Discours de Germanicus mourant à ses amis. […] J’ai vu mes amis heureux par mes bienfaits, et mes ennemis assujettis par mes armes. […] Je laisse mon pays florissant, et mes amis dans l’abondance. […] … Jusques à quand, braves amis, le souffrirez-vous ? […] Imprudents amis !
Il a justifié l’éloge comme la censure ; mais tous, amis ou ennemis, s’accordent à reconnaître qu’il fut le plus universel de tous nos écrivains. […] Il y a cinq jours, mon cher ami, que je suis dangereusement malade ; je n’ai la force ni de penser ni d’écrire. […] N’oubliez point vos amis, et ne passez point des mois entiers sans leur écrire un mot. […] Il est bien vrai, mon cher ami, que je ne suis pas mort, mais je ne puis pas non plus assurer absolument que je suis en vie. […] Je me borne à décacheter les lettres des amis qui me restent, et c’est ma femme qui m’en fait la lecture, comme elle peut.
Un jour, il rencontre aux Champs-Élysées le comte de Boncourt, un de ses amis. […] Bougainville apprend enfin à son ami qu’il se rend à Brest. […] Arrivés à Brest, les deux amis visitent le vaisseau amiral. […] Il l’emmène à Brest, et tandis que les deux amis visitent le vaisseau amiral. […] 3° Les deux amis partent ensemble.
Salut à vous, amis de mon jeune âge ! […] C’était ma fête, et, pour comble de gloire, Tu fus chanté par mes amis. […] Tous ils sont prêts à nous fêter encore : Mon vieil ami, ne nous séparons pas. […] Attends un peu ; nous finirons ensemble : Mon vieil ami, ne nous séparons pas. […] A mes parents et amis de Péronne, ville où j’ai passé une partie de ma jeunesse, de 1790 à 1796.
Vesins dit à ses amis qu’il se charge du meurtre de Regnier. […] Le soir même Khoreb renvoie au roi de Perse son ami sans rançon. […] Conversation des deux amis. […] Adieux des deux amis. […] Discours du chevalier de Gourgues à ses amis.
Contemporain de la vieillesse chagrine de Louis XIV, ce récit frondeur sans amertume fait pressentir le voisinage d’un âge philosophique et ami de la satire. […] Parlez-moi confidemment, mon ami ; n’avez-vous rien trouvé, en écrivant, qui vous ait choqué ? […] Va, mon ami, tu n’as pas, je t’assure, l’oreille béotienne. » En un mot, il fut si content de moi, qu’il me dit avec vivacité : « Sois, Gil Blas, sois désormais sans inquiétude sur ton sort ; je me charge de t’en faire un des plus agréables. […] Vous voyez que Monseigneur tombe ; vous devez l’en avertir, non-seulement comme dépositaire de ses pensées, mais encore de peur que quelqu’un de ses amis ne fût assez franc pour vous prévenir. […] Il suffit que le poëte croie s’entendre. — Tu te moques de moi, interrompis-je, mon ami.
Il a justifié l’éloge comme la censure ; mais tous, amis ou ennemis, s’accordent à reconnaître qu’il fut le plus universel de tous nos écrivains. […] Vous m’avez écrit, mon charmant ami, une lettre où je reconnais votre génie2. […] » Oui, mon ami, voilà de quoi vous rendre malheureux à jamais. […] N’oubliez point vos amis, et ne passez point des mois entiers sans leur écrire un mot. […] Il a fui son bonheur, il a méconnu ses vrais amis ; et c’est plutôt aujourd’hui le Juif errant que le philosophe Socrate.
Chardin1 et Vernet, mon ami, sont deux grands magiciens. […] Il n’eut pas de peine à reconnaître le trouble terrible de son ami ; il s’informa de ce qui pouvait lui être arrivé. […] Cet homme n’est pas votre ami ? […] Chanson que tout cela, mon ami. — Mais qu’est-ce donc que ce peut être ? […] Mon ami.
Quand ce fut à mon tour : « O saint ami ! […] Me pardonnerez-vous, vous qui n’avez sur terre Pas même cet ami du pauvre solitaire ? […] J’entourai de mes bras son cou gonflé de joie ; Des gouttes de mes yeux roulèrent sur sa soie ; « O pauvre et seul ami, viens, lui dis-je, aimons-nous ! […] Je chantais, mes amis, comme l’homme respire, Comme l’oiseau gémit, comme le vent soupire, Comme l’eau murmure en coulant. […] la vache, la chèvre, des brebis, le pigeon, des oiseaux chantants, le chien surtout, ce meuble vivant du foyer, cet ami de ceux qui sont oubliés du monde et qui pourtant ont besoin d’être aimés par quelqu’un !
Je n’ai point fait la pièce que vous m’imputez et qui vous pique2 ; je l’ai reçue de Paris avec une lettre qui m’a appris le nom de son auteur ; il l’adresse à un de nos amis, qui vous en pourra donner plus de lumière. […] La modestie et la générosité que vous y témoignez leur semblent des pièces rares, et surtout votre procédé merveilleusement sincère et cordial envers un ami. […] Vous me mandez impérieusement que, malgré nos gaillardises passées, je sois encore votre ami, afin que vous soyez encore le mien ; comme si votre amitié me devoit être fort précieuse après cette incartade, et que je dusse prendre garde seulement au peu de mal que vous m’avez fait, et non pas à celui que vous m’avez voulu faire. […] Ce n’est pas assez de dire : Soyez encore mon ami, pour recevoir une amitié si indignement violée. […] Résistez aux tentations de ces gaillardises qui font rire le public à vos dépens, et continuez à vouloir être mon ami, afin que je me puisse dire le vôtre.
Une dernière observation générale, c’est qu’une lettre ne doit point être allongée sans nécessité, excepte entre amis. […] Ne parlons point des demandes que les amis peuvent se faire. […] Tel sera entre amis le plan à suivre, et l’on fera bien d’y conformer son style. […] Car, par un ton violent, le supérieur peut aigrir au lieu de corriger, et l’ami peut provoquer une rupture au lieu d’amener une réconciliation. […] Racine ne se plaint pas, mais il va se plaindre ; bien plus il dira des injures ; bien plus encore son ami n’aura que ce qu’il mérite.
Faites état de moi, monsieur, comme du plus chaud de vos amis. […] Je vis l’autre jour sur le théâtre un de nos amis qui se rendit ridicule par là. […] je m’en réjouis, et je ne manquerai pas de l’avertir que tu es de ses amis. […] Notre ami est de ces gens-là, sans doute. […] Ce Lysandre est le cousin germain de Damis, l’ami dont Célimène fait si bien le portrait.
Marc-Aurèle recommande à ses amis son fils Commode. […] Quoi de plus honorable que de venir en aide à ses amis ? […] Lettre de Sénèque à son ami Lucilius. […] Veux-tu être chéri de tes amis ? […] Lettre de Columelle à un de ses amis.
Vous tutoierez votre ami. […] Les chiens sont les amis prudents qui avertissent, souvent en vain, Je jeune homme de ses écarts. […] Amis, parents, gloire, bonheur, tout s’évanouit. […] Des amis vous conseillent ce que des ennemis ne peuvent vous forcer à faire ! […] C’est donc un ami, un frère, qu’on va dévorer.
Messieurs, ami de tout le monde. […] N’a-t-il point quelque ami qui pût, sur ses manières, D’un charitable avis lui prêter les lumières ? […] Il est de mes amis. […] Il est sot, avantageux ; sans doute qu’il se veut rendre agréable à ses amis. […] Amie.
Que pouvaient mes amis ? […] Ge serait l’amour sans tache et plein, si de l’enfant au père il y avait le retour égal de l’ami à l’ami, de l’époux à l’épouse ; mais il n’en est rien. […] … amis ! […] amis ! […] Je ne diffère, ami, que pour mieux la tenir.
Une absence à l’Académie À Madame Necker Ma très-respectable amie, je ne sortirai pas de deux jours, et je vous dirai confidentiellement que cela convient encore mieux à mon projet qu’à ma santé. […] Aux avantages de la nature, le cygne réunit ceux de la liberté ; il n’est pas du nombre de ces esclaves que nous puissions contraindre ou renfermer ; libre sur nos eaux, il n’y séjourne, et ne s’y établit qu’en jouissant d’assez d’indépendance pour exclure tout sentiment de servitude et de captivité ; il veut à son gré parcourir les eaux, débarquer au rivage, s’éloigner au large, ou venir, longeant la rive, s’abriter sous les bords, sc cacher dans les joncs, s’enfoncer. dans les anses les plus écartées ; puis, quittant sa solitude, revenir à la société, et jouir du plaisir qu’il paraît prendre et goûter en s’approchant de l’homme, pourvu qu’il trouve en nous ses hôtes et ses amis, et non ses maîtres et ses tyrans1. […] Lettre à M. de la Condamine1 lors de sa reception a l’académie française Du génie pour les sciences, du goût pour la littérature, du talent pour écrire, de l’ardeur pour entreprendre, du courage pour exécuter, de la constance pour achever, de l’amitié pour vos rivaux, du zèle pour vos amis, de l’enthousiasme pour l’humanité : voilà ce que vous connaît un ancien ami, un confrère de trente ans, qui se félicite aujourd’hui de le devenir pour la seconde fois. […] Rappelons ces beaux vers de M. de Lamartine sur le chant du cygne : Les poëtes ont dit qu’avant sa dernière heure En sons harmonieux le doux cygne se pleure ; Amis, n’en croyez rien ; l’oiseau mélodieux D’un plus sublime instinct fut doué par les dieux. […] D’une société de trois ou quatre intimes amis, il faut voler à l’opéra, à la comédie, voir des curiosités comme un étranger, embrasser cent personnes en un jour, faire et recevoir cent protestations ; pas un instant à soi, pas le temps d’écrire, de penser, ni de dormir.
Avait-il des parents, des amis ? […] Dimanche, au meilleur de mes amis... […] Dimanche… Êtes-vous bien de mes amis ? […] Ces amis restent chez eux quand on le porte en terre. […] Le vin ne peut servir de guide, mais on le compare à un ami qui accompagne son ami, lui montre son chemin, et cette comparaison justifie la figure.
Il y a une raillerie très amère contre ceux qui s’intitulent amis, mais qui ne méritent pas ce nom. […] « Mon ami, dit Caton, reprenez vos esprits ; Cet accident, en soi, n’a rien d’épouvantable. […] On m’a conté qu’en Helvétie, Louise, une fleur à la main, Près de Lisbeth, sa douce amie, Un jour s’était mise en chemin. […] dit-elle à son amie, Avant toi si je perds la vie, Souviens-toi De moi. » Soudain l’avalanche sauvage Roule et l’entraîne dans son sein. Jetant alors sur le rivage La fleur qu’elle tenait en main : « Adieu, dit-elle, mon amie, Garde bien cette fleur chérie ; Souviens-toi De moi. » Lisbeth veut suivre son amie ; Au trépas elle veut courir.
On cherche des amis utiles ; ils sont dignes de notre amitié dès qu’ils deviennent nécessaires à nos plaisirs ou à notre fortune ; l’intérêt est un grand attrait pour la plupart des cœurs ; les titres qui nous rendent puissants se changent bientôt en des qualités qui nous font paraître aimables ; et l’on ne manque jamais d’amis, quand on peut payer l’amitié de ceux qui nous aiment. […] Des amis qui nous font honorer nous sont toujours chers3, il semble qu’en les aimant nous entrons en part4 avec eux de la distinction qu’ils ont dans le monde ; nous cherchons à nous parer, pour ainsi dire, de leur réputation ; et, ne pouvant atteindre à leur mérite, nous nous honorons de leur société, pour faire penser du moins qu’il n’y a pas loin d’eux à nous5 L’emploi du temps 6 Nous regarderions comme un insensé dans le monde un homme, lequel héritier d’un trésor immense, le laisserait dissiper faute de soins et d’attentions, et n’en ferait aucun usage, ou pour s’élever à des places et à des dignités qui le tireraient de l’obscurité, ou pour s’assurer une fortune solide, et qui le mît pour l’avenir dans une situation à ne plus craindre aucun revers. […] Un seul jour perdu devrait nous laisser des regrets mille fois plus vifs et plus cuisants qu’une grande fortune manquée ; et cependant ce temps si précieux nous est à charge ; toute notre vie n’est qu’un art continuel de le perdre, et, malgré toutes nos attentions à le dissiper, il nous en reste toujours assez pour ne savoir encore qu’en faire ; et cependant la chose dont nous faisons le moins de cas sur la terre, c’est de notre temps ; nos offices, nous les réservons pour nos amis ; nos bienfaits, pour nos créatures ; nos biens, pour nos proches et pour nos enfants ; notre crédit et notre faveur, pour nous-mêmes ; nos louanges, pour ceux qui nous en paraissent dignes ; notre temps, nous le donnons à tout le monde, nous l’exposons, pour ainsi dire, en proie à tous les hommes ; on nous fait même plaisir de nous en décharger : c’est comme un poids que nous portons au milieu du monde, cherchant sans cesse quelqu’un qui nous en soulage. […] Il y a des amis dont on se pare, comme on porte une décoration.
Deuxième ami. […] Deuxième ami. […] Deuxième ami. […] Premier ami. […] Ami du peuple, hier, je le suis aujourd’hui ; J’ai souffert, j’ai lutté, j’ai haï comme lui ; Misère, oubli, dédain, hauteur patricienne.
À son ami Lyon2 (1526). […] Ses amis Ronsard, Baïf, Desportes et A. […] On fait bien d’ennemis quelquefois des amis. […] On fait plus aisément d’amis des ennemis. […] Faire de ses fils des amis des champs fut son dernier but.
Imaginez-vous que des dames m’ont proposé d’aller dans une maison qui regarde droit dans l’Arsenal, pour voir revenir notre pauvre ami. […] Nous avons bien parlé de notre cher ami ; elle a vu Sapho2, qui lui a redonné du courage. […] Pour cette sollicitation, envoyez-moi votre homme d’affaires avec un placet, et je le ferai donner par une amie à M. Didé ; car, pour moi, je ne le connois point ; et j’irai même avec cette amie. […] De faiblesse pour mes amis, c’est-à-dire de lâcheté à leur endroit.
Ami, sois donc sa providence : Elle compte plus d’un rival ; Hélas ! […] J’ai quitté l’obscure vallée, Le toit champêtre d’un ami ; Loin des bocages de Bissy, Ma muse, à regret exilée, S’éloigne, triste et désolée, Du séjour qu’elle avait choisi. […] Il tenait sans cesse près de son cœur, comme pour le réchauffer, sa famille, son enfant, ses frères, quelques amis. […] Il était doux à toute chose, à la vie, au succès, à la souffrance ; doux à ses amis, doux à ses ennemis. »