(Dialogues des Dieux ou des Sectes.) […] Les poètes le confondent souvent avec le dieu Sylvain et le dieu Faune. […] Le royaume des enfers lui échut lorsque ces trois dieux se partagèrent l’Empire du monde. […] On le confond souvent avec Saturne, qui, selon la fable, est le dieu du temps. […] Tritons, Dieux marins.
Les Dieux seront pour nous. […] Je le jure par le dieu qui préside à nos armes : ô Reine, je le jure par tes mânes augustes ! […] Si les dieux n’eussent connu à fond mes intentions, ils n’auraient pas favorisé ma cause. […] Un dieu nous protège, et en marchant sous ses auspices, nous avons obtenu de nombreux succès. […] Puissent néanmoins les dieux répondre à vos désirs !
« Dieu dont l’arc est d’argent, dieu de Claros, écoute2, O Sminthée Apollon, je périrai sans doute, Si tu ne sers de guide à cet aveugle errant. » C’est ainsi qu’achevait l’aveugle en soupirant, Et près des bois marchait, faible, et sur une pierre S’asseyait3. […] J’allais voir, m’éloignant des rives de Carie, Si la Grèce pour moi n’aurait point de patrie, Et des dieux moins jaloux, et de moins tristes jours : Car jusques à la mort nous espérons toujours. […] Je voulais des grands dieux implorer la bonté, Et surtout Jupiter, dieu d’hospitalité, Lorsque d’énormes chiens, à la voix formidable, Sont venus m’assaillir ; et j’étais misérable, Si vous (car c’était vous), avant qu’ils m’eussent pris, N’eussiez armé pour moi les pierres et les cris. […] j’étais assis près de la poupe : Aveugle vagabond, dit l’insolente troupe, Chante ; si ton esprit n’est point comme tes yeux, Amuse notre ennui, tu rendras grâce aux dieux… J’ai fait taire mon cœur qui voulait les confondre ; Ma bouche ne s’est point ouverte à leur répondre ; Ils n’ont pas entendu ma voix, et sous ma main J’ai retenu le dieu courroucé dans mon sein. […] Commençons par les dieux : Souverain Jupiter ; Soleil, qui vois, entends, connais tout ; et toi, mer, Fleuves, terre, et noirs dieux de vengeances trop lentes, Salut !
Puissent les dieux immortels t’en inspirer la résolution ! […] Dieux immortels ! […] Plût aux dieux ! […] Dieux immortels ! […] dieux immortels !
Le dieu, frustré de ses espérances, se fit une couronne de cet arbrisseau, qui lui fut depuis consacré. […] Elle versait le nectar à Jupiter et aux autres Dieux. […] Elle était sœur et en même temps femme de Jupiter, déesse des empires, et reine des Dieux. […] Les Dieux le changèrent en une fleur qui porte son nom. […] Les Dieux la trouvèrent si belle, qu’ils la nommèrent la Déesse de l’amour.
L’orateur termine, en ranimant la confiance des Romains, par l’idée consolante que les dieux ne peuvent abandonner une cause devenue la leur. […] Plût aux Dieux qu’il eût emmené avec lui toute sa suite ! […] Mais, au nom des dieux, pourquoi n’avez-vous pas ajouté qu’ils seraient auparavant battus de verges ? […] On a beaucoup parlé sur les peines à infliger à des monstres qui ont déclaré la guerre à leur patrie, à leurs parents, à leurs dieux et à leurs propres foyers. […] En vain réclamerez-vous l’appui des dieux ; si vous vous abandonnez à la mollesse, à la lâcheté, vous les trouverez irrités et inflexibles.
On poussa même la licence jusqu’à attaquer la religion et les dieux. […] On concevrait à peine l’audace avec laquelle il blesse la pudeur, outrage les dieux mêmes. […] Les Dieux vont s’appaiser. […] Non, je ne promis rien, Dieux cruels ! […] J’abhorre les faux Dieux.
ô dieux ! […] ô dieux ! […] Oh dieux ! […] dieux ! […] Dieux !
Tel est d’apparence chétive, mais les dieux l’ont couronné d’éloquence, et les hommes prennent plaisir à le regarder. […] Quand il marche dans la ville, les peuples le regardent passer comme un dieu. […] Où les raisonnements humains échouent, il fait parler les oracles des dieux, les explique et quelquefois les achète. […] si les dieux pouvaient vous donner la force de vouloir, comme il vous ont donné la faculté de comprendre ! […] Qu’attendez-vous, bons dieux ?
« Apollon, dieu sauveur, Dieu des savants mystères, Dieu de la vie, et dieu des plantes salutaires, Dieu vainqueur de Python, dieu jeune et triomphant, Prends pitié de mon fils, de mon unique enfant ! […] Dieux ! […] Que j’adressai de vœux aux dieux de l’onde amère ! […] Je m’abreuve surtout des flots que le Permesse, Plus féconds et plus purs fit couler dans la Grèce ; Là, Prométhée ardent, je dérobe les feux Dont j’anime l’argile, et dont je fais des dieux.
C’est le moment où Jupiter a rendu aux Dieux la permission de se mêler de la querelle des Grecs et des Troyens. […] Dans cette nuit affreuse, environné d’éclairs, Le roi des dieux s’assied sur le trône des airs. […] Dans un fragment sur la guerre des dieux contre les géants, ce boursouflé déclamateur nous représente un de ces derniers faisant voler dans les airs l’île de Lemnos, avec tout l’atelier de Vulcain ; un autre arrachant le mont Ida avec ses forêts et ses fleuves ; et le poète ne manque pas d’observer que, tandis que la montagne était sur les épaules du géant, une de ses rivières coulait le long de son dos, etc. — Milton a transporté cette même fiction dans son Paradis Perdu, mais en l’ennoblissant par les détails, et en la relevant par le choix des expressions. […] Oui, tu vois en moi seule et le fer et la flamme, Et la terre et la mer, et l’enfer et les cieux, Et le sceptre des rois et la foudre des dieux. […] Abhorré des mortels, et craint même des dieux.
Est-ce Vénus, Pallas, ou la reine des Dieux Dont nous ressentons la présence ? […] Les Bourbons, ces enfants des Dieux, Unissent leurs tiges fécondes : Descends, Hymen, descends des cieux, Viens remplir les vœux des deux mondes. […] Les Bourbons, ces enfants des Dieux, Unissent leurs tiges fécondes : Descends, Hymen, descends des cieux, Viens remplir les vœux des deux mondes. […] Les Bourbons, ces enfants des Dieux, Unissent leurs tiges fécondes : Descends, Hymen, descends des cieux, Viens remplir les vœux des deux mondes. […] Les Bourbons, ces enfants des Dieux, Ont uni leurs tiges fécondes : Remonte, Hymen, remonte aux cieux ; Tu remplis les vœux des deux mondes.
De la bonté des dieux c’est un gage fidèle ; C’est là qu’est renfermé le sort du genre humain : Nous serons tous des dieux… Elle l’ouvre ; et soudain Tous les fléaux ensemble inondent la nature. […] Près du maître des dieux leur gémissante voix Accuse l’insensé qui méconnut leurs droits. […] Quel rapport entre les Dieux créant le monde, et les Belges opposant un rempart à la mer, et la repoussant dans ses limites ? […] La terre ouvre son sein sous le dieu qui la presse. […] La crainte fit les dieux : l’audace a fait les rois.
Pour moi, je viens ici, n’ayant de confiance que dans les dieux, dans mes juges et dans nos lois, convaincu d’avance qu’auprès de vous la cabale et l’intrigue ne prévalent pas sur les lois et la justice ». […] Le voici : « Je commence, Athéniens, par conjurer tous les dieux et toutes les déesses de vous inspirer pour moi, dans cette circonstance, les sentiments de bienveillance dont je suis moi-même animé pour l’état : je leur demande aussi (et je parle ici pour votre propre gloire) qu’ils vous inspirent de consulter pour la manière dont vous devez m’entendre, non pas mon adversaire, l’injustice serait criante, mais les lois et votre serment ! […] Cet exorde est sublime dans sa simplicité ; c’est le langage de la vérité et de l’innocence ; l’invocation aux Dieux, qui le commence et le termine, devait produire le plus grand effet auprès d’un peuple qui comptait pour quelque chose le respect des choses respectables, et qui ne pensait pas que l’on pût se jouer impunément de la majesté des Dieux. […] Une prière adressée aux Dieux, prière simple, mais sublime, termine la harangue de Démosthène. « Qu’aucun de vous, Dieux puissants, ne favorise leurs désirs (des mauvais citoyens) !
Les dieux protecteurs de votre empire dérobèrent Marc-Aurèle à ce danger : son père le transporta, à trois ans, dans une retraite où il fut mis en dépôt sous la garde des mœurs. […] Je vis que l’ordre des dieux m’appelait à servir la patrie, et que je devais obéir. […] Carthage a remercié une fois les dieux d’être romaine. — Il approcha, toucha la tombe, et dit : J’apporte à la cendre de Marc-Aurèle les hommages de l’Afrique ». […] permets ce nom à un vieillard qui t’a vu naître et qui t’a tenu enfant dans ses bras ; songe au fardeau que t’ont imposé les dieux ; songe aux devoirs de celui qui commande, aux droits de ceux qui obéissent. […] pardonne ; je te parle au nom des dieux, au nom de l’univers qui t’est confié ; je te parle pour le bonheur des hommes et pour le tien.
. — Que la couronne soit donc à vous, Cambyse, les dieux vous la défèrent ; et, autant qu’il est en mon pouvoir, je vous la donne. […] Après les dieux, craignez les hommes en général, et les races futures. […] Mais, j’en atteste et les Dieux et les hommes, la victoire est à nous. […] qu’ils enchaînent une suite de plusieurs palais, et que nous ayons à peine un asile pour nos Dieux domestiques ? […] » Âme du divin Auguste, reçue maintenant parmi les Dieux !
Grâce aux dieux mon malheur passe mon espérance ! […] Il ne faut pas oublier ici une des plus charmantes allégories, celle dans laquelle Mme Deshoulières cette tendre mère, se peint elle-même sous l’image d’une bergère qui recommande ses brebis à Pan, le dieu des bergers : par son troupeau, elle désigne ses enfants ; le dieu Pan, c’est le roi, à qui elle les recommande. […] On n’imagina d’autre vengeance que d’affecter de ne pas applaudir à des gladiateurs auxquels il applaudissait lui-même, et il s’écria dans sa colère : « Plût aux dieux que le peuple romain n’eût qu’une tête, je la ferais tomber ! […] pardonne : je te parle au nom des dieux, au nom de l’univers qui t’est confié ; je te parle pour le bonheur des hommes et pour le tien. […] « Meurs, tyran, disait-il : Dieux, prenez vos victimes !
Dieux ! […] Dieux ! […] … — Dieux ! […] Dieux ! […] Dieux cruels !
Dieux ! […] Après le malheur effroyable Qui vient d’arriver à mes yeux, Je croirai désormais, grands Dieux ! […] Mais la description du combat des Dieux est une des plus vives et des plus magnifiques qui se trouvent dans ce Poète. […] « Le Souverain Maître des Dieux et des Hommes tonne du haut du Ciel ; et Neptuneb élevant ses flots, ébranle la terre et le sommet des montagnes. […] Le second, que ce père des Dieux, en secouant sa terrible chevelure, ébranle le ciel, la terre et les mers .
Tout contrefacteur ou débitant de contrefaçons de cet Ouvrage sera poursuivi conformément aux lois. Toutes mes Editions sont revêtues de ma griffe. Avant-propos. Le succès toujours croissant de la nouvelle Méthode, à laquelle ce Cours est adapté, nous dispense d’en faire l’éloge, et d’ajouter un tardif et obscur hommage aux suffrages éminents qui l’ont accueillie dès son apparition. En offrant au public ce recueil, nous n’avons point la prétention chimérique de suivre pas à pas la théorie de l’auteur, de présenter chacun des exercices qui composent notre ouvrage, comme le développement spécial d’une règle de la Méthode.
Prophétie du dieu de seine Stances 1630 Va-t’en1 à la malheure2, excrément de la terre3, Monstre qui dans la paix fais les maux de la guerre, Et dont l’orgueil ne connaît point de lois ; En quelque haut dessein que ton esprit s’égare, Tes jours sont à leur fin, ta chute se prépare, Regarde-moi pour la dernière fois. […] Le mérite d’un homme, ou savant, ou guerrier, Trouve sa récompense aux chapeaux de laurier4, Dont la vanité grecque a donné les exemples5, Le sien, je l’ose dire, est si grand et si haut, Que, si comme nos dieux il n’a place en nos temples, Tout ce qu’on lui peut faire est moins qu’il ne lui faut. […] « Le châtiment de Rufin a fini par étouffer ce tumulte, et absoudre les dieux. » 2. […] Si du costé des dieux je cherche l’avantage, Ronsard est leur mignon, et je suis leur image.
Les hommes seuls par conséquent y sont admis ; et le sujet ne peut en être tiré que de la mythologie, qui est l’histoire fabuleuse des Dieux, des demi-Dieux et des héros de l’antiquité. […] » Ô toi, dit-il, que j’honore le plus après les Dieux ! […] Les Dieux entendent ta prière ; car autrement, pourquoi notre cabane serait-elle à l’abri de tout danger, et ombragée par des rameaux courbés sous le poids de leurs fruits ? […] Il ne sera donc pas surprenant qu’ils parlent de leurs Dieux, et surtout des Divinités champêtres, de Pan, de Diane, de Paies, de Flore, de Pomone, de Cérès, des Satyres, des Faunes, des Sylvains, etc. […] C’est par là que les rois sont semblables aux Dieux.
Voyez l’aveugle erreur que vous osez défendre : Des crimes les plus noirs vous souillez tous vos dieux, Vous n’en punissez point qui n’ait son maître aux cieux ; La prostitution, l’adultère, l’incestee, Le vol, l’assassinat, et tout ce qu’on déteste, C’est l’exemple qu’à suivre offrent vos immortels. […] Cela renverse ses idées païennes ; aussi va-t-elle dire : Quel dieu ? […] : Vos dieux n’ont point de bras à lancer le tonnerre, Gentils, ils ne sont tous que simulacres vains : C’est de l’or, de l’argent, du bois et de la pierre, Qui tient sa forme de vos mains. […] Devienne tout semblable à tous ces dieux frivoles Quiconque en eux veut espérer ! […] Remarquez le mot crime, les dieux ; elle est païenne, et emploie des arguments païens.