus difficiles à corriger.
Ce serait un plus grand défaut encore que ce qui est dit au commencement, ou au milieu d’un traité, eût besoin d’être éclairci par ce qui est dit à la fin. […] Son objet est de faire connaître les beautés et les défauts d’un ou de plusieurs ouvrages, et de rendre raison du jugement qu’il en porte. Il lui est donc essentiel de discerner ces beautés et ces défauts, et de les détailler avec précision. […] Il est assurément impossible de donner en moins de mots, et d’une manière plus agréable et plus piquante, une idée plus complète des qualités et des défauts des deux ouvrages. […] Madame Dacier est peut-être surprise de m’en avoir tant dit ; car, puisqu’elle avait promis d’abord de ne me point dire d’injures (p. 10), il y a apparence que ces phrases lui sont échappées comme un style polémique, sans qu’elle y fît assez d’attention ; mais je l’avertis que ce n’en est pas là la trentième partie, et que quand elles ne choqueraient pas par le défaut de bienséance, elles ennuieraient encore beaucoup par la répétition.
Ainsi, les cinq mots indolent, nonchalant, négligent, paresseux, fainéant, expriment un défaut contraire à l’amour du travail ; et cependant on ne peut dire qu’ils soient synonymes. On est indolent par défaut de sensibilité, nonchalant par défaut d’ardeur, négligent par défaut de soin, paresseux par défaut d’action, fainéant par antipathie de la peine. […] Fontenelle se distingue surtout par cette qualité, mais il tombe souvent dans le défaut qui la suit de près, c’est-à-dire l’affectation et le bel esprit. […] Des défauts du style. […] C’est le défaut capital des auteurs modernes.
Vous voulez prouver par le dilemme que Dieu a créé le monde parfait en son espèce : — « Majeure : Si Dieu n’a pas créé le monde parfait, cela ne peut venir que d’un défaut de volonté ou d’un défaut de puissance ; — Mineure : mais cela ne vient ni d’un défaut de volonté, car alors il serait méchant, c’est-à-dire il ne serait pas Dieu ; ni d’un défaut de puissance, car alors il serait impuissant, c’est-à-dire encore il ne serait pas Dieu ; — Conclusion : donc il a créé le monde parfait en son espèce. » Je passe d’autres espèces d’arguments ; ce livre n’est pas un traité de logique ; mais ce peu de mots peut suffire, ce me semble, à établir le principe et les modes les plus ordinaires de la logique formelle. […] Le paralogisme, selon plusieurs, diffère du sophisme, en ce que, de ces deux raisonnements également faux, le second est le résultat de la mauvaise foi et d’un parti pris, le premier celui de l’erreur et d’un défaut de science ou d’attention.
Content d’exposer le vrai, saint Justin dédaigna les ressources et le fard de l’éloquence : mais son style rachète, par la force et la précision, le défaut total d’ornements. […] Mais ces défauts sont rachetés en partie par la douceur, la noblesse et la gravité qui règnent dans ses discours. Ce grand homme ne s’est point garanti des défauts de son siècle, auxquels sa vivacité naturelle lui donnait peut-être trop de pente.
C’est ainsi qu’un amant dont l’amour est extrême Aime jusqu’aux défauts des personnes qu’il aime2. […] Il veut voir des défauts à tout ce qu’on écrit, Et pense que louer n’est pas d’un bel esprit, Que c’est être savant que trouver à redire, Qu’il n’appartient qu’aux sots d’admirer et de rire ; Et qu’en n’approuvant rien des ouvrages du temps, Il se met au-dessus de tous les autres gens. […] Le monde est volontiers sévère pour les défauts des gens d’esprit, et indulgent pour les défauts des sots. […] iii, 1. 1er) : « Ce que fait un père pour son fils, nous le devons faire pour nos amis, ne pas les prendre en dégoût, s’ils ont quelque défaut. […] Je sais encore moins cacher mes défauts, et faire le personnage d’un homme de bien si je ne le suis pas véritablement ; et quand je pourrais me rendre capable de cette science, il me fâcherait fort, après avoir passé neuf portes et donné des batailles pour en venir là, d’être enfin arrêté à la dixième ; et si on m’y recevait quelquefois, d’entrer en un pays où les chapeaux n’ont point été faits pour couvrir la tête, et où tout le monde devient bossu à force de faire des révérences.
Comment éviter des défauts scandaleux, comment se préserver d’habitudes vicieuses, si l’on ignore les premiers éléments de l’art de parler ? […] Lorsqu’on ne veut pas faire une énigme, trop d’obscurité est un défaut dans l’allégorie. […] Sénèque tombe fréquemment dans ce défaut. […] Si l’on peut reprocher quelque défaut à son admirable éloquence, c’est d’être quelquefois rude et sèche. […] Ils ôtent du poids aux paroles de l’orateur, et font naître le soupçon d’un défaut de solidité et de vigueur dans ses arguments.
Rien n’est plus froid que ces fictions ; elles ne disent rien à l’esprit ni au cœur ; elles rendent l’action épique languissante et détruisent l’intérêt des faits auxquels elles se trouvent mêlées : c’est un des défauts de la Henriade, où l’on voit agir l’Envie, l’Hypocrisie, la Politique, le Fanatisme. […] À ces petits défauts marqués dans sa peinture, L’esprit avec plaisir reconnaît la nature. […] Autour de lui se rangent les personnages secondaires, dont chacun doit avoir sa physionomie, son caractère, ses vertus ou ses défauts. […] Faites choix d’un héros propre à m’intéresser, En valeur éclatant, en vertus magnifique ; Qu’en lui, jusqu’aux défauts, tout se montre héroïque.
Ces deux défauts sont capables de jeter dans le plus affreux désordre les personnes même les plus résolues à pratiquer la vertu, et les plus remplies d’horreur pour le vice. […] On tombe dans le défaut de répandre un peu trop de sel, et de vouloir donner un goût trop relevé à ce qu’on assaisonne2. […] C’est, dira-t-on, un beau défaut ; c’est un défaut rare ; c’est un défaut merveilleux : J’en conviens ; mais c’est un vrai défaut, et l’un des plus difficiles à corriger. […] Nous pouvons croire Horace sur sa parole, quand il avoue qu’Homère se néglige un peu en quelques endroits ; je ne saurais douter que la religion et les mœurs des héros d’Homère n’eussent des défauts. Il est naturel qu’ils nous choquent dans les peintures de ce poëte1 ; mais j’en excepte l’aimable simplicité du monde naissant : cette simplicité de mœurs, si éloignée de notre luxe, n’est point un défaut, et c’est notre luxe qui en est un très-grand.
Ainsi Coriolan, Philoctète, Icilius (dans Virginie) ont tous avec Warvick, ce trait premier de ressemblance qui tient à l’idée générale du rôle ; et malgré les efforts de l’auteur pour graduer les nuances qui devaient les différencier, tous ces personnages ont un défaut commun, l’exagération du sentiment de l’injure, plus de roideur que de véritable force, et d’âpreté que d’énergie. […] Voilà quant aux dispositions générales : le plus ou moins de succès dans l’exécution dépendra ensuite du plus ou moins de talent dans l’écrivain traducteur ; mais il faut observer que le mérite même d’une exécution parfaite ne compensera jamais que faiblement ce défaut d’harmonie première qui a dû exister entre l’original et son imitateur, et qui a déterminé le choix du dernier. […] Les défauts cependant, ainsi que les beautés, appartiennent dans M. de Chateaubriand à une seule et même cause, qui me paraît avoir échappé aux critiques qui m’ont précédé. […] Mais pardonnons à ce fleuve majestueux, de mêler de temps en temps quelques grains de sable à l’or pur qu’il roule habituellement, et n’imitons point les défauts de Bossuet, ou plutôt ne cherchons jamais à suivre le vol de cet aigle infatigable : bornons-nous à en mesurer de loin la hauteur ; cela même ne suppose point une force vulgaire. […] On n’imitera que trop facilement les défauts de M. de Châteaubriand : mais aura-t-on son génie, pour les compenser comme lui par des beautés du premier ordre ?
En publiant le Lutrin, qui prouve que l’imagination ne lui fait pas défaut, il donne encore une leçon littéraire aux partisans du burlesque. […] Faites-vous des amis prompts à vous censurer2; Qu’ils soient de vos écrits les confidents sincères, Et de tous vos défauts les zélés adversaires. […] Courant, courant, courant, puis s’arrêtant tout court ; Voulant, ne voulant plus ; sans règle, sans conduite Sans arrêt, sans raison : que de défauts elle a, Cette jeunesse ! On l’aime avec ces défauts-là. […] Ce défaut est bien rare chez Boileau.
Quant au quatrième genre, les lecteurs de ce livre diront s’il répond à une réalité, ou si l’auteur n’a pas pris pour un genre son défaut de génie pour les trois autres. […] Elle parle plus volontiers de ses plaisirs que de ses dégoûts ; elle tient plus à nous faire aimer les beautés des livres qu’à nous rendre trop délicats sur les défauts des écrivains. […] Saint-Marc Girardin, ce moraliste lettré, dont le bon sens cause avec esprit, et sermonne nos défauts en souriant. […] « Suivez les enfants apprenant leurs fables, et vous verrez que, quand ils sont en état d’en faire l’application, ils en font presque toujours une contraire à l’intention de l’auteur, et qu’au lieu de s’observer sur le défaut dont on veut les guérir ou préserver, ils penchent à aimer le vice avec lequel on tire parti des défauts des autres.
Les rhéteurs anciens, il est vrai, ont presque tous ce défaut dont j’ai déjà parlé, celui d’être trop systématiques. […] Son seul défaut est de courir trop ouvertement après le bel esprit pour être toujours amusant. […] Ce genre d’affectation est le principal défaut des pastorales italiennes, qui, d’ailleurs, sont fort belles. […] Cependant il est impossible de ne pas reconnaître quelques défauts dans l’Odyssée. […] Outre ces défauts, on pourrait encore, à quelques égards, critiquer la distribution du sujet.