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131. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174

Madame de Sévigné parlait ainsi des maîtres qui furent ses contemporains et qu’elle relisait souvent : « Nous relisons aussi, au travers de nos grandes lectures, des rogatons que nous trouvons sous notre main ; par exemple, toutes les belles oraisons funèbres de M.

132. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143

Par exemple : gravissimorum studiorum legatores constituerunt. […] Mais faites-y le moindre changement ; dites, par exemple : multi superârunt mercatores venalitiique, les mêmes pensées, les mêmes expressions sont restées ; mais il n’y a plus de grâce, il n’y a plus d’harmonie.

133. (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles

Si vous n’eussiez bu que de l’eau claire toute votre vie, et que vous vous fussiez contenté d’une nourriture simple, de pommes cuites, par exemple, de pois ou de fèves, vous ne seriez pas présentement tourmenté de la goutte, et tous vos membres feraient encore facilement leurs fonctions. […] En voici une, par exemple, qui mérite d’être à jamais conservée dans la mémoire des Français.

134. (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes

À la première partie de sa vie appartiennent des poésies mythologiques et allégoriques, inspirées du Roman de la Rose, par exemple le Temple de Cupido (1545), dédié à François Ier, qu’il réunit et publia en 1532 sous le titre de Adolescence Clémentine.

135. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »

Dans cette dernière période, par exemple, si Bossuet en eût dérangé la construction et se fût exprimé ainsi : la gloire, l’indépendance, la majesté, en de terribles et grandes leçons, quand il lui plaît, c’en était fait de l’harmonie : les expressions eussent toujours été les mêmes, mais quelque sonores et quelque bien choisies qu’elles soient, si elles ne sont pas placées avec goût, elles rendent la phrase désagréable à l’oreille.

136. (1839) Manuel pratique de rhétorique

Soit, par exemple, à analyser le discours de l’évêque Flavien à Théodose, le professeur pourra procéder de la manière suivante : ’ÉVÊQUE FLAVIEN À THÉODOSE. […] J’entends qu’on prenne une page, par exemple, d’un bon auteur quelconque, qu’on la lise attentivement deux ou trois fois, de manière à en bien retenir toutes les pensées ; qu’ensuite on le mette le livre de côté, et qu’on essaye d’écrire ce morceau de mémoire, aussi bien qu’on pourra le faire. […] On verra la répétition paraître au nombre des figures de pensées ; par exemple, dans l’énumération rapide des crimes de Clodius, la répétition des mêmes terminaisons, en frappant l’oreille des mêmes sons imprime avec plus de force la pensée.

137. (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100

Par exemple, l'esprit ne conçoit la justesse de ces expressions : un homme enflammé de colère ; les préceptes éclairent, que parce qu'il peut facilement comparer les transports d'un homme irrité à des flammes dévorantes, etc. […] Ces phrases, par exemple : « Je prends la liberté de vous écrire pour m'informer de l'état de votre santé ; l'homme propose et Dieu dispose, » ne sont pas du style simple, elles sont du style bas.

138. (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503

Montesquieu a dit quelque part : « L’étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. » Vous ferez développer cette pensée par Montesquieu lui-même dans une lettre de consolation qu’il adressera à quelque ami maltraité par la fortune, par exemple un ministre tombé en disgrâce. […] Comment s’intéresser aux discours de personnages vulgaires, aux actions d’un loup ou d’un chien, par exemple ? […] Par exemple voici un amateur de classique, poésie, peinture, sculpture ou musique, d’esprit exclusif.

139. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre II. Des différentes Espèces de Style, et des Figures de Pensées. » pp. 238-278

            Avouez-le de bonne foi,             Vous tisonnez tout comme moi… Ce savant, par exemple, attaché sur son livre, Mais qui n’invente rien, ne dit rien de nouveau, Des Auteurs qu’il regratte et qu’il vend à la livre, Croit égaler la gloire, et que son nom doit vivre         Comme le leur, au-delà du tombeau.

140. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302

Par exemple, remarquez ce que font les yeux, ce que font les mains, ce que fait tout le corps, et quelle est sa posture ; ce que fait la voix d’un homme, quand il est pénétré de douleur, ou surpris à la vue d’un objet étonnant.

141. (1881) Rhétorique et genres littéraires

D’après ces mêmes rhéteurs, le style simple convient aux compositions dont l’unique but est d’instruire, celles où l’écrivain ne s’applique qu’à suivre méthodiquement la déduction de ses idées, par exemple, les discours et écrits qui traitent d’affaires, de points d’histoire et de science, etc. […] Cette division est, en effet, arbitraire ; la précision, par exemple, est une qualité qui convient à tous les genres de style. […] Disons toutefois, en passant, que ces figures rentrent souvent les unes dans les autres : la prosopopée, par exemple, peut être aussi bien une figure de passion que d’imagination ; la périphrase est une figure d’imagination, quand elle renferme un tableau d’une étendue restreinte, ou une figure de raisonnement, quand elle est employée comme définition. […] Pour composer une œuvre épique durable et vraiment digne de ce nom, il faut trois conditions : 1° Un grand sujet, la guerre de Troie, par exemple, qui met aux prises l’Asie et l’Europe (Iliade), ou un héros célèbre qui a frappé l’imagination populaire par le prestige de grandes actions (les poèmes chevaleresques du moyen âge, particulièrement ceux du cycle carlovingien, — Chanson de Roland) ; 2° Un développement considérable d’imagination et de langue chez le peuple qui voit naître cette œuvre, c’est-à-dire une imagination poétique empreinte d’une forte culture intellectuelle, une langue et un esprit mûris par de longs efforts ; 3° Enfin, une école de poètes privilégiés, personnifiée dans l’un de ses plus célèbres représentants (Homère et les rhapsodes) ou le génie d’un grand poète qui résume l’inspiration des siècles passés et donne à leurs conceptions une forme parfaite et définitive (Virgile, dans l’Énéide).

142. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »

On peint les faits : par exemple, le combat des Horaces et des Curiaces ; mais alors on évite les figures oratoires et véhémentes, parce que ces figures sont faites pour exprimer les passions.

143. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338

« On peut bien donner une tête et des bras à des corps figurés, comme, par exemple, à une armée ; mais non pas à des actions, comme des crimes, qui ne peuvent avoir ni tête ni bras. » Académie.

144. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Bruyère, 1646-1696 » pp. 155-177

Tout ce morceau est une protestation éloquente, pleine de hardiesse et de dignité contre un état social par suite duquel de grands génies, comme Corneille, par exemple, étaient réduits à comparer à Auguste un receveur général, M. de Montoron (voir l’épitre dédicatoire de Cinna).

145. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »

Si, par exemple, on écrit l’histoire d’un général, on doit rapporter en détail toutes ses actions guerrières, ainsi que les événements qui s’y trouvent liés, et passer assez légèrement sur sa conduite privée.

146. (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique

On ne saurait, par exemple, toujours distinguer, au dix-huitième siècle, les publicistes des historiens. […] Le théâtre, par exemple, ne fera que suivre et traduire jour par jour le mouvement des idées et des passions populaires. […] On comprend bien, par exemple, que, dans cette première période, un partage rigoureux n’est pas toujours possible entre les écrivains qui appartiennent au passé et ceux qui représentent l’avenir. […] Hugo, par exemple, dit du romantisme qu’il était le libéralisme en littérature ; il a encore comparé la poésie classique au palais de Versailles, et la poésie romantique à une forêt vierge ; mais ce sont là des images qui ne sauraient avoir ni la rigueur, ni la portée d’une définition. […] En philosophie, par exemple, il y aurait grande injustice à ne point reconnaître avec quelle fermeté et quel talent le spiritualisme continue à être défendu.

147. (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)

Sous prétexte qu’il ne faut pas sacrifier à la richesse de la rime toutes les autres beautés de la poésie, il néglige la rime au-delà même des libertés du théâtre ; par exemple, il fait rimer champs avec sens, sévère avec plaire, compassion avec prison, etc.

148. (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)

Si par exemple le génie ou l’éloquence d’un orateur débrouillent dans mon entendement le chaos de m’es pensées et en dissipent l’obscurité, je me rappelle que le soleil produit le même effet sur la nature, et je dis de cet orateur que c’est un génie lumineux. […] Si l’on dit par exemple : Eschine avait trahi l’État, corrompu par l’or de Philippe, on croira que c’est la république d’Athènes qui est corrompue par l’or du Macédonien. […] Voyez, par exemple, ces vers du fabuliste : Un bloc de marbre était si beau Qu’un statuaire en fit l’emplette. […] On dit souvent, par exemple : La pénétration de l’esprit, la rapidité de la pensée, le torrent des passions, le feu de la jeunesse, le printemps de la vie, les glaces de la vieillesse, le poids des années. […] On dit par exemple : Mars pour la guerre, Cérès pour le blé ; lisez Cicéron, c’est-à-dire les œuvres de Cicéron.

149. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas

Par exemple, dans la description du déluge (centième canevas), vous rencontrez ces mots : La faim… Votre imagination ne présente aucune idée à votre esprit. […] Vous aurez à faire rapporter tous les traits de ce portrait à la dignité do l’homme et à l’excellence de sa nature, par exemple : s’il se tient droit, c’est pour regarder le ciel ; s’il a le port majestueux, c’est un signe de noblesse, etc. […] Il dévoila les grimaces du roi quand il parlait seul, ses faiblesses pour son tailleur et son barbier, à qui il ne refusait rien, et surtout ses pratiques superstitieuses et hypocrites, comme par exemple de se faire frotter d’huile sainte de la tête aux pieds, de faire croire qu’il avait été guéri dans tous ses pèlerinages, de baiser une madone de plomb quand il voulait commettre une mauvaise action, enfin, de n’oser jurer par la croix de saint Lô de peur de mourir dans l’année. […] N° 217. — Mathilde de Tellis Vers le milieu du quatorzième siècle, vivaient à Berne, deux bourgeois qui se haïssaient cordialement, l’un, Jorg de Tellis, déjà vieux, était père d’une jeune fille nommée Mathilde ; Vautre, dans l’âge mûr, homme vaillant, se nommait Pierre de Kœpf — … Vint un moment où l’on crut que leur haine allait finir, car Kœpf avait demandé Mathilde en mariage ; mais il fut refusé du père et de la fille — … Peu après fut tué un banneret de Berne — … Kœpf accusa Tellis de ce meurtre — … Le vieillard troublé par cette accusation devint paralytique — … Le procès s’instruisit — … Quand Mathilde vit cela, et qu’on n’apportait contre son père que des suppositions au lieu de preuves, elle demanda le jugement de la bataille, c’est-à-dire, qu’elle s’offrit à combattre, elle, jeune fille, contre l’accusateur de son père, suivant la coutume de ces temps — … Le juge prit le papier qui contenait sa plainte, et Kœpf, soutenant vraie sou accusation, on les mit tous deux en prison, quand iis se furent jetés leurs gants — … On trouva à grande peine une armure de chevalier allant à la taille de Mathilde — … Arrivée au lieu du combat, elle voulut combattre à pied — … Elle était calme, Kœpf était pâle et confus —.… Les deux combattants s’agenouillèrent à côté l’un de l’autre, déclinèrent aux juges leurs noms de baptême, confessèrent la sainte Trinité et la sainte Eglise, et se répétèrent à la face leur accusation — … Puis, ils allèrent se placer, Mathilde, encouragée par le peuple, à l’orient, Kœpf, chancelant, à l’occident — … La première pria — … Le second fit semblant — … Description du combat, tel qu’on peut l’imaginer entre une jeune fille et un homme de quarante ans, Mathilde échappait par son agilité et son sang-froid, aux terribles coups du farouche guerrier — … Enfin, elle reçut un grand coup sur la tête, et tomba, puis elle se releva sur ses genoux — … Kœpf s’approcha pour l’achever -mais elle, saisissant habilement le défaut de la cuirasse sous le bras, lui plongea la pointe de son épée jusqu’au cou — … Il tomba — … Mathilde s’approcha alors, défit le casque du vaincu, et lui dit de se reconnaître félon et calomniateur — … Kœpf avoua qu’il avait tué le banneret, et qu’il était vaincu par Dieu ainsi qu’un ange le lui avait annoncé dans sa prison — … Kœpf fut mis à mort par le bourreau avec tous les faux témoins qu’il avait subornés — … N° 218. — Les Armaillis Autrefois, les Armaillis, ou bergers de la montagne, ne gardaient leurs vaches que pendant le jour — … Il leur suffisait de les confier aux esprits et aux fées, en leur offrant le soir sans manquer (autrement il y avait tapage nocturne), un peu de lait, de la main gauche… Maintenant, il faut garder les troupeaux pendant la nuit, depuis qu’un soir quelque fou eut offert de la boue au lieu du lait — … La guerre se déclara entre les Armaillis et les esprits ; ceux-ci se réfugièrent dans Ses chamois, qui, traqués de toutes parts, furent forcés de fuir — … Mais ils prennent leurs revanches pendant les nuits, précipitent les avalanches sur les troupeaux, et dirigent les tempêtes sur les chalets — …Quelques fois ils sont bien attrapés, quand on prie, par exemple — … Un jour ils voient un beau chalet tout neuf, ils vont trouver l’orage pour qu’il le renverse — … L’orage accourt, mais il est obligé de s’arrêter devant une croix et les noms de Jésus et de Marie — … Alors, les vents, ne pouvant seulement pousser la fumée du chalet, se retournent contre les esprits et les brisent contre les rochers — … Le lendemain, on vit un nuage noir, formé de leurs plumes, s’enfuira l’horizon — … N° 219. — Notre-Dame de Passant Dans un recoin ignoré du canton d’Unterwald (Suisse), au milieu d’un étroit sentier, bordé de chaque côté d’un affreux précipice est un petit oratoire, dédié à Notre-Dame du Passant — … Autrefois, ce lieu était célèbre par des accidents de toute sorte ; car c’était la demeure des démons — … Il était maudit — … On imagina d’y placer une image de la sainte Vierge — … Quelques ouvriers pieux se présentèrent pour aller bâtir l’oratoire — … Maintenant, le lieu est sûr — … Tous les passants sont préservés des dangers de la route — … (Petite invocation à Notre-Dame du Passant.)

150. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205

C’est le poème philosophique : par exemple, l’ouvrage de Lucrèce.

151. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »

Lisons, par exemple, ces paroles prononcées par Assuérus pour rassurer la tremblante Esther : Je ne trouve qu’en vous je ne sais quelle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse : De l’aimable vertu doux et puissants attraits !

152. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »

Il faut savoir multiplier ses termes, ainsi que le fait Andrieux, par exemple ; pour ne point répéter trop souvent le nom de Sans-Souci, il le nomme ici le Meunier, là, le Vendeur de farine, tantôt le Bonhomme, plus loin le Voisin : Ex. 

153. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281

Par exemple, monsieur, lorsqu’on imprime que j’ai donné avis à un auteur illustre1 que vous vouliez écrire contre ses ouvrages, je réponds que vous êtes assez instruit par des preuves incontestables que non-seulement cela est très-faux, mais que j’ai fait précisément le contraire.

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